Avez-vous déjà mesuré l’impact économique de ces échecs finaux?
L’échec en finale, à court terme, est plutôt neutre. Il est même presque avantageux. Je ne devrais peut-être pas le dire, mais vous n’avez pas à verser de primes ! Au sens stricto sensu du compte économique de la finale, donc à court terme, l’impact négatif n’existe pas. Si on regarde le compte économique global, c’est différent. À moyen terme, plus vous accumulez de titres, plus vous attirez de monde au stade et de partenaires. C’est une évidence. Mais c’est difficilement quantifiable.
Il répond à la question ECONOMIQUE, donc il donne une réponse ECONOMIQUE.
Par contre, vu le contexte, c'est maladroit de s'exprimer comme çà.
Pour le reste, c'est clair que si c'est une minorité, elle doit être à 49% alors. Dommage de ne pas avoir pris la mesure du malaise, mais gagnons samedi pour oublier tout çà.