9841 réponses à ce sujet

[George Abitbol]

On parle d'Altrad pas d'une instagrameuse.

[Alex chocolatines]

On parle d'Altrad pas d'une instagrameuse.

Altrad a des gens ! Des grouillots, des valets...

[el landeno]

https://www.lequipe....x-camps/1182728

[red-and-black31]

Laporte l'unification de tout le rugby aura duré 20 secondes.

 

Il rajouter une date sans concerter les clubs et les menaces de sanctions.

 

[Bougnat et Breton]

Les diapos !!!! Gourine va te traiter de vioque ! 

Ha bon, il y a autre chose maintenant ?

[Y&B]

Ha bon, il y a autre chose maintenant ?

Ben oui, le Polaroïd

[thurfin]

on a pas de besoin des ces matchs pour emplir les caisses ,Laporte et ses copains vendent les BM et circulent a vélo,c'est tout...

surtout avec une jauge à 1000 spectateurs, il y'a des chances que ces matchs vident les caisses de la fédé.

J'ai même eu des échos très fiables, que certains clubs pros n'ont rien fait pour aller contre l'équipe Laporte car l'enjeu de la CDM 2023 était trop important pour certains propriétaires de club, qui seront dans les différents contrats commerciaux liés à l'organisation de cette compétition mondiale sur notre territoire... je n'en dis pas plus, ceux qui sont initiés comprendront...

Et comme en 2007 ca sera un évènement très parisien

https://www.rugbyram...929/story.shtml

 

Pour un mec qui défend les territoire c'est fort alors qu'on a désormais un stade de 70 000 places à Marseille, 50 000 à Lyon et Lille il met les 2 1/2 et 2 1/4 à st denis. A croire qu'il a déjà anticipé la prise de participation dans le consortium.

[el landeno]

https://www.lequipe....joueurs/1183044

[xdderf63]

https://www.lequipe....joueurs/1183044

 

BL : "Qui c'est cette Moyersoen ?  Y'a que sa mère qui sait écrire son nom"

[Alex chocolatines]

 

BL : "Qui c'est cette Moyersoen ?  Y'a que sa mère qui sait écrire son nom"

C'est bien son style à Bernie !

Toutefois, vaudrait mieux qu'il la joue fin avec elle, j'ai l'impression qu'elle connait " un peu " le sujet ! 

 

https://www.droitdus...icia-moyersoen/

[Bougnat et Breton]

C'est bien son style à Bernie !

Toutefois, vaudrait mieux qu'il la joue fin avec elle, j'ai l'impression qu'elle connait " un peu " le sujet ! 

 

https://www.droitdus...icia-moyersoen/

Bof, ce n'est qu'une Pipasse (selon le vocabulaire Laportien)

[Alex chocolatines]

Bof, ce n'est qu'une Pipasse (selon le vocabulaire Laportien)

Sauf que là, il n'est pas à la buvette du stade de Trifouillis les oies, le Bernie ! Va pas falloir qu'il parle gras, ça va pas etre une réponse tiède à la Grill ..... Les avocats, c'est plutot, lettre recommandée et tribunal !  ça manque à sa collection de casseroles, une petite plainte pour insultes, diffamation......

[Benoit_montreal]

La LNR anticipe un éventuel blocage des joueurs.

 

https://www.lequipe....joueurs/1183283

 

Je suis pas mal sûr que, de son coté, la FFR va brandir la menace de ne pas envoyer d'arbitres sur les futurs matches de Top14

[George Abitbol]

Je suis pas mal sûr que, de son coté, la FFR va brandir la menace de ne pas envoyer d'arbitres sur les futurs matches de Top14

 

Je peux me tromper, mais je n'y crois pas une seconde.

 

Déjà l'État se propose de jouer les médiateurs et ne laissera probablement pas la situation aller jusque là.

 

 

Et même en supposant que ce soit possible, ce serait un signal fort envoyé aux clubs pour s'émanciper et créer un championnat parallèle (en prenant le risque de perdre la coupe d'Europe toute fois). Ça ressemble à la dissuasion nucléaire, si quelqu'un va trop loin tout le monde est perdant.

 

 

N'empêche un top 12 sans le MHR et l'autre club qui soutient Laporte (j'ai oublié lequel) ça me plairait bien.

[el landeno]

Bleus : l'article 9 de World Rugby au centre du conflit LNR / FFR Au coeur du conflit entre la FFR et la LNR, qui doivent discuter à nouveau ce mercredi, la règle 9 de World Rugby sur la mise à disposition des internationaux fait aussi l'objet d'une attaque de la Ligue devant la justice européenne.

Vous voyez l'image du caillou dans la chaussure ? Remplacez-le par une punaise, ou un clou, et vous aurez une idée de ce que représente aujourd'hui l'article 9 dans la relation entre World Rugby et la Ligue nationale de rugby. Le climat délétère entre la Fédération française et la LNR, sur le sujet de la mise à disposition des internationaux pour la fenêtre de l'automne 2020, n'a d'ailleurs fait qu'envenimer une relation déjà détériorée par la qualité des échanges entre l'instance internationale et celle qui gère le rugby professionnel français, au printemps dernier.

 

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Le ministère des Sports va recevoir prochainement la LNR et la FFR

Dans les faits, la Ligue, appuyée par ses clubs, a déposé une plainte auprès de la Commission européenne afin de dénoncer cet article qui les contraint à mettre à disposition gratuitement leurs joueurs pour les équipes nationales sur des périodes données. L'action intentée à Bruxelles ne remet pas en cause la nécessité de l'existence d'une règle qui régit la libération des internationaux. En revanche, elle attaque son amplitude, sa gestion, le processus de décision qui amène à la modifier sans concertation avec les ligues professionnelles et l'absence de contrepartie, notamment suite aux grandes compétitions comme la Coupe du monde, qui génère des revenus importants.

La procédure lancée au niveau européen début septembre menace l'équilibre sur lequel repose le fonctionnement du rugby international. Ces derniers jours, le Sunday Times et Sud-Ouest rappelaient la mise en garde de Vernon Pugh, premier président élu de l'International Rugby Board (1996-2003) : l'avocat gallois soulignait l'incongruité et la fragilité de cet article 9 sur lequel repose pourtant l'économie du rugby au niveau mondial et jurait qu'il ne pèserait pas lourd s'il était attaqué devant les bonnes juridictions.

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L'ordonnance du Conseil d'État diffusée vendredi entrouvre une porte inquiétante pour Wolrd Rugby, notamment lorsqu'il indique : « La réglementation de la structure interne dénommée World Rugby ne produit pas d'effet direct en droit public national. »

«Quand je vois qu'aujourd'hui la LNR attaque l'article 9, je me dis que j'avais raison»

Mourad Boudjellal, ancien président de Toulon

 

 

 

Pourtant, la FFR, de son côté, continue de se réfugier derrière la prévalence de la règle 9 : « Dans la convention (FFR-LNR), il est clairement dit que les clubs doivent obéir aux règles internationales et notamment la règle 9 », indiquait son vice-président, Serge Simon, mardi, dans les colonnes de Sud-Ouest, omettant de préciser que toute modification du champ d'application de cette règle 9 doit faire l'objet d'une discussion et d'un accord préalable entre les deux instances (art.11.1).
La Ligue n'est pas le premier acteur du rugby pro à mettre la Fédération internationale devant les tribunaux à ce sujet.

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«Les clubs seraient dans leur bon droit de ne pas libérer les joueurs»

En 2015, Mourad Boudjellal, président du RCT, avait lui aussi lancé une action à propos de l'article en question. « J'avais attaqué pour les internationaux étrangers. Quand les joueurs partaient, le club n'était pas indemnisé. Si j'ai attaqué l'article 9, c'était pour dire : nous avons des salariés et nous sommes les seuls habilités à les faire travailler. Après, j'avais évoqué une solution pour faire évoluer la règle. Qu'un joueur parte en équipe nationale, que son club refuse de le payer, que le joueur attaque son club aux prud'hommes et que le club se retourne contre World Rugby et sa règle 9. World Rugby sera obligé de se justifier en disant que le règlement de World Rugby prévaut sur le droit social français. Or cela va être compliqué. Le droit est plus fort qu'un règlement. De plus, l'ambiguïté avec la règle 9, c'est qu'il est écrit que le contrat de travail doit continuer. Qu'est-ce que ça vaut ? Si je mets mon joueur en congés sans solde, le contrat de travail continue non ? Il y a des failles. »

Quand il s'était retourné, Boudjellal s'était senti un peu seul à l'époque : « On m'a répondu qu'il y avait un règlement et qu'il fallait le respecter : tu veux faire la guerre, vas-y. Si tu réussis, bravo ! Alors, quand je vois qu'aujourd'hui la LNR a attaqué l'article 9, je me dis que j'avais raison. Le problème de la LNR, c'est qu'elle est dans le constat, jamais dans l'anticipation. Diriger, c'est anticiper. »

L'ex-patron de Toulon avait abandonné ses poursuites après que le tribunal de Marseille et la cour d'appel d'Aix-en-Provence s'étaient déclarés incompétents géographiquement.Le sujet, lui, demeure, et il concerne autant les joueurs français qu'étrangers. Il est même très ancien.

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La Ligue a préparé une riposte en cas de blocage des joueurs

En 2007, face à la mondialisation du rugby et les flux de joueurs trans-hémisphères, Bernard Lapasset, alors président de la FFR, évoquait la nécessité d'une refonte de l'article 9 : « Il faut trouver une organisation du système plus cohérente, et peut-être revoir la règle 9 qui régit cela, pour trouver un meilleur équilibre. »

Treize années plus tard, et alors que l'ancien édile fédéral a passé huit ans à la tête de World Rugby (2008-2016), rien n'a vraiment bougé. Mourad Boudjellal, de son côté, irait plus loin que l'action menée par la Ligue : « Il y a d'autres problématiques avec cet article 9. Imaginons le cas d'un joueur qui prend un carton rouge en sélection. Il prend six matches et du coup il ne peut pas jouer en club pendant six semaines. Est-ce normal de le payer pendant cette suspension ? »

La Ligue déterminée à obtenir des réponses et un siège permanent à la table des négociations

Le problème s'est également posé dans l'autre sens et il est tout aussi scandaleux, quand des présidents de club ont monnayé l'abandon de leur sélection avec des joueurs le plus souvent issus de nations mineures.

Dan Leo, ex-international samoan, l'avait dénoncé, et son compatriote Eliot Fumaono-Sapolu, lui aussi ancien joueur des Samoa et avocat, s'en était indigné dans ces mêmes colonnes le 11 novembre 2015 : « Quand les clubs crachent sur le règlement et demandent aux joueurs des petits pays de renoncer à leur sélection en échange d'un meilleur contrat, Bernard Lapasset prétend qu'il n'y peut rien. World Rugby édicte des lois que les riches peuvent enfreindre, pas les pauvres. »

La supériorité toute relative des règlements de la Fédération internationale sur les lois nationales rend sa position caduque voire impossible et ce qui fonctionne comme un gentleman agreement imparfait depuis des décennies se retrouve dans l'éventualité de disparaître si la Ligue menait son action au bout. Mourad Boudjellal avait déjà perçu la panique au service juridique de World Rugby quand il était monté seul au front. Aujourd'hui, la Ligue, financièrement plus puissante que la FFR, et soutenue par la grande majorité des clubs du Top 14, semble déterminée à obtenir des réponses et un siège permanent à la table des négociations plutôt qu'une invitation.

En parallèle, la LNR a lancé d'autres procédures au tribunal de grande instance de Paris contre World Rugby, portant sur la transparence de l'organisme international. Elle demande à comprendre le fonctionnement de l'institution puisqu'il existe six entités juridiques différentes dont deux trusts financiers. Les six sociétés ont été assignées ainsi que Bill Beaumont, le président de World Rugby et Brett Gosper, son CEO en leur qualité de représentants légaux. La première audience devait avoir lieu hier et elle ne présageait pas d'une pacification des relations