
[Staff] GIBBES Jono
#4381
Posté 17 mai 2018 - 15:32
Comprends pas tout moi... Je croyais qu'il avait des soucis ou du moins des préoccupations familiales qui le forcaient à retourner au pays...plus de soucis ? Ou le chèque de la Rochelle fait tout oublier ?....
Si tout cela se vérifie bien entendu...
- OliveR aime ceci
#4382
Posté 28 mai 2018 - 06:23
Confirmé: Gibbes sera le prochain entraîneur-chef de Waikato.
Jono Gibbes confirmed as next Waikato head coach
- frednirom, JB 03, Silhouette et 2 autres aiment ceci
#4383
Posté 29 mai 2018 - 16:35
Tous ces coachs NZ que l'ASM forme et qui vont faire le bonheur d'autres équipes c'est dingue...
çà peut vouloir dire aussi que notre club à une formidable
réputation à l' International ..
Tu me répondras aussi que ça nous fait une belle jambe
- RomanoO aime ceci
#4384
Posté 29 mai 2018 - 21:38
çà peut vouloir dire aussi que notre club à une formidable
réputation à l' International ..
Tu me répondras aussi que ça nous fait une belle jambe
le Leinster plus que l'ASM, non ?
#4385
Posté 26 octobre 2018 - 10:28
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#4386
Posté 26 octobre 2018 - 13:44
Gibbes vainqueur du Ranfury Shield avec Waikato et qui les fait remonter en Premiership.
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Ils l'ont perdu le Ranfurly Shield contre Otago justement.
#4387
Posté 26 octobre 2018 - 13:55
Ils l'ont perdu le Ranfurly Shield contre Otago justement.
Un peu de bienveillance, non ?
Gros match de Josh Dickson by the way.
#4388
Posté 26 octobre 2018 - 14:52
Oups
Ils l'ont perdu le Ranfurly Shield contre Otago justement.
Envoyé de mon SM-G361F en utilisant Tapatalk
#4389
Posté 26 octobre 2018 - 18:55
#4390
Posté 27 octobre 2018 - 08:36
La Rochelle. Comme directeur sportif.
CO champion de France
#4391
Posté 24 novembre 2018 - 22:47
De Jono Gibbes, les joueurs et les supporteurs rochelais ne connaissent presque rien, si ce n'est qu'ils l'ont aperçu en tribune dans la tenue clermontoise entre 2014 et 2017, à l'époque où il était l'adjoint de Franck Azéma. « Jono est timide en public, précise Benjamin Kayser, talonneur auvergnat. Il met de la distance respectueuse, il regarde, il est pudique. » Ceux qui l'ont approché le confirment : réservé, il regarde au sol, préserve son intimité. Mais ne vous y trompez pas : Gibbes se métamorphose lorsqu'il est entouré des joueurs dont il a la charge. « Sa grosse voix est pleine d'énergie, de stress aussi, se souvient Kayser. C'est un vrai Kiwi. Complètement plongé dans le rugby. Dès qu'il faut préparer un match, il se transforme en animal, en guerrier. C'est un Maori, quoi... »
Le nouveau manager sportif du Stade Rochelais est un homme de racines. Maori par sa mère - dont il s'occupe avec dévotion -, Gibbes ne compte que huit sélections chez les All Blacks (2004 et 2005) comme troisième-ligne côté fermé ou deuxième-ligne pousseur. Son heure de gloire, c'est surtout d'avoir été le capitaine de la sélection maorie, chez lui, à Hamilton, face aux Lions britanniques et irlandais en 2010. La victoire (19-13) le remplit encore aujourd'hui de fierté.
Révélé avec les Chiefs de Waikato, Gibbes est un pur produit du rugby de villages néo-zélandais. « J'ai grandi avec les mythes de Colin Meads et de Brian Lochore, avoue-t-il. Puis, plus tard, Michael Jones et John Kirwan. » Avant d'ajouter : « Il y a eu aussi "Buck" Shelford. » Ah, Wayne Shelford ! Le symbole personnifié du « mana » maori qui allie puissance physique, force mentale, charisme et volonté. Gibbes participe à son premier rassemblement all black en 2003 à Auckland. Jerome Kaino effectue aussi ses débuts. Jerry Collins, Troy Flavell et Reuben Thorne, le capitaine, complètent la troisième-ligne, aux côtés de Rodney So'oialo, Richie McCaw, Sione Lauaki, Marty Holah et Xavier Rush. « Que des bons », sourit Gibbes. Avec une telle concurrence, pas étonnant que sa carrière internationale ne soit ni riche ni longue.
Il transforme le pack du Leinster, surnommé «Les Travelos»À trente et un ans, Gibbes prend sa retraite sportive et rejoint la province irlandaise du Leinster à l'invitation de l'Australien Michael Cheika. Spécialisé dans le jeu d'avants, il va, en six saisons, changer l'image du pack dublinois, surnommé à son arrivée « les Travelos »... Sous sa férule émergeront Cian Healy, Sean O'Brien, Jamie Heaslip. Le Leinster remportera trois Coupes d'Europe (2009, 2011, 2012) et quelques autres trophées. Dans ce laboratoire d'idées, Gibbes, jamais en pleine lumière, grandit auprès de deux mentors : Michael Cheika puis Joe Schmidt, qui entraînent aujourd'hui respectivement l'Australie et l'Irlande. On trouvera facilement plus mauvais professeurs.
« Je pensais connaître un peu le rugby et les spécificités de mon poste, mais au contact de Jono je me suis aperçu que j'avais encore beaucoup à apprendre. » - Benjamin Kayser, talonneur de Clermont
Quand l'homme aux oreilles en chou-fleur débarque à Clermont en 2014, le président Éric de Cromières l'annonce comme « une pépite du rugby mondial ». Mais, en Auvergne, personne ne le connaît. « Jono qui ? », entend-on. Ce running gag ne va pas courir longtemps. Gibbes commence sa journée de travail aux aurores « en essayant à chaque fois d'honorer le souvenir de Jock Hobbs(ancien flanker et capitaine des All Blacks, devenu président de la Fédération, décédé en 2012 à l'âge de 52 ans), qui avait cette phrase que j'ai faite mienne : "Il faut tenter de se lever chaque matin avec le souci d'être de niveau mondial." »
Son investissement sans faille force vite l'admiration. « Je pensais connaître un peu le rugby et les spécificités de mon poste, avoue le talonneur international Benjamin Kayser, 37 sélections, mais au contact de Jono je me suis aperçu que j'avais encore beaucoup à apprendre. »
Gibbes se nourrit de détails, approche rehaussée par l'analyse vidéo, dont il est friand. « Il sait quelle est ton épaule favorite au plaquage, ta main la plus adroite », raconte un international irlandais à son sujet. « Sa connaissance technique est très poussée. Ça passe par ton angle de course sur un crochet afin de ne pas perdre de vitesse, ta position avant, pendant et après l'impact quand tu es porteur de la balle, ajoute Kayser. Jusqu'à la position de ton genou afin de te relever le plus vite possible après avoir plaqué. »
À Belfast, rien ne fonctionne comme il l'imagineAdeptes des phrases courtes et des pense-bêtes - « il avait la jambe qui tremblait quand il s'asseyait pour nous parler avant un match. On entendait son genou taper sous la table », sourit Kayser. Le Bouclier de Brennus revenu en 2017 place de Jaude, Gibbes se lie avec l'Ulster. Pour la première fois de sa carrière, il sera seul aux manettes. Mais, à Belfast, rien n'a fonctionné comme il l'imaginait. D'après ce que l'on sait, plusieurs personnes lui ont savonné la planche. Le poste qu'il occupait faisait sans doute trop d'envieux. À Belfast, personne ne souhaite évoquer le cas Gibbes : il a invoqué des raisons familiales pour mettre fin à son contrat et repartir en Nouvelle-Zélande. Les dirigeants de l'Ulster, s'estimant trahis, n'ont vraiment pas apprécié qu'il signe alors un contrat de quatre ans avec le Stade Rochelais.
Effectivement, jeudi 17 mai, soit une semaine après l'annonce officielle du départ de Patrice Collazo, Gibbes visitait les installations du Stade Rochelais après avoir déjeuné chez le président Vincent Merling, sur l'île de Ré. Le club, peu porté sur la dépense, avait pour l'occasion affrété pour lui et sa petite famille un jet et accepté - là aussi une première - qu'il ne soit pas disponible avant la neuvième journée.
« Ce n'est pas un dictateur, souligne quelqu'un qui le connaît bien. Il est à l'écoute et dans le partage d'infos. Surtout, il n'aime pas le conflit et ne s'en nourrit pas. » L'anti-Collazo, en somme. Débarqué de Waikato sur les bords de l'Atlantique le 8 novembre, Jono Gibbes, quarante et un ans, n'a pas pour autant pris de vacances durant son séjour néo-zélandais : pendant l'intérim de Xavier Garbajosa, il a décortiqué le jeu rochelais de ces quatre dernières saisons et beaucoup échangé par Skype. Des joueurs dont il dispose désormais, il connaît les points forts et les points faibles. Dimanche, à l'heure de l'apéritif, ce grand consommateur de Guinness va redécouvrir le Top 14. Victorieux à Toulon (9-13) lors de la 8e journée, le Stade Rochelais se déplace ce midi à Jean-Bouin pour affronter le Stade Français. L'occasion rêvée pour ce guerrier maori de marquer d'entrée son territoire.
- JB 03, sgestion et OliveR aiment ceci
#4392
Posté 08 mai 2019 - 21:02
- JB 03 aime ceci
#4393
Posté 09 mai 2019 - 06:27
Jono Gibbes (Stade Rochelais) avant la finale du Challenge Européen : «Un coach n'a pas besoin d'être dur, mais se doit d'être clair»
Arrivé en novembre à la tête du Stade Rochelais, le Néo-Zélandais pose, pas à pas, son empreinte sur l'équipe avec un pragmatisme teinté d'humilité. Vendredi, face à Clermont, il tentera de guider son équipe vers un premier titre européen.
Âgé de quarante-deux ans, Jono Gibbes, qui compte 8 sélections avec les All Blacks en 2004-2005, a appris son métier dans l'ombre des plus grands coachs actuels (Steve Hansen, Michael Cheika, Joe Schmidt, etc.). De quoi forger sa modestie et une personnalité tout en retenue. Il apparaît souvent effacé, même si on sent dans son regard combien il bout intérieurement. Vendredi, son équipe jouera une finale du Challenge Européen face à Clermont, entraîné par Franck Azéma dont il a été l'adjoint trois ans durant (2014-2017). L'occasion d'accrocher un premier titre, en tant qu'entraîneur en chef, pour ce discret à la parole rare.
« Diriez-vous que l'essence du rugby est la capacité d'adaptation ?
Carrément. On met en place un plan de jeu et, en face, il y a quinze gars ultra-motivés pour vous faire déjouer. Avec en plus un arbitre qui interprète les règles à sa manière. On doit être en mesure de s'adapter. Pour ça, lire assez rapidement ce qui se passe en face et savoir aussi réajuster tous les éléments bossés à l'entraînement.
Vous êtes un mec adaptable ou plutôt du genre psychorigide ?
(Il éclate de rire.) Faudrait demander à mon épouse... Je pense être adaptable mais j'avoue être rapidement frustré. J'aime que les choses simples soient bien faites. Je n'aime pas quand il y a trop de fantaisie ni quand on complique les choses.
Votre personnalité en trois mots ?
Disons que je suis perfectionniste, impatient et j'aime travailler en équipe. Le meilleur de ce qu'offre le rugby ce n'est pas la satisfaction individuelle mais celle de faire partie d'un projet collectif.

«Je n'ai jamais été appelé ici pour tout recommencer à zéro. Il me fallait faire perdurer les fondations solides, posées par Patrice (Collazo) et le président et m'efforcer de les enrichir»
Vous êtes arrivés à La Rochelle en cours de saison. L'équipe tournait bien (6e, le 8 novembre). Pas simple de ne pas perturber les équilibres établis...
Débarquer ici en novembre n'était pas la chose la plus aisée (il n'a pas assisté à la préparation à l'intersaison ni à la reprise du Top 14 le 25 août). Mais je me devais de régler des choses en Nouvelle-Zélande après dix ans passés en Europe, loin des miens. Le club l'a compris, même si la situation n'était pas aisée. Retourner là-bas était très important pour moi et ma famille (*). La vie est parfois plus importante que le boulot. Heureusement les choses étaient établies ici. Il y avait un groupe de qualité, bien organisé, bien coaché. Ne rien chambouler n'était pas un problème, juste une question de respect basique pour le travail des autres.
Comment êtes-vous parvenu à mettre en place vos conceptions, sans perturber l'écosystème ?
Grâce à mon expérience. J'ai vécu dans différents environnements, avec différentes personnalités et cultures depuis dix ans. Je ne vais pas dire que ça m'a apporté de la sagesse (il se marre) mais un certain sens de l'essentiel. On est mieux à même de discerner les chantiers prioritaires, on évite de foncer partout. On cherche les bons réglages. Je n'ai jamais été appelé ici pour tout recommencer à zéro. Il me fallait faire perdurer les fondations solides posées par Patrice (Collazo, son prédécesseur) et le président (Vincent Merling), et m'efforcer de les enrichir.
Vous avez eu une période d'observation ?
Oui et elle continue. J'apprends toujours en observant les gens avec lesquels je travaille. La clé du coaching c'est la relation humaine. Et comprendre les autres ça prend beaucoup de temps. Chaque individu est fait de plusieurs couches. La technique individuelle, c'est rapide à cerner. Derrière il faut savoir appréhender l'ambition de chacun, sa motivation, sa capacité de compréhension. Pourquoi tel joueur agit ainsi ? Comment s'est forgée son éducation au jeu ? On atteint alors une dimension plus intime. Parfois on apprend en faisant des erreurs, ça s'appelle la vie.

Quelle a été votre plus grosse erreur ?
De mal appréhender la complexité d'un joueur. Au départ on veut l'aider à progresser. On passe du temps, on multiplie les efforts mais on ne voit pas de progrès. Ça frustre. Il arrive qu'on porte un jugement définitif. On pense qu'il est réfractaire, ne veut pas s'améliorer. Puis on découvre que ce joueur avait un tas de noeuds à dénouer en lui. Des soucis personnels qui affectent sa capacité de progression, l'empêchent d'investir 100 % de son temps dans le rugby. Après coup, on se sent un peu minable. Même si c'est une erreur banale qui arrive à tous : sous-estimer la réalité intérieure de l'autre, verser dans un jugement hâtif sans posséder tous les éléments. On voit ça dans toutes les sphères de la société. Notre boulot de coach est de permettre aux joueurs de donner le meilleur d'eux-mêmes. Pour ça on se doit de les comprendre.
« Depuis deux semaines, Franck et moi n'avons pas échangé de message mais après le match on se prendra dans les bras et on ira boire un coup, c'est certain »
Votre culture néo-zélandaise est-elle une force ou une faiblesse auprès de joueurs latins ?
Je suis néo-zélandais, c'est indéniable. Mais depuis dix ans que je suis en Europe j'ai pu m'imprégner et me nourrir d'un tas d'autres éducations. Durant trois ans fabuleux à Clermont j'ai évolué auprès de Géorgiens, de Français, de Fidjiens, d'Anglais, de Samoans... Ma culture kiwi a fait de moi un "trouveur de solutions". J'observe les obstacles, j'envisage les solutions et action !
Votre arrivée au Stade Rochelais aurait pu être explosive : Xavier Garbajosa entraînait l'équipe avec réussite. Et voilà que vous débarquez...
Je comprends que de l'extérieur les gens puissent s'imaginer des trucs mais il ne s'agit que de rugby et de ballon. Il n'y a pas de dramaturgie à chercher. Notre entente s'est faite naturellement et en bonne intelligence. On a des valeurs qui nous rapprochent : l'esprit collectif, le respect. Mon arrivée était un challenge, oui. On verra bien à la fin de la saison si nous avons réussi à faire en sorte que les joueurs donnent le meilleur d'eux-mêmes. Car c'est ça le vrai signe d'un bon staff. À titre personnel je ne crois pas qu'il y ait une seule et unique manière de faire les choses. L'idéal est de trouver la meilleure qui convienne au groupe. Il ne s'agit pas de compromis mais de réalisme et d'expérience. On a tous des backgrounds différents mais on additionne nos points forts pour l'intérêt supérieur commun.
Vous avez fait vos armes auprès de grands noms du coaching...
Et j'en garde le désir de progresser en permanence. Au Leinster, j'ai côtoyé Joe Schmitt (sélectionneur néo-zélandais de l'Irlande), un technicien hors pair qui élève le niveau à des détails inexplorés. Il met en place un environnement où il n'y a plus d'excuses. Avec lui tout est en place pour les joueurs. J'ai aussi travaillé avec Michael Cheika (sélectionneur de l'Australie), qui est énorme pour ce qui est de créer une culture de groupe, une cohésion et plus encore un esprit. J'ai aussi eu la chance d'être entraîné par Steve Hansen (sélectionneur all black), qui est sans pareil pour son intelligence émotionnelle. Longtemps, mon mentor a été Ian Foster (entraîneur adjoint des All Blacks), qui m'a entraîné en club puis au sein des Chiefs. Il m'a appris à mettre de la justesse et de l'intelligence dans l'analyse du jeu. J'ai aussi connu Warren Gatland (sélectionneur néo-zélandais du pays de Galles). Son truc à lui c'est sa capacité à créer de la foi dans un groupe. Ça confinait parfois à de la propagande mais force était de constater qu'on finissait par se persuader que la réussite était plus que possible, inévitable. C'est un bâtisseur de foi.
Et vous, quelle est votre signature radar ?
Je ne cesse de grandir et de progresser. J'ai essayé de garder des instantanés de toutes ces personnalités pour construire ma propre conception du coaching. Mais je suis encore en chemin et, si on se revoit l'an prochain, j'aurai encore évolué.
Votre compatriote Robbie Deans, coach mythique des Crusaders (cinq titres de Super Rugby entre 2000 et 2008), nous parlait d'un mantra hérité de son père appliqué au coaching : "Ne jamais prendre de raccourcis"...
Moi, si je dois m'inspirer de quelqu'un, c'est de ma maman. Si chère à mes yeux. Elle nous a élevés seule, cinq garçons à Te Awamutu (au sud de Hamilton sur l'île du Nord). Je suis le petit dernier, mes parents se sont séparés quand j'étais encore un bébé. Maman, qui se prénomme Marie, nous a montré le chemin du courage et de la résilience. Elle a une force rare en elle. À l'épreuve des balles. Dans la vie, les choses ne vont pas toujours dans le sens que vous souhaitez...

(*) Directeur sportif de l'Ulster la saison dernière, Gibbes avait décidé de rentrer en Nouvelle-Zélande, pour raisons familiales, et s'était engagé avec Waikato. Le club maritime lui a permis de finir le Championnat des provinces néo-zélandaises avant d'arriver en novembre.
Modifié par JB 03, 09 mai 2019 - 07:06 .
Mise en page
- JB 03, cocotte 63 et OliveR aiment ceci
#4394
Posté 09 mai 2019 - 07:08
- JB 03 et Toorop aiment ceci
#4395
Posté 09 mai 2019 - 08:21
Ce genre d'interview éclaire encore un peu plus sur l'écart qu'il y a entre certains acteurs de ce sport dans notre championnat... toute proportion gardée quand je lis cela et que je compare avec les interviews de Brunel lors du tournoi ou dernièrement... je me dis qu'il y a un truc qui m'échappe...chez notre sélectionneur qui a pourtant plus de bouteille que le Kiwi... menfin...
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