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[Requiem_W]

Entretien dans Actu Rugby, ce 23 avril :


Période Covid mal vécue, envie de prolonger, son avenir... Rabah Slimani (Clermont) se confie.


Très utilisé par son club de Clermont dans une saison à deux faces, difficile en Top 14 mais pleine de réussite en Challenge Cup, le pilier international (57 sélections) Rabah Slimani est dans l’attente de savoir s’il se dirige vers une fin de carrière dès le mois de juin ou vers une prolongation.



Actu : Votre prolongation était dans les tuyaux en début d'année 2024, est-elle actée depuis ?

Rabah Slimani : Non.

Ah... vous vous dirigez donc vers une retraite de joueur au mois de juin ?

R.S. : Je ne sais pas !

La situation semble assez floue... Vous ne savez pas si vous serez encore joueur l'an prochain ?

R.S. : J’avais déjà signé pour une année en tant qu’entraîneur pour la saison prochaine. C’est ce qui était prévu, sauf que j’ai repris goût à jouer, j’y prends du plaisir. Et finalement, j’aimerais bien faire une saison de plus. Je n’en sais rien. Honnêtement, je ne sais pas. Je fais ma saison, et je verrai. À la fin de la saison dernière, on savait que j’avais encore cette année à faire, et qu’en juin 2024 ce serait potentiellement fini. Mais on a discuté, sur le fait de me sentir faire une saison de plus. Et à ce moment-là je me sentais plutôt bien, donc on s’est dit qu’on allait laisser le temps de la préparation physique pour voir si je me sentais bien. Et ça s’était très bien passé, j’étais content, donc j’ai dit feu.


Alors que d'autres finissent mâchés par le rugby professionnel, qu'est-ce qui vous pousse à vouloir prolonger ?

R.S. : Franchement, je ne pensais pas jouer autant. Et surtout je ne pensais pas être à ce niveau-là. Parce que j’y ai repris goût, parce qu’on m’a fait confiance aussi. Les aléas ont fait que j’ai plus joué, il y a eu des blessures, la suspension de Cristian (Ojovan, ndlr), et plus tu joues plus tu prends confiance, plus tu y prends goût. Forcément, ça donne envie de continuer. Je m’étais fixé un objectif, en me disant que j’arrêterais à ce moment-là (donc en juin 2025, ndlr). Le problème c’est que ce n’est pas que moi qui décide...

Vous dites que vous avez repris goût au rugby. Vous l'aviez perdu ?

R.S. : Je ne vais pas dire que j’avais perdu ce goût, mais le Covid m’avait fait beaucoup de mal, et pas seulement physiquement. Psychologiquement, j’ai eu des difficultés. C’était après la Coupe du monde 2019, on avait repris le championnat, et à Clermont ça se passait plutôt bien. On avait joué notre dernier match en gagnant à Agen, on était entrés dans les 6 avec une bonne dynamique créée. Après, il y a eu le premier confinement. On nous avait dit qu’on reprendrait après trois semaines, j’avais pris du matériel, j’avais fait le nécessaire pour me maintenir en forme. Et quand on nous a dit qu’on était reconfinés jusqu’à nouvel ordre, j’ai compris que ça allait être long et j’ai pris un gros coup derrière la tête.



Pourtant, une coupure aurait pu faire du bien à un organisme très sollicité... C'est sur le plan mental que ça a été plus difficile ?

R.S. : J’en parlais avec ma femme, et je lui disais presque tous les jours « je crois que je ne sais plus jouer au rugby, je crois que je ne sais plus faire de mêlée ». C’est peut-être con ! Mais quand on a repris au mois de juin, j’avais beaucoup de mal. En mêlée, je ne savais plus comment je devais me lier, en haut, en bas, j’étais perdu. J’ai mis un peu de temps, mais en quelque sorte j’ai dû réapprendre ça.


Auriez-vous un côté hyperactif ?

R.S. : Il ne faut jamais que je m’arrête. Quand on a une pause d’une semaine ou deux, je sais qu’il faut que je fasse quelque chose sinon, sans dire que je vais être à la rue, j’ai peur de perdre le rythme. Surtout que moi, je regarde un truc, je grossis ! Et ça aussi ça joue sur le plan mental. Pendant le confinement, j’avais beau faire tout le sport que je pouvais, on ne faisait que manger, regarder la télé, remanger… ton corps change et t’es dégoûté !


Qu'est-ce qui vous a permis de vous remettre la tête à l'endroit ?

R.S. : Quand Jono est arrivé au club, il y avait Dato (Davit Zirakashvili, ndlr) avec lui. C’était une période où j’étais plus ou moins bien dans le jeu, mentalement… Et à partir de là, j’ai commencé à retrouver un peu le truc. Dato m’avait beaucoup aidé, en me disant que je n’avais pas pu devenir nul du jour au lendemain, oublier comment on tient une mêlée, etc. Donc on a travaillé, et c’est revenu. On m’a donné de la confiance, on m’a intégré aux leaders, et dans la tête ça a fait du bien. Puis Jono a été remplacé par Christophe (Urios, ndlr), qui m’a immédiatement considéré comme un leader du groupe, et c’est là aussi quelque chose qui aide. Le regard des autres n’a pas changé, ils m’ont toujours demandé des conseils, mais j’ai quand même l’impression d’être un de leurs papas, surtout vis-à-vis des plus jeunes. Je me dis que j’aimerais bien continuer pour transmettre, et après ils feront leurs chemins.

Ce rôle de transmission, vous pourrez l'assurer comme joueur ou comme entraineur, d'ailleurs...

R.S. : De toute façon, quoi qu’il arrive, que je continue à jouer ou pas, normalement je ferai toujours partie du club. Que ce soit comme joueur ou entraîneur de la mêlée, j’aurai toujours un peu ce rôle-là. Si je passe dans le staff, j’aurai cette position de transmission entre le staff et les joueurs.

Avez-vous toujours eu au fond de vous cette envie de passer votre savoir et votre expérience ?

R.S. : Cette fibre n’a pas toujours forcément été en moi, elle est née petit à petit. C’est aussi venu au moment où on m’a proposé de reprendre la mêlée. Je le faisais déjà un peu, avec l’expérience que j’ai, les jeunes me posaient des questions, et je répondais avec plaisir. On y prend goût, je vois leur intérêt aussi, c’est bien ! Et je me souviens aussi de quand j’ai commencé, les mecs que j’avais autour de moi, je pense à David Attoub qui m’a énormément apporté, Sylvain Marconnet, Rodrigo Roncero, ont tous été importants.


Clermont aura d'ailleurs bien besoin de ses cadres dans une saison aux enjeux très distincts en Challenge Cup et en Top 14. Comment abordez-vous les prochaines échéances ?

R.S. : On s’était donné des objectifs en début de saison, la Challenge Cup en était un majeur. On aurait très bien pu dire qu’on allait se concentrer sur le Top 14, mais on veut vraiment être présents. Certes, ça se passe un peu moins bien en championnat, mais rien n’est joué. Cette Challenge Cup, c’est un petit bol d’air aussi qui nous a fait du bien. Notamment en janvier où on avait bien joué ensemble, on avait joué juste. Ce truc, on l’avait un peu perdu en février et mars, et on l’a retrouvé en 8e de finale et en quart. Le fait de gagner contre les Cheetahs, de relever le défi contre l’Ulster, ça redonne un élan positif et de la confiance. Ça veut quand même dire qu’on n’a pas trop perdu ce qu’on savait faire.

Le retour aux affaires courantes du championnat n'a pas été trop rude ?

R.S. : Il a fallu qu’on se remette vite au Top 14, car certes on est en demi-finale de Challenge Cup, mais on n’a rien gagné. Le staff nous a mis devant le classement du championnat, et on a pris une petite claque derrière la tête. L’euphorie c’est bien, mais il y a encore du boulot.


Vous affronterez votre club de cœur ce week-end. C'est toujours spécial ?

R.S. : Jouer le Stade français, ça restera toujours particulier. Ça reste le club où j’ai grandi, où j’ai fait une bonne partie de ma carrière, avec lequel j’ai été champion de France. C’est à part. Après, depuis que je suis parti, il y a eu beaucoup de changements, la direction, les entraîneurs. Ça me fera toujours quelque chose, j’ai vécu des trucs exceptionnels avec ce club, mais ça a beaucoup changé.


C'est là :
https://actu.fr/auve...e_60973575.html

[l'exil]

R.S. : On s’était donné des objectifs en début de saison, la Challenge Cup en était un majeur. On aurait très bien pu dire qu’on allait se concentrer sur le Top 14, mais on veut vraiment être présents. Certes, ça se passe un peu moins bien en championnat, mais rien n’est joué. 

 

j'espère qu'il parle de la course au maintien...

 

merci pour le partage.

[F@b]

Rien sur positionnement en pilier gauche

Par contre le staff leur a montré le classement

[Requiem_W]

Rien sur positionnement en pilier gauche
Par contre le staff leur a montré le classement

"Le staff nous a mis devant le classement du championnat, et on a pris une petite claque derrière la tête."

Comme quoi ils n'ont pas tous les pieds sur terre. Et le staff le leur rappelle, heureusement.

[ELSAZOAM]

"Le staff nous a mis devant le classement du championnat, et on a pris une petite claque derrière la tête."

Comme quoi ils n'ont pas tous les pieds sur terre. Et le staff le leur rappelle, heureusement.

Maintenant que le staff leur a montré qu'ils étaient 12èmes au classement, les joueurs (ces grands benêts) se sont dit qu'il fallait se réveiller, alors maintenant ça va chier, ils vont tout gagner d'ici la fin du Top 14 !

Le grand SF va être surpris samedi de rencontrer une bande de fous furieux qui vont leur rouler sur la gueule...   

[bazooka]

On sait tous combien les cons attirent l'épine

 

Un vrai concours

[Silhouette]

Maintenant que le staff leur a montré qu'ils étaient 12èmes au classement, les joueurs (ces grands benêts) se sont dit qu'il fallait se réveiller, alors maintenant ça va chier, ils vont tout gagner d'ici la fin du Top 14 !

Le grand SF va être surpris samedi de rencontrer une bande de fous furieux qui vont leur rouler sur la gueule...   

Du coup c'est bete de pas leur avoir montre le classement avant, si seulement le staff avait su qu'il suffisait de ca 

[steph]

Au soir de la 26ème journée, je crois que je ne serais même pas surpris de voir un joueur déclarer "ah bon, le 13ème doit disputer un barrage ? Je croyais qu'il n'y avait que le dernier qui descendait"

[casquette]

Entretien dans Actu Rugby, ce 23 avril :


Période Covid mal vécue, envie de prolonger, son avenir... Rabah Slimani (Clermont) se confie.


Très utilisé par son club de Clermont dans une saison à deux faces, difficile en Top 14 mais pleine de réussite en Challenge Cup, le pilier international (57 sélections) Rabah Slimani est dans lattente de savoir sil se dirige vers une fin de carrière dès le mois de juin ou vers une prolongation.



Actu : Votre prolongation était dans les tuyaux en début d'année 2024, est-elle actée depuis ?

Rabah Slimani : Non.

Ah... vous vous dirigez donc vers une retraite de joueur au mois de juin ?

R.S. : Je ne sais pas !

La situation semble assez floue... Vous ne savez pas si vous serez encore joueur l'an prochain ?

R.S. : Javais déjà signé pour une année en tant quentraîneur pour la saison prochaine. Cest ce qui était prévu, sauf que jai repris goût à jouer, jy prends du plaisir. Et finalement, jaimerais bien faire une saison de plus. Je nen sais rien. Honnêtement, je ne sais pas. Je fais ma saison, et je verrai. À la fin de la saison dernière, on savait que javais encore cette année à faire, et quen juin 2024 ce serait potentiellement fini. Mais on a discuté, sur le fait de me sentir faire une saison de plus. Et à ce moment-là je me sentais plutôt bien, donc on sest dit quon allait laisser le temps de la préparation physique pour voir si je me sentais bien. Et ça sétait très bien passé, jétais content, donc jai dit feu.


Alors que d'autres finissent mâchés par le rugby professionnel, qu'est-ce qui vous pousse à vouloir prolonger ?

R.S. : Franchement, je ne pensais pas jouer autant. Et surtout je ne pensais pas être à ce niveau-là. Parce que jy ai repris goût, parce quon ma fait confiance aussi. Les aléas ont fait que jai plus joué, il y a eu des blessures, la suspension de Cristian (Ojovan, ndlr), et plus tu joues plus tu prends confiance, plus tu y prends goût. Forcément, ça donne envie de continuer. Je métais fixé un objectif, en me disant que jarrêterais à ce moment-là (donc en juin 2025, ndlr). Le problème cest que ce nest pas que moi qui décide...

Vous dites que vous avez repris goût au rugby. Vous l'aviez perdu ?

R.S. : Je ne vais pas dire que javais perdu ce goût, mais le Covid mavait fait beaucoup de mal, et pas seulement physiquement. Psychologiquement, jai eu des difficultés. Cétait après la Coupe du monde 2019, on avait repris le championnat, et à Clermont ça se passait plutôt bien. On avait joué notre dernier match en gagnant à Agen, on était entrés dans les 6 avec une bonne dynamique créée. Après, il y a eu le premier confinement. On nous avait dit quon reprendrait après trois semaines, javais pris du matériel, javais fait le nécessaire pour me maintenir en forme. Et quand on nous a dit quon était reconfinés jusquà nouvel ordre, jai compris que ça allait être long et jai pris un gros coup derrière la tête.



Pourtant, une coupure aurait pu faire du bien à un organisme très sollicité... C'est sur le plan mental que ça a été plus difficile ?

R.S. : Jen parlais avec ma femme, et je lui disais presque tous les jours « je crois que je ne sais plus jouer au rugby, je crois que je ne sais plus faire de mêlée ». Cest peut-être con ! Mais quand on a repris au mois de juin, javais beaucoup de mal. En mêlée, je ne savais plus comment je devais me lier, en haut, en bas, jétais perdu. Jai mis un peu de temps, mais en quelque sorte jai dû réapprendre ça.


Auriez-vous un côté hyperactif ?

R.S. : Il ne faut jamais que je marrête. Quand on a une pause dune semaine ou deux, je sais quil faut que je fasse quelque chose sinon, sans dire que je vais être à la rue, jai peur de perdre le rythme. Surtout que moi, je regarde un truc, je grossis ! Et ça aussi ça joue sur le plan mental. Pendant le confinement, javais beau faire tout le sport que je pouvais, on ne faisait que manger, regarder la télé, remanger ton corps change et tes dégoûté !


Qu'est-ce qui vous a permis de vous remettre la tête à l'endroit ?

R.S. : Quand Jono est arrivé au club, il y avait Dato (Davit Zirakashvili, ndlr) avec lui. Cétait une période où jétais plus ou moins bien dans le jeu, mentalement Et à partir de là, jai commencé à retrouver un peu le truc. Dato mavait beaucoup aidé, en me disant que je navais pas pu devenir nul du jour au lendemain, oublier comment on tient une mêlée, etc. Donc on a travaillé, et cest revenu. On ma donné de la confiance, on ma intégré aux leaders, et dans la tête ça a fait du bien. Puis Jono a été remplacé par Christophe (Urios, ndlr), qui ma immédiatement considéré comme un leader du groupe, et cest là aussi quelque chose qui aide. Le regard des autres na pas changé, ils mont toujours demandé des conseils, mais jai quand même limpression dêtre un de leurs papas, surtout vis-à-vis des plus jeunes. Je me dis que jaimerais bien continuer pour transmettre, et après ils feront leurs chemins.

Ce rôle de transmission, vous pourrez l'assurer comme joueur ou comme entraineur, d'ailleurs...

R.S. : De toute façon, quoi quil arrive, que je continue à jouer ou pas, normalement je ferai toujours partie du club. Que ce soit comme joueur ou entraîneur de la mêlée, jaurai toujours un peu ce rôle-là. Si je passe dans le staff, jaurai cette position de transmission entre le staff et les joueurs.

Avez-vous toujours eu au fond de vous cette envie de passer votre savoir et votre expérience ?

R.S. : Cette fibre na pas toujours forcément été en moi, elle est née petit à petit. Cest aussi venu au moment où on ma proposé de reprendre la mêlée. Je le faisais déjà un peu, avec lexpérience que jai, les jeunes me posaient des questions, et je répondais avec plaisir. On y prend goût, je vois leur intérêt aussi, cest bien ! Et je me souviens aussi de quand jai commencé, les mecs que javais autour de moi, je pense à David Attoub qui ma énormément apporté, Sylvain Marconnet, Rodrigo Roncero, ont tous été importants.


Clermont aura d'ailleurs bien besoin de ses cadres dans une saison aux enjeux très distincts en Challenge Cup et en Top 14. Comment abordez-vous les prochaines échéances ?

R.S. : On sétait donné des objectifs en début de saison, la Challenge Cup en était un majeur. On aurait très bien pu dire quon allait se concentrer sur le Top 14, mais on veut vraiment être présents. Certes, ça se passe un peu moins bien en championnat, mais rien nest joué. Cette Challenge Cup, cest un petit bol dair aussi qui nous a fait du bien. Notamment en janvier où on avait bien joué ensemble, on avait joué juste. Ce truc, on lavait un peu perdu en février et mars, et on la retrouvé en 8e de finale et en quart. Le fait de gagner contre les Cheetahs, de relever le défi contre lUlster, ça redonne un élan positif et de la confiance. Ça veut quand même dire quon na pas trop perdu ce quon savait faire.

Le retour aux affaires courantes du championnat n'a pas été trop rude ?

R.S. : Il a fallu quon se remette vite au Top 14, car certes on est en demi-finale de Challenge Cup, mais on na rien gagné. Le staff nous a mis devant le classement du championnat, et on a pris une petite claque derrière la tête. Leuphorie cest bien, mais il y a encore du boulot.


Vous affronterez votre club de cur ce week-end. C'est toujours spécial ?

R.S. : Jouer le Stade français, ça restera toujours particulier. Ça reste le club où jai grandi, où jai fait une bonne partie de ma carrière, avec lequel jai été champion de France. Cest à part. Après, depuis que je suis parti, il y a eu beaucoup de changements, la direction, les entraîneurs. Ça me fera toujours quelque chose, jai vécu des trucs exceptionnels avec ce club, mais ça a beaucoup changé.


C'est là :
https://actu.fr/auve...e_60973575.html

Ça fait du bien dentendre parler en bien du staff

[Binche63]

Ça fait du bien dentendre parler en bien du staff

Par contre que le mec ne sait pas encore s il sera joueur l an prochain ça fait pas sérieux.
Sinon faut le conserver en potentiel joker

[Buckaroo]

S'il a la même forme que cette saison, ce serait dommage de ne pas le prolonger une année de plus. Je me demande même s'il ne nous fait pas sa meilleure saison depuis qu'il est chez nous.

Surtout que sa - relative - polyvalence pourrait nous faire du bien la saison prochaine. Rien ne l'empêche de faire une transition en douceur en étant joueur/entraineur.
Pour moi, sa meilleure saison, c'était celle de l'hécatombe de blessures, en 2018.

[InASMWeTrust]

Une itw qui donne l'impression qu'on navigue à vue dans le classement et les objectifs, le recrutement et les prolongations...

[Buckaroo]

Une itw qui donne l'impression qu'on navigue à vue dans le classement et les objectifs, le recrutement et les prolongations...

Il n'y a guère qu'au niveau du jeu et des résultats qu'on ne navigue pas à vue ; on coule.

[InASMWeTrust]

"Le staff nous a mis devant le classement du championnat, et on a pris une petite claque derrière la tête."

Comme quoi ils n'ont pas tous les pieds sur terre. Et le staff le leur rappelle, heureusement.

A la 21e journée il est temps. Les mêmes évoquant encore la 6ème place il y a peu.