A moins que la France décide de se lancer dans une guerre européenne,
Parallèle pertinent. On a vu ce que ça faisait de changer d'organisateur au dernier moment. Je pense que ça a vacciné par mal de monde.
Posted 04 June 2022 - 17:26 PM
A moins que la France décide de se lancer dans une guerre européenne,
Parallèle pertinent. On a vu ce que ça faisait de changer d'organisateur au dernier moment. Je pense que ça a vacciné par mal de monde.
Posted 04 June 2022 - 17:56 PM
Je suis d'accord avec Painauchoco. A moins que la France décide de se lancer dans une guerre européenne, se rende coupable de génocide ou ait son territoire touché par un virus mortel qui s'arrête à ses frontières, je ne vois pas ce qui pourrait justifier une annulation de la Coupe du Monde. Laporte et sa bande, ce sont de petites crapules locales, pas des criminels de guerre.
Corruption de fédération pour obtenir la Coupe.On est un peu loin des magouilles altradiennes là.
"....Exemple, extrait du même document : « On relève en 2015 un cadeau clientèle non justifié d'une valeur de 14 107 € » à un représentant d'Asia Rugby.... "
Il me semble que les Sud'Af, l'avaient très mal vécu.
"..L'organisation de la Coupe du monde 2023 bientôt sans pilote ?
Étant donné la nature des infractions présumées, il n'est pas impossible que soit demandée par le procureur une interdiction de gestion, dont l'exécution pourrait ne pas être suspensive en cas d'appel. Dans un scénario pareil, on se retrouverait sans pilote et sans copilote à moins d'un an de la Coupe du monde. « J'apprends comme vous ce renvoi devant le tribunal correctionnel, nous a fait savoir la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra. Je me garde de tout commentaire dans une affaire judiciaire en cours. C'est à la justice de faire son travail. »
Maintenant, si réclamation, il y a, auprès de WR, La binocle sera juge et coupable, donc en effet peu de suite.
Posted 04 June 2022 - 18:20 PM
Ça fera malheureusement pchitt ... comme le reste
Posted 04 June 2022 - 18:25 PM
Parallèle pertinent. On a vu ce que ça faisait de changer d'organisateur au dernier moment. Je pense que ça a vacciné par mal de monde.
Tu parles du mondial de football en Russie ? (vraie question ; à part la boxe et le rugby, je ne suis strictement aucun sport pro).
Posted 04 June 2022 - 18:32 PM
Tu parles du mondial de football en Russie ? (vraie question ; à part la boxe et le rugby, je ne suis strictement aucun sport pro).
L'organisation de la finale de la ligue des champions de l'UEFA au stade de France au lieu de Saint-Pétersbourg en moins de 3 mois après sanction de la Russie. Avec le succès qu'on connaît.
Posted 04 June 2022 - 18:54 PM
L'organisation de la finale de la ligue des champions de l'UEFA au stade de France au lieu de Saint-Pétersbourg en moins de 3 mois après sanction de la Russie. Avec le succès qu'on connaît.
Ah ! Je viens de voir ça. Si je comprends bien, il y a eu des vols/agressions par des individus profitant de la situation, mais aussi des violences policières ? Et les autorités françaises peinent à reconnaître leur responsabilité ?
Pour les britanniques, il faut comprendre que ce genre de choses doit rappeler un peu la catastrophe de Hillsborough.
L'organisation de l'admission des billets est du ressort du pays hôte, ou de l'instance qui s'occupe d'organiser la compétition ?
Posted 04 June 2022 - 19:23 PM
Ah ! Je viens de voir ça. Si je comprends bien, il y a eu des vols/agressions par des individus profitant de la situation, mais aussi des violences policières ? Et les autorités françaises peinent à reconnaître leur responsabilité ?
Noooon, c'est pas le style.
L'organisation de l'admission des billets est du ressort du pays hôte, ou de l'instance qui s'occupe d'organiser la compétition ?
C'est l'UEFA qui organise la compétition, et qui délègue à l'instance locale normalement (FFF ou LNF j'imagine) pour le stade, et l’extérieur du stade est sous la responsabilité des autorités locales, donc la préfecture qui représente l'État.
Mais bon peu importe les responsabilités, ce que je voulais dire, c'est qu'une des causes de ce fiasco (et il y en a d'autres) c'était l'organisation dans la précipitation. Je ne pense pas que beaucoup de monde serait près à retenter en dehors de circonstances exceptionnelles, comme une (autre) guerre justement.
Posted 08 June 2022 - 08:45 AM
Ça fera malheureusement pchitt ... comme le reste
Ça dépendra des Fédérations Sud'Af et Irlandaises., lésées dans le choix de la France par corruption.
Si elles portent plainte, le procès aurait lieu en Irlande, où est le siège de WR.
Bon, vu la lenteur de la justice, je peux reconnaitre qu'organisation du Mondial reste en France.
Par contre, le Vice-Président de WR, pourrait avoir des ennuis....................... en attendant on a Platoch' pour se consoler.
Posted 08 June 2022 - 08:55 AM
Ça fera malheureusement pchitt ... comme le reste
A part que c'est François-Xavier Dulin qui s'occupe de l'inculpation, c'est lui qui a mis Claude Guéant en prison, pas sûr qu'il lache l'affaire si facilement !
Posted 08 June 2022 - 20:37 PM
Posted 09 June 2022 - 16:52 PM
La FFR se porte partie civile. https://www.lequipe....-civile/1337785
Posted 09 June 2022 - 18:00 PM
La FFR se porte partie civile. https://www.lequipe....-civile/1337785
Ils se portent partie civile pour avoir accès au dossier. Le Bernie en a tellement fait qu'il ne se rappelle plus de tout ! Si il veut trouver des excuses à tout, faut qu'il commence à réviser le doss !
Posted 22 June 2022 - 05:57 AM
Cette réunion, il l'a terminée en bas des escaliers dans une couverture de survie. Autour de lui, des collègues paniqués et du personnel de sécurité de la Maison de la mutualité, où se trouvent les bureaux du Groupement d'intérêt public (GIP) France 2023, en plein coeur de Paris. Les pompiers ont été appelés. Ils donnent des consignes par téléphone. « Il avait les yeux révulsés, c'était effrayant cette crise d'angoisse », racontent plusieurs témoins.
Depuis ce jour, il y a trois mois maintenant, ce salarié n'est plus revenu travailler au GIP France 2023. Il ne le peut pas. Sa santé est trop abîmée. Ce même jour, une jeune salariée, victime d'un burn-out (syndrome d'épuisement professionnel) et de crises d'anxiété liées au management du GIP, avait programmé son pot de départ. On lui a raconté ce qui était arrivé à son collègue, qu'il valait mieux reporter le pot. Il n'aura jamais lieu.
Le salarié de la couverture de survie est un compagnon de la première heure de Claude Atcher, actuel directeur général du GIP. Il était là dès le moment où la candidature française à l'organisation de la Coupe du monde a été ressortie des tiroirs à l'arrivée de Bernard Laporte à la tête de la FFR en décembre 2016.
Ce jour de mars, pour lui, pendant cette réunion, « c'est l'humiliation de trop, attestent différentes sources. Pour affirmer son autorité, Claude Atcher a besoin de dénigrer, de violenter verbalement. Il ne s'en cache pas. Il a pour habitude de dire que pour se faire respecter, il faut faire peur. Sa grande spécialité, c'est d'humilier devant tout le monde. Au début, son mécanisme consistait à prendre pour cibles les directeurs des différents services et puis c'est vite devenu tout le monde. »
Nous avons pu recueillir les témoignages d'une quinzaine de salariés du GIP. Certains en sont partis, d'autres non. Certains ne veulent plus y retourner, ou ne le peuvent pas. « Ça me fait peur de vous parler », nous diront plusieurs interlocuteurs. L'un d'eux fait défiler le récit circonstancié « de ces humiliations en réunion ou dans l'open space, les cris, les insultes aussi ». Un autre parle d'un « management par la terreur », une expression que nous entendrons à de multiples reprises. Quelqu'un décrit « ce silence et toutes ces têtes rentrées dans les épaules, les yeux baissés vers son écran d'ordinateur quand le chef arrivait et qu'on avait compris que ça allait tomber sur quelqu'un ».
Toutes ces personnes n'ont pas souhaité que leur nom apparaisse pour ne pas mettre en danger leur avenir professionnel, immédiat ou plus lointain. La peur, encore elle. Au cours de cette enquête, nous avons reçu un e-mail, envoyé via la messagerie sécurisée Proton. « Je ne peux m'empêcher de vous alerter sur les pratiques du Comité d'organisation de la Coupe du monde et son DG, Claude Atcher. Management par la peur, dépressions à répétition, démissions... L'ambiance est juste folle. » Cette personne a accepté de nous parler de vive voix (vive mais robotisée) après avoir téléchargé un logiciel modificateur de voix.
« Les horaires de malade, les mails à pas d'heure, les coups de fil le week-end... Et si vous ne répondez pas, on saura vous faire culpabiliser. Le droit à la déconnexion n'est pas du tout respecté
Un témoin de France 2023
Structure éphémère, appelée à fermer une fois la Coupe du monde livrée, le GIP 2023 a été fondé en mars 2018. Environ 70 personnes travaillent au siège, situé dans le Ve arrondissement de Paris. En ce moment, au moins six d'entre elles sont en arrêt de travail, la plupart pour surmenage, état anxio-dépressif... Une vingtaine de salariés sont déjà partis et au moins quatre autres seraient sur le départ. Le GIP en est à son troisième directeur de la communication (« ce poste, entre nous, on l'appelle le siège éjectable », ironise une source).
Des services entiers, comme la communication, les ressources humaines ou le sponsoring, se retrouveraient en sous-effectif, entre les démissions, les départs négociés, les arrêts maladie. « Normalement, dans ce genre de structure événementielle, à un an ou un an et demi du jour J, plus personne ne s'en va, les services sont sur des rails, indique un connaisseur de ces métiers. Au GIP, c'est tout le contraire. »
« Avec les départs et les arrêts maladie, la charge de travail pour ceux qui restent devient de plus en plus dingue, explique quelqu'un qui a jeté l'éponge. C'est le cercle vicieux. » Parmi les personnes nous ayant parlé, beaucoup ont souffert du syndrome d'épuisement professionnel. « Ça fait longtemps que je pense à envoyer une lettre à l'inspection du travail, pour sauver les copains qui sont là-bas, dit un de ces témoins. Si l'inspection vient, elle verra qu'à 23 heures, les bureaux sont pleins au GIP. Que les gens vont mal. »
« Le travail n'est pas bien organisé, tout se fait dans l'urgence, avec des changements permanents de dates, de méthodes de travail, prolonge un autre. Les horaires de malade, les mails à pas d'heure, les coups de fil le week-end... Et si vous ne répondez pas, alors qu'il n'y a aucune urgence, on saura vous faire culpabiliser le lundi matin. Le droit à la déconnexion n'est pas du tout respecté. Au GIP, on vit dans un univers stressé. On avance à marche forcée et la direction des ressources humaines sait et ne fait rien. »
D'après plusieurs salariés ou ex-salariés, il est arrivé qu'on réponde à quelqu'un demandant quelques jours de récupération après une période de plus de vingt jours de travail consécutif : « Euh, ça s'appelle l'événementiel, faut que tu t'habitues. » Au retour d'un week-end de repos, un autre se serait entendu dire : « Tu sais, faire le mort pendant tout un week-end (de repos), ne pas répondre, c'est moyen. »« Je ne voyais plus mes parents, je ne voyais plus mes amis, je n'avais plus de vie, assure ce collaborateur. Tout ça pour finir sous antidépresseurs, à payer des séances chez le psy qui m'ont coûté un bras. » Un autre raconte son premier arrêt pour un burn-out et puis, le moment de la reprise approchant, les insomnies, les crises d'angoisse. Son médecin traitant lui diagnostiquera, dit-il, un syndrome post-traumatique. Pour certains, c'était leur première expérience professionnelle : « Et ça finit en burn-out, en démission, en larmes. » D'une même voix, avec souvent les mêmes mots, la plupart parlent d'un immense gâchis, « parce que sur le papier, ce projet était formidable », souligne celui-ci. « C'était le rêve pour moi, j'adorais mes collègues, j'adore le rugby, j'adore mon boulot », insiste celle-là.
« Je suis étonné que personne ne se soit jeté par-dessus la passerelle. Je n'ai jamais connu une ambiance comme celle-là... Des gens pleurent dans les toilettes
Un salarié de France 2023
Les références aux accès de violence verbale de Claude Atcher et de sa chef de cabinet, Marie Houzot, reviennent à longueur de témoignages. Ceux qui déclarent les avoir subis s'excusent pour la vulgarité du langage : « T'es qu'une sale petite conne », « pauvre merde », « t'arriveras à rien si tu ne te sors pas les doigts du cul ». Tous exposent les mêmes angoisses : « J'étais soulagé quand ça tombait sur quelqu'un d'autre que moi. Et après, je culpabilisais pour celui ou celle qui avait pris. » Un jour, un salarié a été tellement malmené et choqué qu'il s'est fait pipi dessus.
Dans les couloirs, comme dans l'open space, il n'est pas rare que Claude Atcher (66 ans) surgisse et se mette à hurler que c'est « (s) a Coupe du monde ! », que « c'est (s) on pognon ! », que « sans moi, vous n'êtes rien ! », que « vous êtes tous incompétents ! »
La dureté et la froideur de la directrice des ressources humaines, Sophie Coste, passée précédemment par Provale (le 8 juin dernier, L'Équipe révélait le climat de travail anxiogène au sein du syndicat), sont aussi mentionnées. « Elle n'insulte pas, elle ne hurle pas. En revanche, des gens se sont écroulés devant elle et elle ne les regardait même pas. Elle cautionne tout. Pour elle, c'est normal », nous assure-t-on.
Sollicités pour s'exprimer sur le malaise social au sein de France 2023, Claude Atcher, Marie Houzot et Sophie Coste nous ont répondu, via le service communication du GIP, par un e-mail nous invitant au respect des « règles déontologiques » de notre profession.
« C'est très impressionnant de voir la manipulation mentale à l'oeuvre. Voir comment des gens bien "cortexés" sont infantilisés ou menacés
Un ex-salarié de France 2023
En écoutant ces récits, on comprend que les choses s'aggravent. D'après nos interlocuteurs, Claude Atcher a « perdu le sens des réalités » et « se sent tout-puissant, comme intouchable ». « On sait que ça devient de pire en pire là-bas. D'un côté, je suis très content que la parole se libère vers l'extérieur pour que ça s'arrête, témoigne un interlocuteur. D'un autre, je suis persuadé que si ça continue, on aura un drame. Moi, si je n'avais pas eu une famille aussi présente autour de moi, j'aurais eu des idées encore plus noires que celles que j'avais. »
« Si on laisse faire, il y aura un mort », dit quelqu'un d'autre. « Je suis étonné que personne ne se soit jeté par-dessus la passerelle, affirme une autre voix. Je n'ai jamais connu une ambiance comme celle-là... Des gens pleurent dans les toilettes. » Celui-là ne se fait plus d'illusion : « Un par un, ils vont nous briser. » Celui-là non plus : « Atcher, c'est Maximilien Robespierre. Chaque matin, on se demande qui il va décapiter. Sauf quand il est en déplacement. Là, on respire un peu. Le malaise social est très profond. » À un salarié, il a été dit qu'il valait mieux qu'il parte, qu'il n'avait pas les épaules. Il le savait déjà puisque le duo Atcher-Houzot racontait à tout le monde qu'ils voulaient le dégager : « C'est horrible de venir au boulot en sachant cela. »
Un autre encore : « Chacun a son propre seuil d'acceptabilité. Moi j'ai pu prendre les devants et partir quand je n'acceptais plus ce qu'il se passait. J'ai vu des gens sur qui on aboyait, dénigrés ostensiblement, des responsables qui sont là pour prendre des décisions et qu'on humiliait quand ils les prenaient. J'ai assisté à une ou deux scènes violentes. Ce n'était plus ma place. J'ai culpabilisé de ne rien dire. Oui, il y a un malaise social, évidemment. Une anxiété permanente. C'est très impressionnant de voir la manipulation mentale à l'oeuvre. Voir comment des gens bien "cortexés" sont infantilisés ou menacés. » Cet autre ancien salarié évoque « un management dur, à l'ancienne. Mais M. Atcher est quelqu'un de charismatique. Il m'a donné ma chance. »
Certains ont tenu deux mois. « C'est un management hypertoxique, par la peur, les représailles. On va vous isoler, ne plus vous associer à ce que devrait être votre travail. À la place, on va vous demander de faire les cafés pour les invités du DG. » Le télétravail pendant la pandémie a parfois été accueilli comme une bouée de sauvetage : « Ça m'a permis de ne plus les voir, d'avoir moins cette boule au ventre en permanence. »
D'autres n'ont été soulagés que lorsqu'ils ont fait leurs cartons : « Même quand le téléphone sonnait, j'avais peur. Je me disais : qu'est-ce que je vais me prendre cette fois ? » Certains n'ont pas oublié les remarques sur le physique prononcées par Marie Houzot : « T'as vu comme elle est grosse et en plus elle met des jupes courtes. » Ou bien, s'agissant des jeunes femmes célibataires du GIP, « celles-là, ce sont des mal baisées ».
Un jour, « un de nos collègues, un responsable, s'est fait humilier par Claude Atcher dans l'open space et tout le monde a quitté le bureau, racontent plusieurs témoins. C'était une manière de dire stop. Ça n'a eu aucun effet. » La personne visée a été arrêtée une première fois pour burn-out et dépression. Puis une seconde. Elle a quitté le GIP. Récemment, un séminaire de deux jours a été organisé à Marcoussis sur le thème de la cohésion. Le malaise a été exprimé mais, raconte un salarié, « on nous a fait comprendre que rien ne se passerait ». « Un cabinet de recrutement me disait il y a quelques jours qu'il avait sur son bureau un nombre impressionnant de CV de gens du GIP qui cherchent à se recaser », précise cette même source.
L'année dernière, à la suite du décès du père de Claude Atcher, les collaborateurs du GIP ont été invités par la chef de cabinet à participer à une « enveloppe ». « Malgré tout, on a cotisé pour notre bourreau, pour sa famille en deuil surtout », dit un de nos interlocuteurs. Avec les 1 496 euros de la cagnotte Leetchi, Marie Houzot a acheté à Claude Atcher un bracelet Cartier.
Posted 22 June 2022 - 08:06 AM
Rien de surprenant quand on connait le personnage... On parle quand même du mec qui a osé dire que la billetterie pour la coupe du monde était la meilleure jamais conçue et qu'aucun problème n'avait eu lieu.
Y a qu'a voir la réponse qui est faites aux journalistes.
Néanmoins, je n'arrive pas à croire que ces personnes n'aient pas conserver d'éventuels écrits (notamment les mails à points d'heures), n'aient pas réalisés d'enregistrements audios / vidéos ce qu'ils se passent.. A un moment faut les faires tomber ces gens là et faut qu'il soit condamner au moins aux prud'hommes.
Quand cela concerne une à deux personnes uniquement dans l'entreprise je veux bien que ça soit compliqué à mettre en place. La on parle apparemment d'une majorité des salariés..
Je trouve ça dommage qu'ils n'agissent pas autrement que par voie de presse en espérant néanmoins pour eux que ça ferait bouger les choses et qu'au pire l'inspection du travail se penchera sur le GIP.
Posted 22 June 2022 - 08:47 AM
pour ma part le mondial 2023 ca sera meme pas sur le canap, qu'ils aillent se faire cuire le cul avec de la sauce worcestershire
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