3505 réponses à ce sujet

[el landeno]

Si le mec a la mémoire en compote, il s appuie sur quoi pour nous faire ses " expertises canalesques "

Il serait pas entrain d essayer de relancer la "légende" en rajoutant un épisode pour apitoyer le chaland.

 

Si lui ne se souvient plus de rien, doit y en avoir un paquet qui on des trous d'air dans le cigare, car il y a eu des beaucoup plus virulents que lui même s'ils sont restés dans l anonymat.

très précisément mon analyse

aucune intervention préalable lors des soucis d'Heyman , de Lapandry et même de Cudmore

pas m^me une consultation spécialisée ?

il surfe sur sa légende et relance de ses 22 

rien à voir avec le stress qui transpire des tristes aventures de lapandry

[Mammoth]

Ses problèmes de mémoire ne datent pas d'hier, ils ont commencé le jour où il ne s'est plus souvenu où était rangé son rasoir.

[Good Shvili]

En attendant Willemse devrait probablement arrêter

 

https://www.lefigaro...brales-20250412

[samsara]

Bon ou pas Bon , on ne parle pas de ça. 

 

Le truc qui me gêne, c'est que les types qui étaient cramés par les commotions , parlent d'angoisses, de douleurs, de pertes de contrôle. Les pires (foot américain) perdaient tellement les pédales qu'il faisaient n'importe quoi, perdaient leur familles, devenaient violent, divorçaient, devenaient SDF. 

J'ai l'impression qu'on est sur autre chose. 

[Silhouette]

Bon ou pas Bon , on ne parle pas de ça. 

 

Le truc qui me gêne, c'est que les types qui étaient cramés par les commotions , parlent d'angoisses, de douleurs, de pertes de contrôle. Les pires (foot américain) perdaient tellement les pédales qu'il faisaient n'importe quoi, perdaient leur familles, devenaient violent, divorçaient, devenaient SDF. 

J'ai l'impression qu'on est sur autre chose. 

Apres, en terme de neurobiologie on a pas encore totalement la capacite de dire "tel type de choc impacte la memoire", "tel type de choc cree des migraines chroniques", etc etc. Je suis d'accord avec toi que ce que decrit Chabal est quelque chose que je n'ai jamais entendu de la part d'un sportif victime de CTE, mais difficile de savoir si c'est juste lui qui a des symptomes particuliers, ou si en fait il a eu une combinaison de problemes qui menent a cette etat d'amnesie sans autre symptome (a priori).

[Ptolémée]

on peut facilement comprendre la réticence des parents d'envoyer

leurs enfants au casse-pipe 

[RCV06]

on peut facilement comprendre la réticence des parents d'envoyer

leurs enfants au casse-pipe 

Non, ils peuvent les envoyer à l école de rugby sans crainte, rien n a changé depuis mon époque, à part une petite fracture ils ne risquent rien.

 

Par contre ne pas avoir envie qu ils prennent l option pro, la oui, car la tout a changé, les risques sont réels et bien plus élevés paradoxalement qu à l époque de la bagarre.

 

Ce qui est débile c'est de faire croire aux gamins que c'est important de mettre un casque. Le casque protège l extérieur, les oreilles et d éventuelles coupures sur le crane, mais pour l intérieur ça ne sert a rien et en plus a leur age le risque pour le cerveau est quasi nul surtout si leur éducateurs sont pas trop cons et se concentrent sur le jeu de balle plutôt que de singer les grands.

 

Il est plus urgent de contrôler les parents débiles des bords de terrain que les gamins qui courent partout avec un ballon dans les mains.

[el landeno]

a cet âge, en matière de traumatisme cérébral, il est beaucoup plus dangereux d'envoyer son enfant à l'école de Betharram plutôt qu'à l'école de rugby

[TH69]

question , quand je vois tout ces cas de commotion pourquoi à priori en terme de "procès ou négociation" il semblerait qu'il y ait que l'ASM qui soit impactée ? (cudmore, Vaha, lapandry,....)

[Alex chocolatines]

Non, ils peuvent les envoyer à l école de rugby sans crainte, rien n a changé depuis mon époque, à part une petite fracture ils ne risquent rien.

 

Par contre ne pas avoir envie qu ils prennent l option pro, la oui, car la tout a changé, les risques sont réels et bien plus élevés paradoxalement qu à l époque de la bagarre.

 

Ce qui est débile c'est de faire croire aux gamins que c'est important de mettre un casque. Le casque protège l extérieur, les oreilles et d éventuelles coupures sur le crane, mais pour l intérieur ça ne sert a rien et en plus a leur age le risque pour le cerveau est quasi nul surtout si leur éducateurs sont pas trop cons et se concentrent sur le jeu de balle plutôt que de singer les grands.

 

Il est plus urgent de contrôler les parents débiles des bords de terrain que les gamins qui courent partout avec un ballon dans les mains.

Mais c'est qu'il dit pas que des conneries le gonze 

 

à l'école de rugby, les droles apprennent les bons gestes pour ne pas se blesser, et comme tu dis c'est beaucoup plus tard que les choses se gâtent.

Et puis si on parle danger, je serais  bien plus inquiet avec un gamin qui ferait du vélo en se faisant passer à ras des feuilles par des abrutis à 100 à l'heure.

[Ptolémée]

Non, ils peuvent les envoyer à l école de rugby sans crainte, rien n a changé depuis mon époque, à part une petite fracture ils ne risquent rien.

 

Par contre ne pas avoir envie qu ils prennent l option pro, la oui, car la tout a changé, les risques sont réels et bien plus élevés paradoxalement qu à l époque de la bagarre.

 

Ce qui est débile c'est de faire croire aux gamins que c'est important de mettre un casque. Le casque protège l extérieur, les oreilles et d éventuelles coupures sur le crane, mais pour l intérieur ça ne sert a rien et en plus a leur age le risque pour le cerveau est quasi nul surtout si leur éducateurs sont pas trop cons et se concentrent sur le jeu de balle plutôt que de singer les grands.

 

Il est plus urgent de contrôler les parents débiles des bords de terrain que les gamins qui courent partout avec un ballon dans les mains.

 

perso 

 

Non, ils peuvent les envoyer à l école de rugby sans crainte, rien n a changé depuis mon époque, à part une petite fracture ils ne risquent rien.

 

Par contre ne pas avoir envie qu ils prennent l option pro, la oui, car la tout a changé, les risques sont réels et bien plus élevés paradoxalement qu à l époque de la bagarre.

 

Ce qui est débile c'est de faire croire aux gamins que c'est important de mettre un casque. Le casque protège l extérieur, les oreilles et d éventuelles coupures sur le crane, mais pour l intérieur ça ne sert a rien et en plus a leur age le risque pour le cerveau est quasi nul surtout si leur éducateurs sont pas trop cons et se concentrent sur le jeu de balle plutôt que de singer les grands.

 

Il est plus urgent de contrôler les parents débiles des bords de terrain que les gamins qui courent partout avec un ballon dans les mains.

 

...et c'est bien là l'objectif rêvé de pas mal de jeune 

je suis trés partagé là dessus 

[kennaugh]

Si le mec a la mémoire en compote, il s appuie sur quoi pour nous faire ses " expertises canalesques "

Il serait pas entrain d essayer de relancer la "légende" en rajoutant un épisode pour apitoyer le chaland.

 

Si lui ne se souvient plus de rien, doit y en avoir un paquet qui on des trous d'air dans le cigare, car il y a eu des beaucoup plus virulents que lui même s'ils sont restés dans l anonymat.

Il y en a vraiment un paquet oui. Y compris des gars qui ont même des gros problèmes de mémoire immédiates.

[InASMWeTrust]

Moi par exemple je ne me souviens pas de qui est ce Chabal dont vous parlez tous.

[el landeno]

Chabal, un témoignage qui relance les débats sur la santé des joueurs de rugby Les confidences de Sébastien Chabal à la chaîne YouTube « Legend » ont sidéré au-delà du milieu du rugby et inquiètent sur leur éventuelle portée. La notoriété de l'ex-international français a toutefois permis de placer à un tout autre niveau le débat sur la santé cérébrale des anciens joueurs de rugby en lui donnant une résonance mondiale.

 

« Ne t'inquiète pas ! Je n'ai eu que quelques petits soucis de mémoire... Tu n'as qu'à leur dire que tout va bien ! » C'est par ces mots que le plus célèbre des barbus du rugby a répondu à l'appel téléphonique d'Olivier Capel, président du comité médical de la FFR, ancien membre du staff médical du LOU. Ce n'est pas tout à fait dans ces proportions que l'opinion publique a perçu ces confidences. Témoignage central au coeur d'une sidération depuis que Guillaume Pley a diffusé, mercredi dernier sur YouTube, une longue interview de Sébastien Chabal dans son émission « Legend » au cours de laquelle l'ancien troisième-ligne aile (47 ans, 62 sélections) a évoqué ses problèmes de mémoire. « Je n'ai aucun souvenir d'une seule seconde d'un match de rugby que j'ai joué », avoue-t-il.

 

Passé par Bourgoin, Sale, le Racing 92 et Lyon, au fil d'une carrière qui s'est étiré de 1993 à 2014, le consultant vedette de Canal+ s'est étonné, en privé, de la déflagration générée ces derniers jours par ses propos. Commenté dans les journaux télévisés à heure de grande écoute, relayé dans la presse internationale, son « trou noir » a, en effet, fait réagir ses anciens partenaires et entraîneurs - Bernard Laporte, Pascal Papé, Philippe Saint-André, Julien Bonnaire. Mais pas que. « Il va très bien, précisait ainsi Laporte sur le plateau de BFM TV. Il m'a dit qu'il n'avait aucuns maux de tête et que ça fait longtemps qu'il a perdu la mémoire. » Avant d'ajouter : « Il est surpris par l'emballement médiatique qu'il y a autour de tout ça. » Que Sébastien Chabal, homme de média depuis 2015, n'ait pas mesuré à quel point ses déclarations - comme ne plus se souvenir de la naissance de sa fille - pouvaient impacter des confins des Borders jusqu'aux écoles de rugby, a de quoi surprendre. « S'il a véritablement perdu la mémoire, c'est effrayant, réagit Jean-Luc Fabre, président de Sète (Fédérale 3). Et ça ne va pas rassurer les parents au moment d'amener leurs enfants au club. Ça a un effet d'autant plus négatif que ça devient très compliqué de constituer des équipes de jeunes... »

lire aussi« Je n'ai aucun souvenir d'une seule seconde d'un match que j'ai joué » : Sébastien Chabal raconte ses problèmes de mémoire

Du côté de Surgères (Fédérale 2), en Charente-Maritime, « c'est un sujet de discussion au sein du club, constate le président Christophe Richetta. La télévision en a parlé, et donc tout le monde va être sensibilisé sur ce thème. Ça aura une incidence au sein de l'école de rugby, même s'il est un peu tôt pour la mesurer ». Gérard Malaurie, ancien président du Buisson (Régionale 3), lui, est convaincu que « le soufflé va retomber. Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas s'intéresser à cette question des commotions ».

Témoignages et plainte collective d'anciens joueurs

Effectivement, si les confessions de Chabal ont une vertu, c'est bien celle de remettre une focale sur les conséquences traumatisantes des chocs subis par les joueurs et les joueuses sur les terrains de rugby. Ainsi Marie-Alice Yahé, Sébastien Vahaamahina, Alexandre Lapandry, Antoine Burban, Rémi Bonfils et Jamie Cudmore ont témoigné dans L'Équipe, ces dernières années, des séquelles neurologiques et des troubles comportementaux qui dégradent leur vie quotidienne.

 

En 2020, liant la démence précoce dont ils souffrent aux coups reçus pendant leurs carrières, plusieurs internationaux, et parmi eux, le talonneur champion du monde avec l'Angleterre en 2003 Steve Thompson, l'ancien pilier des All Blacks et de Toulon Carl Hayman ou l'ex-flanker gallois Alix Popham, se sont associés à un dépôt de plainte collective à l'encontre d'instances dirigeantes du rugby, dont World Rugby, la Fédération internationale (plainte à laquelle se sont joints aujourd'hui plus de 1 000 sportifs dont plus de 80 % de joueurs de rugby à XV ou à XIII). Interrogé par notre confrère le Parisien, Popham précise : « Ma neurologue m'a dit que 70 % des joueurs professionnels avaient subi des dommages au cerveau. » Une statistique glaçante, bien connue de cette génération d'anciens pros, aujourd'hui quadragénaire, et qui s'inquiète des conséquences à long terme de la répétition des chocs subis à une époque où le sujet était beaucoup moins bien pris en charge.

 

Sébastien Chabal dans la nasse lors de Racing Métro - Perpignan en 2009. (M. Francotte/L'Équipe)

« On n'a pas attendu les déclarations de Sébastien Chabal pour que le club, le rugby et l'environnement médical de notre sport se mettent en alerte, déclarait vendredi le manager du Stade Toulousain, Ugo Mola, lors de la conférence de presse d'avant-match contre Toulon. Aujourd'hui, on a des protège-dents connectés obligatoires, des protocoles qui sont de plus en plus suivis et poussés, un gros travail autour de la prise en charge des joueurs qui passeraient au travers de ces protocoles-là. On n'a pas été assez loin, mais on est bien mieux que quand Sébastien jouait ou que quand nous, on jouait. »

Interrogé dimanche, Jean-Marc Lhermet, vice-président de la FFR, nous a confirmé que « ce sujet des commotions est traité depuis plusieurs années dans le monde amateur avec de nombreuses mesures et règles, comme la diminution de la hauteur du plaquage dans les catégories amateur, le carton bleu qui permet à l'arbitre de sortir un joueur commotionné, les protocoles HIA, le suivi médical concernant le retour au jeu ». La FFR, en association avec la LNR, finalisera bientôt un suivi médical, radiologique, biologique et psychologique post-carrière. « C'est un parcours de soins pour des symptômes qui peuvent aller du trouble de l'humeur jusqu'à la maladie de Parkinson », précise Capel.

Les mauvais exemples du foot US et de la boxe

Car derrière le déficit de mémoire dont souffrirait Chabal plane l'ombre de l'ETC (encéphalopathie traumatique chronique), pathologie provoquée par des commotions cérébrales répétées et diagnostiquée il y a plus de trois décennies chez les footballeurs américains et les boxeurs. « Dans le rugby, on récupère actuellement les premières données concernant cette pathologie, note ce médecin urgentiste. Certains de nos joueurs jouent sûrement trop et nous réfléchissons, avec World Rugby, au nombre de semaines sans contacts - minimum huit - nécessaires pour protéger les joueurs. Car il faut savoir qu'une commotion cérébrale ne laisse souvent aucune séquelle après du repos. Ce sont les seconds impacts sur un cerveau qui n'aurait pas "cicatrisé" et leurs répétitions qui entraînent des séquelles à long terme », précise Capel, qui a proposé à Chabal, pour l'instant sans succès, une évaluation médicale.

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Tous les 25 matches, le nombre moyen de commotions par équipes recensées par la FFR chez les professionnels (saison 2023-2024).
Chez les amateurs, le rapport est de 2 commotions tous les 25 matches.

 

 

[RCV06]

 

perso 

 

 

...et c'est bien là l'objectif rêvé de pas mal de jeune 

je suis trés partagé là dessus 

Mais que les mômes en rêve c'est normal, moi aussi je rêvais d être inter, bon ça s'est pas fait , mais si les parents laissent faire, c'est qu ils acceptent des risques éventuels, après quand il y a un gros pépin faut pas venir se plaindre et chercher des responsabilités partout.

Même en étant constamment dans les clous, tu n es pas a l abri que ton môme reste sur le carreau suite a un geste virulent mais réglo, on ne sait jamais quelles faiblesses on a en nous dissimulées.