Dans cette affaire, l'asm est lésée ! Je verrai d'un bon oeil que De Cromière porte réclamation du fait que VDM n'ait pu être entendu en raison de fait dont le club est totalement étrangé !

La FFR et ses magouilles
#991
Posté 06 septembre 2017 - 11:02
- julien et parce.que aiment ceci
#992
Posté 06 septembre 2017 - 12:23
Le 7ème qui part en disant "Jean-Daniel Simonet en qui je garde confiance même si je ne sais pas ce qui s'est passé les 29 et 30 juin").
Le "même si je ne sais pas ce qui s'est passé" est quand même lourd de sens...
#993
Posté 06 septembre 2017 - 12:26
Dans cette affaire, l'asm est lésée ! Je verrai d'un bon oeil que De Cromière porte réclamation du fait que VDM n'ait pu être entendu en raison de fait dont le club est totalement étrangé !
Ce serait d'ailleurs tout à fait concevable !
- Jesus Hans Hubert Vorme aime ceci
#994
Posté 06 septembre 2017 - 17:35
Euhhh oui. Bon faut être à temps plein, mais le conseil à 150 000 euros, c'est rapidement faisable
alors, toi aussi ? ta parole est d'or
#995
Posté 06 septembre 2017 - 18:11
La suite au prochain numéro...
#996
Posté 06 septembre 2017 - 18:13
Que fait Laporte pour reconstituer une commission de 13 membres ?
Pour l'instant il ne sont plus que 6 avec la trouille au ventre de ce qu'on va dire d'eux, et incapable de prendre des décisions en toute sérénité
Les 6 autres tiennent vraiment à leur place ??
A noter que dans les 6 restant, 2 étaient présent lors des décisions... dont le président...
Quelle crédibilité future pour ces 2 là ?
#998
Posté 06 septembre 2017 - 19:17
Proprement hallucinant.
Allez Laura, fais nous plaisir stp, vire moi ces guignols !
Sort ton épée et fait une belle brochette!
#999
Posté 06 septembre 2017 - 19:18
#1000
Posté 06 septembre 2017 - 19:22
ben ouais, il a signé et il a appris plus tard le fameux contrat entre Laporte et Altrad.
Ça transforme un appel d'apaisement en appel de copinage.
- cetotomatos aime ceci
#1001
Posté 06 septembre 2017 - 19:40
La guéguerre L'equipe/midol continue
Il est évident que tous les coups sont permis. Les scuds risquent de fuser dans tous les sens à présent
- ESQ4, cetotomatos et xdderf63 aiment ceci
#1002
Posté 06 septembre 2017 - 20:54
ben ouais, il a signé et il a appris plus tard le fameux contrat entre Laporte et Altrad.
Ça transforme un appel d'apaisement en appel de copinage.
C'est vraiment un article qui essaie de semer le doute sur le 1er démissionnaire alors que tout est clair et limpide.
Du travail d'orfèvre, en osant je dirais => diligenté par la boite de comm de crise engagé par la FFR (guéguerre Midol / L'Equipe comme dit par Toorop) ? Ce serait pas étonnant, ils se sont fait bien discret cette semaine.
N'oublions pas que leur spécialité est : "Surveiller les réseaux sociaux et les médias"
#1003
Posté 07 septembre 2017 - 04:40
#1004
Posté 07 septembre 2017 - 05:19
L'Equipe du jour. Ça sera a priori compliqué pour Bernie.
RATTRAPAGE À L'ORAL
Bernard Laporte (à droite) et Serge Simon l'an dernier lors de la campagne pour la présidence de la FFR.Frédéric LancelotLÉquipe
Les inspecteurs du ministère entendent aujourd'hui Bernard Laporte. Il lui faudra éclaircir plusieurs points de sa défense qui apparaissent très douteux et qui se sont encore obscurcis hier.
Huit jours après la décision du ministère des Sports de l'ouverture d'une enquête de l'Inspection générale (IGJS), les deux inspecteurs en charge des investigations (Martine Gustin-Fall et Patrick Lavaure) procèderont, aujourd'hui à Marcoussis, aux premières auditions. Seront entendus le président de la FFR Bernard Laporte, Florent Lajat (responsable juridique adjoint de la FFR), Laurent Gabbanini (directeur général adjoint de la fédération) et Christian Dullin (secrétaire général de la fédération). Si les auditions commencent, c'est que les inspecteurs ont élaboré leur cahier des charges et qu'il a été validé. Ce cahier délimite le périmètre précis de l'enquête et les délais.
Les fonctionnaires de l'IGJS mènent des enquêtes administratives, pas judiciaires. Ils n'ont pas de pouvoir de perquisition, ne peuvent pas organiser de confrontation sans consentement ni saisir de matériel. En revanche, les services de l'état contrôlés ont obligation de leur fournir tout document nécessaire à leur mission et de leur faciliter l'accès aux logiciels informatiques. Toute entrave – selon l'article 43 de la loi du 12 avril 1996 – prévoit la saisine du procureur de la République.
Le casting de cette première salve d'auditions – l'état-major de la FFR - semble très cohérent. Prochainement, les trois membres de la commission d'appel qui ont eu à examiner l'appel du club de Montpellier le 29 juin (le président Jean-Daniel Simonet, Robert Malterre et le premier démissionnaire Philippe Peyramaure) répondront à une convocation. Tout comme, à n'en pas douter, Camille Denuziller et Adrienne Costaseca Vidalou, les deux juristes de la FFR présentes à Marcoussis pendant les délibérations du 29 juin. Elles savent ce qui s'est exactement passé puisqu'elles sont tenues de rédiger la notification de la décision. Nous savons qu'au moins un des sept membres démissionnaires de la commission, qui n'est pas Peyramaure, sera auditionné. C'est un signe intéressant. Il laisse à penser que les inspecteurs ont l'intention de ratisser large.
Hier, le clan Laporte a allumé un contre-feu plus que douteux sur le site Rugbyrama. Où l'on comprend que la commission d'appel du 29 juin est devenue « la commission d'appel des 29 et 30 juin ». Selon la défense de Bernard Laporte, cette dilatation du temps est due à la mise en délibéré des décisions concernant l'appel du MHR, « pour vérifier certains points juridiques, dont l'automaticité de la révocation du sursis (le Altrad Stadium était sous le coup d'un sursis) en cas de sanction financière (la Ligue avait condamné le club à une amende de 70 000 €). Comme il est d'usage, ils préviennent uniquement leurs homologues de la commission de discipline de la Ligue de cette mise en délibéré de l'instruction. Rendezvous est pris pour le lendemain… »
Le sms du 29 juin, le rendez-vous du 30...
Soit c'est une façon assez grossière de réécrire l'histoire soit le clan Laporte ne manquera pas de produire tous les éléments matériels prouvant ce scénario. Ils n'auront sans doute aucune difficulté à communiquer aux inspecteurs de l'IGJS que, comme le veut l'usage, ils ont prévenu la commission de discipline de la Ligue de cette mise en suspens du délibéré. D'après nos informations, il semblerait qu'à la commission de discipline de la Ligue on n'ait jamais été informé de cet événement. Autre question : puisque « rendezvous est pris pour le lendemain », il ne sera pas bien compliqué pour Laporte et ses défenseurs de prouver cette prise de rendez-vous entre Simonet, Peyramaure et Malterre. Où ont-ils finalement pris rendez-vous pour continuer de délibérer le 30 ? Quand ? Se sont-ils vus tous les trois physiquement alors qu'on sait que, le 29, Robert Malterre avait pris comme prévu, à 19 heures, un avion pour Pau ? S'il s'agissait plutôt d'une conférence téléphonique, quel était l'opérateur et le numéro ? Beaucoup de questions et si peu de réponses.
Question supplémentaire :le point juridique à vérifier (la révocation du sursis en cas d'amende) nécessitait-il vraiment un différé au lendemain ? A en croire les témoignages d'anciens membres de cette commission, rompus au fonctionnement de cette « juridiction », la réponse est non. Pour une bonne raison. Les dossiers sont préparés par le service juridique de la FFR qui utilise le délai entre l'appel formulé et la convocation devant la commission pour précisément éplucher les textes. « Ils font leur propre instruction et ce sont de bons pros, dit l'un des anciens membres. Vérifier ce point ne leur prendrait pas plus de cinq minutes.» On ajoutera que le dossier montpelliérain fut le seul traité par la commission dans l'après-midi du 29. Même en comptant la plaidoirie de l'avocat du MHR, ça laisse du temps. Question subsidiaire : cette supposée prorogation du délibéré, ainsi que son supposé motif, ont-tils été mentionnés dans la notification de la décision comme cela devrait être le cas ?
On en arrive à la question centrale de cette affaire : pourquoi se donner autant de mal pour vouloir faire entendre que la décision du 29 n'a jamais existé et qu'elle a été prise le 30 ? Selon nos informations, à l'issue de la séance du 29 juin, un SMS émanant du service juridique de la FFR serait parti vers la Ligue, mais pas seulement. Normal, les services juridiques opérationnels des deux instances sont en liaison permanente. Le message était clair : les sanctions initiales prononcées par la LNR contre le club de Montpellier (70 000 € d'amende et terrain suspendu pour un match) étaient maintenues. Cette communication attesterait qu'une décision irrévocable a été prise puisque la confidentialité des délibérés a été levée. Le message aurait ensuite fait tache d'huile. Il ne devrait pas être difficile pour les inspecteurs de les découvrir.
A en croire l'article de Rugbyrama, l'avocat de Laporte, maître Versini-Campinchi, a déjà réfléchi à la façon de défendre son client devant un tribunal. Pour lui, la validation de la décision par Peyramaure le 2 août – document à l'appui – démontrerait on ne sait quel complot, on ne sait quelle compromission. Pourquoi a-t-il autant tardé à le faire ? En tant que secrétaire de séance, il a bien dû entériner cette décision vu que la majorité (deux contre un) l'emportait. Il ne savait évidemment pas à l'époque qu'un contrat d'image liait le président de Montpellier Mohed Altrad à Laporte. Sa révélation, le 13 août, l'a probablement amené à relire l'histoire et à démissionner, onze jours plus tard. '
- Frédéric58, cetotomatos, Polochon et 2 autres aiment ceci
#1005
Posté 07 septembre 2017 - 06:03
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