7313 réponses à ce sujet

[Buckaroo]

Je plaisantais... D'ailleurs Robertson est très bien où il est !

[Ptolémée]

 

C'est donc clair : un échange Azéma/Robertson, ASM/Crusaders (ce qui devrait aussi arranger Foster...)

 

 

 

Le journal l'équipe.

 

j'ai rien vu ...fake news ?

[Buckaroo]

Voici le lien :

https://www.lequipe....r-d-eux/1240319

[Ptolémée]

Voici le lien :

https://www.lequipe....r-d-eux/1240319

 

merci 

[InASMWeTrust]

Je plaisantais... D'ailleurs Robertson est très bien où il est !

N0n il lui faut une expérience dans le meilleir championnat du monde pour viser les Blacks. 😁

[Ptolémée]

d'un autre coté , il m'est extrêmement difficile de croire que ce plan diabolique soit 

à l'initiative de Franck , ou même qu'il est participé de loin à son élaboration .

Avec un peu de recul , je pense qu'il n'envisageait pas de partir aussi rapidement ; 

au fil des mois , il s'est rendu compte que son message ne passait plus et qu'il était

temps de partir . Son annonce impromptue en serait l'évidente confirmation

[Eria]

C'est le petit matin en Nouvelle-Zélande, la nuit noire en France avec les onze heures de décalage horaire. Nommé à la tête des All Blacks à l'issue de la dernière Coupe du monde, Ian Foster (55 ans) est affable et disposé à nous accorder un peu de son temps. Il s'enquiert des nouvelles de son « ami » Franck Azéma, l'entraîneur de l'ASM. « Franck m'a parlé il y a deux semaines de sa décision d'arrêter à Clermont. Voilà qui en dit long sur l'homme qu'il est. Conforme à ce qu'il demande à ses joueurs. Mieux vaut finir tant qu'on a la flamme que réaliser la saison de trop. C'est triste car il aime profondément l'ASM. Mais il sent que le club a besoin d'une nouvelle dynamique. Il faut qu'il vienne désormais entraîner en Nouvelle-Zélande. »

 

la suite de l'article dans l'EDF de Galthié

de la part de Ian Foster c'est un bel hommage , Franck  est un homme apprécié a sa juste valeur ,j’ai comme l'impression qu'il aura pas trop de soucis pour trouver du travaille...

[steph]

de la part de Ian Foster c'est un bel hommage , Franck  est un homme apprécié a sa juste valeur ,j’ai comme l'impression qu'il aura pas trop de soucis pour trouver du travaille...

Aille, aille, aille !

[Eria]

Azema le type qui signale par écrit sont départ et ne mets pas fin a son contrat...dixit R Escot...Franck a tu était à la poste ?

[steph]

Azema le type qui signale par écrit sont départ et ne mets pas fin a son contrat...dixit R Escot...Franck a tu était à la poste ?

C'est son employeur qui choisira la façon dont son départ se passera. Ou alors Azema paye de sa poche et est libre de faire ce qu'il veut. Là, il a demandé à être libéré, c'est clair, enfin pas pour tout le monde apparemment...
Paul, une Tourtel !

[biball]

La démission n'existe pas en CDD. On rompt le contrat d'un commun accord ou aux torts de l'un ou de l'autre.

[gregouarrrr]

C'est son employeur qui choisira la façon dont son départ se passera. Ou alors Azema paye de sa poche et est libre de faire ce qu'il veut. Là, il a demandé à être libéré, c'est clair, enfin pas pour tout le monde apparemment...
Paul, une Tourtel !

c est tres compliqué pour certains visiblement en effet ...

si il prend une année de vacances ou sabbatique   il y aura une rupture de contrat, ( en gros il sera payé jusqu a la fin de ce contrat là )

si il va dans un autre club, ce sera à son futur employeur de negocier et de payer l asm ( racheter les années de contrat ) 

[el landeno]

Le départ de Franck Azéma, un choc bien amorti à Clermont Bousculée par l'annonce du départ de Franck Azéma fin février, l'ASM a actionné plusieurs leviers pour garder le cap en cette fin de saison où elle est encore engagée en Top 14 comme en Coupe d'Europe.

Lorsque leur téléphone a sonné ce dimanche-là, ils ne s'attendaient certainement pas à avoir ce genre de discussion avec leur entraîneur. Mais, à ces quelques cadres historiques de Clermont, Franck Azéma avait tenu à annoncer directement sa décision, leur en expliquer le pourquoi, avant de l'officialiser, le lendemain matin, à l'ensemble de son groupe : oui, il allait bien quitter l'ASM, et ça ne pouvait pas être anodin, lui qui était arrivé dans le staff auvergnat en 2010, avant d'en prendre les commandes en 2014.

 

 

« C'était une surprise », répètent ces joueurs qui, au fil des années, étaient devenus des proches. Ils avaient bien sûr senti que leur coach s'interrogeait parfois, sur un message qui passerait moins bien. Mais de là à anticiper son départ de la maison jaune et bleu, qui devait être la sienne jusqu'en 2023...

C'est ce qui a ébranlé : Azéma avait lié son destin à plusieurs joueurs, prolongés eux aussi jusqu'à cette date. Et leur mentor s'en allait. « Des questions, je m'en suis posé, aussi, l'an dernier, relate Morgan Parra, en référence à son envie de départ en 2019. Donc, j'ai dit à Franck que je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais quand on en a parlé, je lui ai juste dit qu'il l'annonçait un peu tard, qu'il fallait vite se retourner ! »

On était fin février et l'édifice auvergnat s'est retrouvé dans l'expectative, joueurs et staff. Un Fritz Lee, par exemple, a appris la nouvelle en pleine renégociation de son propre contrat. « Et Franck était une des raisons pour lesquelles je voulais continuer », situe-t-il. Les adjoints d'Azéma comme les joueurs basculent dans le questionnement classique : qui prendra la suite, comptera-t-il sur moi, le club sera-t-il toujours ambitieux ?

« Je pars du principe qu'on ne joue pas pour un entraîneur, mais pour soi »

Morgan Parra, demi de mêlée de Clermont

 

 

 

Pour éviter de s'égarer dans ces conjectures au moment où le club joue encore sur deux tableaux, Top 14 et Coupe d'Europe, Franck Azéma emmène ses troupes en stage à Bugeat, en Corrèze. « D'abord, j'ai voulu jouer la transparence sur les raisons de mon départ, récapitule le coach. Peut-être que ça n'a pas satisfait tout le monde, mais au moins j'étais dans le vrai. Ensuite, rappeler qu'on était encore engagés dans ces compétitions. Enfin, on est dans une année bizarre. Tout est aseptisé par les protocoles sanitaires. Nos seuls moments de convivialité, c'est dans le bus du retour quand on a gagné ! L'idée d'aller à Bugeat, c'était de remettre de l'affect en plus de la compétence. »

Dans ce complexe au calme, entouré de forêt, les cadres du vestiaire décident de ne pas se contenter de la préparation physique ou de se resserrer collectivement. « C'est qu'on a beau se dire "pas de pression", ces questions sur l'avenir sont trop importantes, explique Camille Lopez. On sentait que ça discutait par petits groupes d'affinités dans l'équipe et on s'est dit qu'il fallait éclaircir la situation pour tout le monde. »

Visite du président en stage

Le dernier jour, le groupe de leaders profite donc de la visite du président à Bugeat pour lancer le dialogue avec Jean-Michel Guillon. Morgan Parra se fait porte-parole. « Parce que je sais que beaucoup de joueurs n'osent pas, détaille le demi de mêlée. C'est le rôle des plus anciens. On a dit au président qu'on voulait avoir un tableau de marche, on a exprimé le besoin de savoir. »

En poste depuis l'été précédent, après le décès d'Éric de Cromières, Guillon commence à savoir qu'il faut donner des signes. Quand le massif Sitaleki Timani a été libéré prématurément de son contrat fin janvier, il a su rebooster le moral de ceux qui se demandaient pourquoi un membre si crucial du pack s'en allait en pleine saison : le tout aussi colossal Tomas Lavanini allait bientôt le remplacer. À Bugeat, il n'a pas de certitudes, il peut juste donner un horizon, fin avril. Mais un abcès est crevé.

« Et je pars du principe qu'on ne joue pas pour un entraîneur, mais pour soi », poursuit Parra, qui s'est fait plus présent dans le vestiaire. Pour faire infuser chez ses coéquipiers l'idée que « personne n'est irremplaçable » et que c'était à l'équipe de vouloir « bien finir en tant que groupe ».

L'objectif était tout trouvé : se recentrer sur cette phase finale européenne, le titre qui manque à Franck Azéma, pour, dit Fritz Lee, « lui permettre de finir sur une bonne note. » « Ce n'est pas quelque chose qu'on a formulé entre nous, précise Lopez, mais que, pour certains, on sent en nous. »

Certains cadres sentent aussi un Azéma plus serein, apaisé, depuis l'annonce de son départ. « C'est sûr que ça devait le travailler, ajoute Lopez, mais il ne va pas se dire, "je profite" et se relâcher ! Ce n'est pas sa nature. L'ASM, il l'a au fond du coeur, même s'il part. Je suis sûr qu'il a à coeur de bien finir. » Et ça, à quarante-huit heures d'un quart de finale européen contre Toulouse, pas besoin de coup de fil à ses troupes pour le faire comprendre.

 

 

[Murena]

Finalement, nul ne sait jamais mieux que ceux qui le vivent de l'intérieur...

[bazooka]

Comme il se disait il n'y a pas si longtemps, ça remet l'église au centre du village.

Merci pour le partage !