... pas avant 2050.
Je l'avais dit ou pas ?
Rendez-vous en 2050 pour qu'on nous annonce que c'est prêt en 2080.
oui tu l'avais dit , reste que le surplus d'énergie c'était pas prévu , une découverte ..
ils avancent , laissons leurs le temps
Posted 26 May 2022 - 22:24 PM
... pas avant 2050.
Je l'avais dit ou pas ?
Rendez-vous en 2050 pour qu'on nous annonce que c'est prêt en 2080.
oui tu l'avais dit , reste que le surplus d'énergie c'était pas prévu , une découverte ..
ils avancent , laissons leurs le temps
Posted 27 May 2022 - 02:30 AM
Pour le moment, c'est juste une promesse de surplus d'énergie. On se donne rendez-vous dans 30 ans pour en reparler.oui tu l'avais dit , reste que le surplus d'énergie c'était pas prévu , une découverte ..
Ah mais volontiers. Ça fait 70 ans qu'on leur laisse le temps. Et il y en a encore au moins pour 30 ans. Je suis le premier à dire qu'il ne vaut pas être trop pressé avec la fusion.ils avancent , laissons leurs le temps
Posted 27 May 2022 - 09:32 AM
Pour le moment, c'est juste une promesse de surplus d'énergie. On se donne rendez-vous dans 30 ans pour en reparler.
Ah mais volontiers. Ça fait 70 ans qu'on leur laisse le temps. Et il y en a encore au moins pour 30 ans. Je suis le premier à dire qu'il ne vaut pas être trop pressé avec la fusion.
Effectivement, avec le tout électrique, les besoins vont centupler.
De la trottinette aux avions, des datacenters au métavers, la consommation va exploser.
Posted 27 May 2022 - 10:18 AM
Pour le moment, c'est juste une promesse de surplus d'énergie. On se donne rendez-vous dans 30 ans pour en reparler.
Ah mais volontiers. Ça fait 70 ans qu'on leur laisse le temps. Et il y en a encore au moins pour 30 ans. Je suis le premier à dire qu'il ne vaut pas être trop pressé avec la fusion.
reconnaissons que c'est un gigantesque défi technologique , vraisemblablement l'un des des
plus complexes que les scientifiques ont à résoudre
avec le temps , le génie de l'homme me laisse penser qu'ils parviendrons à en acquérir la maîtrise
pour le bien de tous ...
l
Posted 27 May 2022 - 11:41 AM
Je rallume la clim alors
et je continue le russe
Posted 27 May 2022 - 12:38 PM
reconnaissons que c'est un gigantesque défi technologique , vraisemblablement l'un des des
plus complexes que les scientifiques ont à résoudre
avec le temps , le génie de l'homme me laisse penser qu'ils parviendrons à en acquérir la maîtrise
pour le bien de tous ...
l
Oui mais le problème c'est qu'avec des perspectives aussi lointaines, ça nous laisse le temps de multiplier les consommations d'électricité au point que quand le process sera totalement opérationnel il sera peut etre déjà insuffisant ...
Posted 27 May 2022 - 14:08 PM
reconnaissons que c'est un gigantesque défi technologique , vraisemblablement l'un des des plus complexes que les scientifiques ont à résoudre
Ben oui, c'est ce que je dis depuis le début. Ça va prendre du temps. Beaucoup de temps.
avec le temps , le génie de l'homme me laisse penser qu'ils parviendrons à en acquérir la maîtrise pour le bien de tous ...
Bref, t'y crois parce que tu as envie d'y croire.
Posted 27 May 2022 - 14:09 PM
La foi du fusionneur > la foi du charbonnier
Posted 27 May 2022 - 15:15 PM
beaucoup plus d'énergie que prévue pour Iter
Je vous cache pas que ça m arrange pas .
Posted 27 May 2022 - 15:27 PM
Moi non plus... En 2050 j'aurai 99 ans (si je vis encore)...Je vous cache pas que ça m arrange pas .
Posted 27 May 2022 - 15:37 PM
Moi non plus... En 2050 j'aurai 99 ans (si je vis encore)...
Je n'attendrai pas cette date pour vivre à fond autant que je le pourrai et tant pis pour le reste !
Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk
J’en trouve aucune
Posted 27 May 2022 - 15:42 PM
Les conséquences néfastes de la vie "sans efforts ni contraintes" : on a lu "Homo confort"
« Le projet politique global et indiscutable de la seconde moitié du XXe siècle aura été la démocratisation partielle du confort et des formes de consommation qu'il induit, bien plus que la démocratisation de la vie politique fondée sur la participation active des citoyens et sur la mise à disposition d'informations tant soit peu fiables », estime Stefano Boni. Paru en Italie en 2014, l'essai démontre que le confort, un fait clé des sociétés contemporaines urbanisées, désindustrialisées et dominées par l'économie de services, est un angle mort de la politique. Or, la vie « sans efforts ni contraintes » a un prix : la perte d'autonomie des individus au profit d'une dépendance croissante aux technologies.À LIRE AUSSI : Écrans partout, tout le temps : le mal du sièclePourtant, la promesse de bien-être est illusoire car, observe l'auteur, « il est possible de vivre confortablement tout en allant très mal. La quête du confort illimité a fait son temps et il est devenu impossible d'oblitérer ses effets collatéraux : sentiment de mal-être existentiel, appauvrissement des sens, pollution meurtrière et perte progressive de nos compétences. »La nature, une abstractionL'auteur distingue hypotechnologie et hypertechnologie. La première renvoie principalement à la technique artisanale, qui ne nécessite pas d'énergies fossiles, mais mobilise le corps et l'esprit. Celle-ci, écrit-il, « se concrétise par la synergie, récurrente mais jamais identique, entre l'intentionnalité de la gestuelle humaine, la fonctionnalité de l'outil et les caractéristiques de la matière travaillée ». Soit le contraire de l'hypertechnologie, dans laquelle « la mécanisation décontextualise les processus de production » et « l'acte technique n'est plus attribuable à une personne en particulier ». Elle « ne requiert pas […] d'aptitudes sensorielles ou manuelles particulières ». L'incapacité à réparer soi-même le moteur de sa voiture en est une illustration : sur ce monde, l'individu n'a pas de prise.Selon Stefano Boni, « l'idéal contemporain est celui d'un corps sain vivant dans un milieu artificiel, méticuleusement filtré et coupé de tout contact avec la nature quelle qu'elle soit ». En effet, le revers de la facilité et de l'absence d'effort (des légumes vendus déjà épluchés aux robots-tondeuses…), c'est le saccage de l'environnement. Car, si nous n'avons « qu'une représentation purement imaginaire du monde naturel, en tant qu'elle repose sur une expérience tronquée de sa réalité matérielle », si la nature est « évacuée de notre expérience quotidienne », elle n'est qu'une abstraction. D'où une « occultation des aspects les plus dérangeants de son exploitation comme les conditions d'élevage et d'abattage des animaux dans les fermes industrielles, la prolifération des déchets toxiques, la chute dramatique de la biodiversité. »À LIRE AUSSI : Clément Caudron : "Une société décroissante sera nécessairement post-capitaliste"Effet collatéral : le monde, hyperpollué (écosystèmes ravagés, corps ravagés par les perturbateurs endocriniens…), finit par poser « le problème curieux de l'adéquation physique de l'homme au milieu qui est appelé pour longtemps à être le sien », c'est-à-dire de moins en moins fait pour la vie humaine ! « En même temps que l'on assiste au triomphe de la biomédecine, les maladies alimentaires, les troubles du système nerveux et les cancers se généralisent », observe d'ailleurs Stefano Boni.Pour l'auteur, « la perte de ce qui nous est le plus précieux ne sera pas totalement perceptible tant que le système hypertechnologique perdurera ». Ce qui risque de durer tant que l'accoutumance au confort, l'économie de marché et les formes présentes d'organisation politique dureront
Posted 27 May 2022 - 15:43 PM
Les conséquences néfastes de la vie "sans efforts ni contraintes" : on a lu "Homo confort"
« Le projet politique global et indiscutable de la seconde moitié du XXe siècle aura été la démocratisation partielle du confort et des formes de consommation qu'il induit, bien plus que la démocratisation de la vie politique fondée sur la participation active des citoyens et sur la mise à disposition d'informations tant soit peu fiables », estime Stefano Boni. Paru en Italie en 2014, l'essai démontre que le confort, un fait clé des sociétés contemporaines urbanisées, désindustrialisées et dominées par l'économie de services, est un angle mort de la politique. Or, la vie « sans efforts ni contraintes » a un prix : la perte d'autonomie des individus au profit d'une dépendance croissante aux technologies.À LIRE AUSSI : Écrans partout, tout le temps : le mal du sièclePourtant, la promesse de bien-être est illusoire car, observe l'auteur, « il est possible de vivre confortablement tout en allant très mal. La quête du confort illimité a fait son temps et il est devenu impossible d'oblitérer ses effets collatéraux : sentiment de mal-être existentiel, appauvrissement des sens, pollution meurtrière et perte progressive de nos compétences. »La nature, une abstractionL'auteur distingue hypotechnologie et hypertechnologie. La première renvoie principalement à la technique artisanale, qui ne nécessite pas d'énergies fossiles, mais mobilise le corps et l'esprit. Celle-ci, écrit-il, « se concrétise par la synergie, récurrente mais jamais identique, entre l'intentionnalité de la gestuelle humaine, la fonctionnalité de l'outil et les caractéristiques de la matière travaillée ». Soit le contraire de l'hypertechnologie, dans laquelle « la mécanisation décontextualise les processus de production » et « l'acte technique n'est plus attribuable à une personne en particulier ». Elle « ne requiert pas […] d'aptitudes sensorielles ou manuelles particulières ». L'incapacité à réparer soi-même le moteur de sa voiture en est une illustration : sur ce monde, l'individu n'a pas de prise.Selon Stefano Boni, « l'idéal contemporain est celui d'un corps sain vivant dans un milieu artificiel, méticuleusement filtré et coupé de tout contact avec la nature quelle qu'elle soit ». En effet, le revers de la facilité et de l'absence d'effort (des légumes vendus déjà épluchés aux robots-tondeuses…), c'est le saccage de l'environnement. Car, si nous n'avons « qu'une représentation purement imaginaire du monde naturel, en tant qu'elle repose sur une expérience tronquée de sa réalité matérielle », si la nature est « évacuée de notre expérience quotidienne », elle n'est qu'une abstraction. D'où une « occultation des aspects les plus dérangeants de son exploitation comme les conditions d'élevage et d'abattage des animaux dans les fermes industrielles, la prolifération des déchets toxiques, la chute dramatique de la biodiversité. »À LIRE AUSSI : Clément Caudron : "Une société décroissante sera nécessairement post-capitaliste"Effet collatéral : le monde, hyperpollué (écosystèmes ravagés, corps ravagés par les perturbateurs endocriniens…), finit par poser « le problème curieux de l'adéquation physique de l'homme au milieu qui est appelé pour longtemps à être le sien », c'est-à-dire de moins en moins fait pour la vie humaine ! « En même temps que l'on assiste au triomphe de la biomédecine, les maladies alimentaires, les troubles du système nerveux et les cancers se généralisent », observe d'ailleurs Stefano Boni.Pour l'auteur, « la perte de ce qui nous est le plus précieux ne sera pas totalement perceptible tant que le système hypertechnologique perdurera ». Ce qui risque de durer tant que l'accoutumance au confort, l'économie de marché et les formes présentes d'organisation politique dureront
Je croyais que t'aimais pas lire des gros pavés ?
Posted 27 May 2022 - 15:46 PM
Je croyais que t'aimais pas lire des gros pavés ?
Ça dépend par qui c'est écrit et de quoi ça cause
Posted 27 May 2022 - 15:50 PM
Je t'invite à en trouver une...J’en trouve aucune
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