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EDF de Galthié


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#9436 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posted 22 January 2024 - 16:51 PM

ca y est, c'est reparti!!

 

https://actu.fr/spor...e_60596692.html

Mais laisse pisser ! tu vas te faire monter la tension  :D



#9437 RCV06

RCV06

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Posted 22 January 2024 - 17:44 PM

Philistin ! Jébuséen ! Amalécite ! Saducéen ! Pharisien ! Vioque ! Rayez la mention inutile ! :cartonrouge:

 

Ma parole, t'y aurais vu le match qu'il nous sort contre les Stormers ! Un arbitre de moinsse et il y avait essai ! :w00t:

:D


Woki-Tao en deuxième ligne c'est complémentaire et ça fera largement le taf, Lucu évolue à un niveau stratosphérique cette saison et connaît son ouvreur sur le bout des doigts donc Dupont sera très bien remplacé, Jelonch n'est pas titu et la triplette Cros-Alldrit-Ollivon a prouvé mille fois son talent, Roumat/Boudehent/Macalou fera un remplaçant très convenable.

Ça ne veut pas dire qu'on gagnera, ça ne veut pas dire qu'on perdra, du rugby quoi.

 



#9438 Bon Chasseur

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Posted 22 January 2024 - 18:12 PM

openside coté ouvert

mais ma parole, il lui faut un job à l'ONU lui !

 

Roumat... bon, j'imagine que c'est pour faire le nb de toute façon. C'est pas comme s'ils allaient le titu dès le premier match contre les Irlandais.



#9439 Y&B

Y&B

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Posted 22 January 2024 - 18:29 PM

Macalou c'est une farce. Il vaut pas un clou
Par contre s'il est apte, Roumat peut être une des rares solutions séduisantes.


T’es un peu raide quand même !!!!!
Moi j’aurais bien aimé qu’il vienne faire des farces chez nous (même si ça aurait fait beaucoup de peine à son plus grand supporter …hou !!)

#9440 el landeno

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Posted 22 January 2024 - 21:34 PM

De nouveau blessé à un genou, retour à la case galère pour Anthony Jelonch Après le genou gauche l'an dernier, le troisième-ligne des Bleus Anthony Jelonch s'est rompu le ligament croisé du genou droit dimanche. Les coups durs s'enchaînent pour le Toulousain, qui a beaucoup joué depuis son retour en septembre.

Dès dimanche soir, Anthony Jelonch a appelé son sélectionneur Fabien Galthié pour lui annoncer la (très) mauvaise nouvelle. Sorti en seconde période face à Bath (31-19) quelques heures plus tôt en Champions Cup, le troisième-ligne, qui ne semblait pourtant pas beaucoup souffrir dans l'après-match, a passé une IRM au diagnostic brutal : rupture du ligament croisé antérieur du genou droit. Il est évidemment forfait pour le Tournoi des Six Nations, remplacé dans le groupe France par Alexandre Roumat.

 
 

La nouvelle est d'autant plus rude que Jelonch a subi la même blessure au genou gauche le 26 février dernier lors de France-Écosse (32-21) au Stade de France. Six mois après son opération, il avait réussi à être rétabli dans un temps presque record pour la Coupe du monde, disputant les matches contre l'Uruguay (14 septembre), la Namibie (21 septembre), l'Italie (6 octobre) et le funeste quart de finale contre l'Afrique du Sud (15 octobre), à chaque fois comme titulaire. Faut-il voir cette blessure comme la conséquence d'une reprise trop rapide et d'une forme de compensation qui aurait fragilisé l'autre genou ?

Un cas très classique dans le sport de haut niveau

« C'est une explication qui n'a aucune valeur médicale. Quand cela arrive, il n'y a aucun lien entre les deux blessures, assure le docteur Bertrand Sonnery Cottet, qui a notamment opéré les genoux, tous sports confondus, de Zlatan Ibrahimovic, Nabil Fekir, Mathieu Bastareaud, Charles Ollivon et en fera de même ce mardi avec le skieur Alexis Pinturault. Mais c'est malheureusement très classique. Une étude dans le Championnat de foot italien avait montré une fréquence de 15 % de joueurs qui ont cassé un genou puis l'autre dans les années qui suivent.

Dans le sport professionnel, selon une autre étude, sur 350 sportifs que l'on a opérés, c'est environ 13 %, et même 30 % dans le ski alpin. Ce qu'on peut dire, c'est qu'il est assez logique d'avoir une rupture du ligament croisé de l'autre genou puisqu'on les remet au même niveau dans le même sport. D'après les statistiques, le risque est le même sur les deux genoux à la reprise de la compétition. »

« Cette fois, il n'y a pas de course contre la montre. Si ça doit prendre un an, ça prendra un an »

Un proche d'Anthony Jelonch

 
 
 
 
 

Cette nouvelle grave blessure serait donc à voir sous le signe de la fatalité, qu'il semble pourtant difficile de ne pas pondérer au vu des cadences infernales pour un tel joueur. Jelonch a beaucoup enchaîné depuis son retour de blessure.

Comme la plupart des internationaux toulousains qui ont joué la Coupe du monde avec les Bleus, il a repris la compétition en club le 11 novembre contre Perpignan. Depuis, le troisième-ligne a joué dix matches sur onze possibles avec son club, dont neuf comme titulaire, pour un temps de jeu moyen de 64 minutes, ce qui est évidemment conséquent vu l'engagement physique que le joueur met sur le terrain. Il n'a soufflé que lors du déplacement à La Rochelle le 30 décembre, une semaine après avoir pris un coup au genou droit, sans gravité, face à Toulon.

Pris en charge par le Dr Vincent Pineau, qui l'avait déjà opéré début mars, Jelonch ne repassera pas sur le billard avant la semaine prochaine, le temps qu'une plaie sur le même genou droit sèche. Selon son entourage, il n'est de toute façon pas question de se précipiter dans cette nouvelle longue rééducation qui attend le troisième-ligne. « Cette fois, il n'y a pas de course contre la montre, nous a expliqué un proche. Si ça doit prendre un an, ça prendra un an. »

Anthony Jelonch (27 ans) pourra relativiser en se penchant à nouveau sur le triste théorème du rugby actuel pour un international français selon lequel le meilleur moyen de se reposer, c'est - malheureusement - de se blesser.

 
 


#9441 el landeno

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Posted 23 January 2024 - 07:07 AM

La série noire des Bleus avant le début du Tournoi des Six Nations Après Thibaud Flament, l'équipe de France, réunie depuis dimanche soir à Marcoussis, a perdu Anthony Jelonch et Emmanuel Meafou pour attaquer le Tournoi face à l'Irlande (le 2 février à Marseille). Cela fait déjà beaucoup...

Vous connaissez « la loi de l'emmerdement maximum » ? C'est assez simple. Quand arrive un problème, un ennui supplémentaire survient toujours à ce moment-là pour empirer la situation... Dimanche, dans la soirée, L'Équipe révélait sur son site le forfait d'Anthony Jelonch pour l'intégralité du Tournoi des Six NationsUne information confirmée lundi midi par la Fédération française de rugby.

 
 

Le troisième-ligne (27 ans) est victime d'une rupture du ligament croisé du genou droit, un peu moins d'un an après la même blessure au genou gauche, fin février 2023. Une blessure survenue lors de la victoire du Stade Toulousain face à Bath en Coupe des champions (31-19). Il avait quitté ses partenaires un peu avant l'heure de jeu, remplacé par Alban Placines. Un premier coup dur pour le sélectionneur Fabien Galthié et son encadrement.

« Anthony Jelonch m'a appelé dimanche soir après son IRM, a expliqué le sélectionneur. Le ligament croisé antérieur de son genou droit est rompu. On connaît le protocole et la durée d'indisponibilité pour ce type de blessure (entre six et neuf mois). On lui souhaite beaucoup de courage. On est très déçus pour lui. Il va nous manquer. »

 
 
Paul Willemse va remplacer Emmanuel Meafou

Le deuxième effet Kiss Cool allait suivre. Moins de trente minutes après l'officialisation du forfait de Jelonch lundi, remplacé par son coéquipier à Toulouse le néophyte Alexandre Roumat (26 ans), la FFR communiquait de nouveau. Cette fois, l'organe fédéral confirmait le forfait d'Emmanuel Meafou. Le deuxième-ligne d'origine australienne (25 ans), qui espérait fêter sa première sélection, s'est lui aussi blessé au genou gauche dimanche après-midi sous le maillot rouge et noir, cédant sa place à la 74e minute de jeu à Joshua Brennan.

Après la rencontre, les premiers échos se voulaient rassurants. Mais l'inquiétude a grandi au fil des heures. Meafou est finalement resté à Toulouse afin de passer des examens médicaux. « Son ligament latéral externe du genou gauche est touché », dixit Galthié.

« Une entorse de grade 2 », a précisé le sélectionneur tricolore, qui laissait planer le flou sur la durée de son indisponibilité : « Nous n'avons pas de durée. C'est un forfait plus ou moins long. Il est suivi par son club du Stade Toulousain. »« N'étant pas apte à s'entraîner cette semaine, nous gardons Emmanuel pour soins et examens médicaux complémentaires, nous a précisé le Stade Toulousain. Un point sera fait avec la FFR en fin de semaine. » Il va donc manquer le début du Tournoi face à l'Irlande (2 février, 21h, à Marseille). Pour la suite de la compétition, il faudra attendre la durée de son indisponibilité. Le nom de son remplaçant a été communiqué lundi soir, et il s'agit d'un deuxième-ligne qui connaît bien Marcoussis : Paul Willemse (31 ans). Le Montpelliérain aux 31 sélections, qui avait raté la Coupe du monde à cause d'une blessure à la cuisse mais qui a réalisé de solides performances ces derniers mois.

Des certitudes très limitées en deuxième ligne

Le Tournoi de la reconquête, après la désillusion de la Coupe du monde (élimination en quarts de finale face à l'Afrique du Sud 28-29), n'a pas encore débuté que l'équipe de France, revancharde, est déjà privée de plusieurs joueurs majeurs. Meafou, et son profil atypique (2,03 m, 145 kg), devait apporter sa capacité à porter le ballon, à gagner les collisions, à mettre ses coéquipiers dans l'avancée tout en faisant jouer derrière lui. C'est d'autant plus problématique que le poste de deuxième ligne n'est pas si fourni.

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Paul Boudehent, Romain Taofifenua et Cameron Woki avec les Bleus pendant la Coupe du monde. (F. Faugère/L'Équipe)

Thibaud Flament, en phase de reprise après une blessure au pied, est aussi forfait et manquera au moins l'Irlande. Le deuxième-ligne toulousain (26 ans, 24 sélections) s'était imposé comme titulaire au poste de numéro 5 durant la Coupe du monde. Heureusement, Romain Taofifenua (33 ans, 49 sélections) a accepté de sortir de sa retraite internationale. Mais le Lyonnais (2 m, 135 kg) a toujours été considéré comme un « finisseur ».

Avec Cameron Woki (25 ans, 27 sélections), qui n'a pas totalement convaincu le staff, le revenant Paul Gabrillagues (30 ans, 16 sélections), dont la dernière sélection remonte à 2019, et le néophyte Matthias Halagahu (22 ans), les certitudes sont limitées.

En troisième ligne, les solutions sont plus nombreuses pour compenser l'absence d'Anthony Jelonch. Le trio très expérimenté Ollivon-Alldritt-Cros pourrait officier face à l'Irlande. Sans oublier Paul Boudehent qui aura une carte à jouer. Mais face à des Irlandais orgueilleux, eux aussi éliminés dès les quarts de finale du Mondial (24-28 face à la Nouvelle-Zélande), l'équipe de France, également privée de sa charnière Dupont-Ntamack (le premier est avec France 7 et le second est toujours en convalescence après sa blessure au genou), attaque ce Tournoi avec son lot d'emmerdes. Et comme le disait l'ancien président Jacques Chirac : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille. » Espérons que l'escadrille bleue soit désormais épargnée d'ici le 2 février.



#9442 Arverne03

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Posted 23 January 2024 - 08:32 AM

Et oui, l'équipe de FRANCE a elle aussi son lot de blessés .  :mellow:



#9443 Bon Chasseur

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Posted 23 January 2024 - 16:57 PM

tin Paul Boudehent il a quand même une sacrée musculature pour un mec début 20aine...



#9444 Bart Simpson

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Posted 23 January 2024 - 20:04 PM

tin Paul Boudehent il a quand même une sacrée musculature pour un mec début 20aine...

T'as jamais mangé les huitres marennes d'oléron :D



#9445 Alex chocolatines

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Posted 23 January 2024 - 20:08 PM

T'as jamais mangé les huitres marennes d'oléron :D

Bin moi j'en mange, j'ai poussé de la fonte étant plus jeune, bin ça n'a pas autant réussi  :P



#9446 Bon Chasseur

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Posted 23 January 2024 - 20:40 PM

T'as jamais mangé les huitres marennes d'oléron :D

pour le coup c'est plus des "mussels" qu'il se tape le Paulo.



#9447 el landeno

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Posted 24 January 2024 - 06:51 AM

Patrick Arlettaz, nouvel entraîneur de l'attaque du XV de France : « Je n'osais même pas l'ambitionner » Successeur de Laurent Labit dans le staff de Fabien Galthié, l'ancien manager de Perpignan découvre un autre monde. Il a encore du mal à réaliser, ne cachant pas non plus une certaine impatience à confronter ses idées au niveau international.

Jeudi, quarante-huit heures avant son départ pour Marcoussis, Patrick Arlettaz (51 ans) nous a reçus dans un restaurant catalan où il a ses habitudes. Des escargots au muscat. L'ancien manager de l'USAP s'est livré sans filtre sur sa nouvelle mission dans le staff de l'équipe de France, où il est désormais entraîneur de l'attaque. Il a été le premier surpris par les sollicitations de Fabien Galthié et ne cache pas une certaine appréhension au moment de découvrir le niveau international. Mais il se plonge dans ce nouveau challenge avec sa personnalité qu'il décrit lui-même comme « atypique » et des convictions sur le jeu offensif qu'il a forgées dès ses débuts comme joueur au début des années 1990.

 
 

« Comment vous sentez-vous au lancement de cette nouvelle aventure ?
Tout se mélange. Excité, stressé, impatient... Je découvre quelque chose de tout nouveau. On a travaillé en séminaire à Marcoussis avec le staff depuis deux mois mais le coeur du truc, ce sont les joueurs, donc j'ai hâte de bosser avec eux.

C'est un saut dans l'inconnu ?
Oui, complètement. La nouveauté fait qu'il y a ce mélange d'excitation, d'appréhension, de stress aussi. J'y vais avec beaucoup de modestie, je ne connais pas du tout ce type de fonctionnement. Je me doute qu'on va faire du rugby. Ça, je connais un peu (sourire), mais tout ce qui entoure l'équipe de France, ce sera tout neuf pour moi.

Vous connaissez certains joueurs en dehors de ce que vous voyez d'eux de l'extérieur ?
Très peu. On s'est croisés parfois sur les terrains, où on se connaît via des connaissances communes. Sur le rugby, je les connais tous. Eux aussi me connaissent par réputation, je suppose, ça parle beaucoup dans le milieu. On va apprendre à se découvrir, avec une autre façon de travailler. J'ai un profil un peu atypique, je ne suis pas très lisse. J'en suis conscient, comme je suis conscient que je ne vais pas me changer du jour au lendemain. Il faut que ça matche.

 
 
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Patrick Arlettaz, le nouveau patron de l'attaque française. (A.Mounic/L'Equipe)

Qu'est-ce qui vous inquiète le plus au moment de démarrer cette mission ?
J'ai toujours fonctionné comme ça : ne pas décevoir les gens qui me font confiance. Le choix de Fabien (Galthié), ce n'est pas un choix facile. Il aurait pu prendre d'autres noms, plus clinquants, plus bankable, plus lisses, plus cadrés Fédé, équipe de France, etc. Il aurait pu mais il m'a choisi moi. Donc je n'ai pas envie de le décevoir. D'un autre côté, je me dis que s'il l'a fait, c'est aussi pour ma personnalité, pour que je vienne en étant moi-même. Ça me va bien cette histoire (sourire). Je sais que la machine est énorme, que la mission est importante, qu'on reprend un travail magnifique mené depuis quatre ans, qu'il y a des attentes, de l'engouement, mais je ne vais pas changer pour autant.

« Ce qui m'importe le plus, c'est de convaincre les joueurs. S'ils disent à un moment donné que je ne suis pas au niveau, ça me ferait mal »

 

 
 
 

Qu'est-ce que vous répondez aux sceptiques sur votre nomination ?
Je les comprends, je n'ai aucun problème avec ça. J'espère qu'il y en aura moins au bout d'un an ou deux, que j'en aurais fait changer quelques-uns d'avis. Mais ce qui m'importe le plus, c'est de convaincre les joueurs. S'ils disent à un moment donné que je ne suis pas au niveau, ça me ferait mal. Les autres, comme je n'ai ni Instagram ni Facebook, je les laisse commenter. À Perpignan, si je lisais ou écoutais tout ce qui se disait parfois sur moi, je serais devenu fou. Là-dessus, j'ai été formé à bonne école.

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Patrick Arlettaz, le nouvel entraîneur de l'attaque du XV de France, le 18 janvier à Canet-en-Roussillon. (P.Mérimée/L'Equipe)

Comment se sont noués les premiers contacts avec Fabien Galthié ?
Quand il m'appelle la première fois, je crois qu'il veut se renseigner sur Posolo (Tuilagi, deuxième-ligne de l'USAP). Il venait de débuter en Top 14, tout le monde en parlait, donc je me disais qu'il venait aux nouvelles. Donc très vite, je lui parle de Posolo (rires). On discute et il en vient à me parler de ce poste. J'étais très surpris, je ne l'envisageais pas du tout. Je n'osais même pas l'ambitionner en fait. Je savais que j'arrêtais à Perpignan à la fin de la saison (2022-2023), c'était clair dans ma tête depuis longtemps, mais sans aucun plan derrière. Je n'ai jamais passé un coup de fil à un président pour demander du boulot, je n'ai même pas d'agent et on me parle de l'équipe de France.

Et les choses se sont donc concrétisées au printemps...
Je l'ai pris de façon très détachée au départ. Il (Fabien Galthié) m'appelait de temps en temps, on parlait rugby, je me régalais. Un moment, il m'appelait moins, donc j'avais presque oublié le truc. C'est pour dire à quel point je ne l'envisageais pas (rires). En avril, on mange ensemble. On était dans un coin là-bas (il pointe une table de l'autre côté du restaurant), on a commencé le repas à midi, on est partis à 18 heures. On a sorti les stylos, fait des schémas sur des nappes. Et là, je me suis dit que ça l'intéressait beaucoup quand même, qu'il me posait beaucoup de questions. Nos échanges ont continué et il m'a annoncé la bonne nouvelle en juin.

« J'ai une philosophie qui va plus vers la possession, la prise d'initiatives. Mais les tâches sont bien définies »

 

 
 
 

Comment vous sentiez-vous à ce moment-là ?
C'était quelques jours après le barrage (de maintien, gagné par Perpignan à Grenoble), donc autant dire que c'était surréaliste comme semaine. Je venais d'arrêter à l'USAP sur un maintien, laisser ce club en Top 14 m'animait tellement... Et je suis nommé en équipe de France. J'ai dit oui de suite.

Quels étaient vos rapports avec Fabien Galthié avant qu'il vous contacte pour ce poste ?
On se connaît sans se connaître, on s'est joués plusieurs fois mais c'est tout. On s'entendait bien mais on n'était pas amis.

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Arlettaz au côté de Galthié en décembre 2023. (A.Mounic/L'Equipe)

Sur l'aspect rugby, est-ce qu'on peut dire que la Coupe du monde a consacré l'équipe à la philosophie de jeu la plus éloignée de la vôtre ?
Oui, c'est la vérité. D'ailleurs, Fabien m'a pris pour l'attaque, pas pour le jeu au pied (rires). Oui, j'ai une philosophie qui va plus vers la possession, la prise d'initiatives. Mais les tâches sont bien définies. Fabien définit le plan de jeu et je me concentre sur les moments où on aura le ballon, peu importe qu'on l'ait beaucoup ou pas. J'ai une sensibilité, je vais l'emmener avec moi, et c'est vrai qu'elle ne correspond pas à celle de l'Afrique du Sud. Ils ont été champions du monde, bravo à eux, mais les trois autres grands favoris, sans manquer de respect aux autres nations, l'Irlande, la Nouvelle-Zélande et la France, avaient des philosophies plus proches de la mienne. Seule l'Afrique du Sud avait comme arme principale du jeu au pied et de la dépossession. C'était adapté à leur équipe, mais ça ne veut pas dire qu'il faut jouer comme ça pour être champions du monde.

Comment adapter votre philosophie, disons joueuse, au niveau international ?
Encore une fois, Fabien m'a pris pour qu'on soit le plus performants possible quand on a le ballon. Pas pour décider combien de temps on allait avoir le ballon. On échange là-dessus, évidemment, et je le trouve très ouvert dans nos discussions. Il faut d'abord qu'on soit efficaces quand on a le ballon, qu'on soit en capacité de tenir sur des séquences offensives un peu plus longues. Ça fait partie des axes qu'on a.

Sur les quatre dernières années, l'équipe de France a évolué vers plus de possession...
Exactement. Entre le début du mandat (en 2020) et la Coupe du monde (2023), la philosophie a pas mal évolué. Et cette évolution me satisfait déjà, il y a de quoi faire, une sacrée matière sous la main.

Comment imaginez-vous ce premier match contre l'Irlande (à Marseille le 2 février) et tout ce qui entoure une rencontre internationale ?
Je ne l'imagine pas du tout. J'ai essayé de me dire "putain... le Vélodrome, la Marseillaise, le machin, le bidule" mais j'ai arrêté en me disant que j'en prendrais plein la gueule de toute façon (rire). Maintenant, j'y suis, je serai au milieu du staff, et je trouve que c'est déjà surréaliste de le dire. »

Les autres nouveautés du staff des Bleus
Laurent Sempere, 38 ans, co-entraîneur de la conquête. L'ancien talonneur succède à Karim Ghezal. Sitôt sa carrière de joueur terminée (2019), il a embrassé celle d'entraîneur au Stade Français où il a joué plus de dix ans. Il a rapidement pris du galon à la suite de l'éviction d'Heyneke Meyer en cours de saison avant de retrouver son rôle d'entraîneur des avants sous la direction de Gonzalo Quesada. L'an dernier, sous ses ordres, les Parisiens avaient le meilleur alignement (85 % de touches gagnées) et la seconde mêlée (89 % de mêlées gagnées) du Top 14. Sans doute un des points qui a convaincu le sélectionneur Fabien Galthié de le choisir.


Nicolas Jeanjean, 42 ans, directeur de la performance. L'ancien ailier ou arrière (9 sélections) travaille auprès de l'équipe de France depuis 2018 comme préparateur physique. À la suite du départ de Thibault Giroud à Bordeaux-Bègles après la Coupe du monde, il est promu au poste de directeur de la performance par Galthié. Une forme de continuité logique puisqu'il connaît les attentes du sélectionneur et suit les joueurs depuis plus de cinq ans. Il va pouvoir amener sa touche personnelle pour tenter de faire franchir un nouveau palier aux Bleus. Il a notamment une appétence particulière pour le fonctionnement du corps humain.
 

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Posted 24 January 2024 - 07:22 AM

Patrick Arlettaz, nouvel entraîneur de l'attaque du XV de France : « Je n'osais même pas l'ambitionner » Successeur de Laurent Labit dans le staff de Fabien Galthié, l'ancien manager de Perpignan découvre un autre monde. Il a encore du mal à réaliser, ne cachant pas non plus une certaine impatience à confronter ses idées au niveau international.


Jeudi, quarante-huit heures avant son départ pour Marcoussis, Patrick Arlettaz (51 ans) nous a reçus dans un restaurant catalan où il a ses habitudes. Des escargots au muscat. L'ancien manager de l'USAP s'est livré sans filtre sur sa nouvelle mission dans le staff de l'équipe de France, où il est désormais entraîneur de l'attaque. Il a été le premier surpris par les sollicitations de Fabien Galthié et ne cache pas une certaine appréhension au moment de découvrir le niveau international. Mais il se plonge dans ce nouveau challenge avec sa personnalité qu'il décrit lui-même comme « atypique » et des convictions sur le jeu offensif qu'il a forgées dès ses débuts comme joueur au début des années 1990.

 

 



« Comment vous sentez-vous au lancement de cette nouvelle aventure ?
Tout se mélange. Excité, stressé, impatient... Je découvre quelque chose de tout nouveau. On a travaillé en séminaire à Marcoussis avec le staff depuis deux mois mais le coeur du truc, ce sont les joueurs, donc j'ai hâte de bosser avec eux.



lire aussiPatrick Arlettaz : « Pas envie de décevoir Fabien Galthié »



C'est un saut dans l'inconnu ?
Oui, complètement. La nouveauté fait qu'il y a ce mélange d'excitation, d'appréhension, de stress aussi. J'y vais avec beaucoup de modestie, je ne connais pas du tout ce type de fonctionnement. Je me doute qu'on va faire du rugby. Ça, je connais un peu (sourire), mais tout ce qui entoure l'équipe de France, ce sera tout neuf pour moi.



Vous connaissez certains joueurs en dehors de ce que vous voyez d'eux de l'extérieur ?
Très peu. On s'est croisés parfois sur les terrains, où on se connaît via des connaissances communes. Sur le rugby, je les connais tous. Eux aussi me connaissent par réputation, je suppose, ça parle beaucoup dans le milieu. On va apprendre à se découvrir, avec une autre façon de travailler. J'ai un profil un peu atypique, je ne suis pas très lisse. J'en suis conscient, comme je suis conscient que je ne vais pas me changer du jour au lendemain. Il faut que ça matche.

 

 



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Patrick Arlettaz, le nouveau patron de l'attaque française. (A.Mounic/L'Equipe)



Qu'est-ce qui vous inquiète le plus au moment de démarrer cette mission ?
J'ai toujours fonctionné comme ça : ne pas décevoir les gens qui me font confiance. Le choix de Fabien (Galthié), ce n'est pas un choix facile. Il aurait pu prendre d'autres noms, plus clinquants, plus bankable, plus lisses, plus cadrés Fédé, équipe de France, etc. Il aurait pu mais il m'a choisi moi. Donc je n'ai pas envie de le décevoir. D'un autre côté, je me dis que s'il l'a fait, c'est aussi pour ma personnalité, pour que je vienne en étant moi-même. Ça me va bien cette histoire (sourire). Je sais que la machine est énorme, que la mission est importante, qu'on reprend un travail magnifique mené depuis quatre ans, qu'il y a des attentes, de l'engouement, mais je ne vais pas changer pour autant.



lire aussiToute l'actu du XV de France



« Ce qui m'importe le plus, c'est de convaincre les joueurs. S'ils disent à un moment donné que je ne suis pas au niveau, ça me ferait mal »


 


  
 



Qu'est-ce que vous répondez aux sceptiques sur votre nomination ?
Je les comprends, je n'ai aucun problème avec ça. J'espère qu'il y en aura moins au bout d'un an ou deux, que j'en aurais fait changer quelques-uns d'avis. Mais ce qui m'importe le plus, c'est de convaincre les joueurs. S'ils disent à un moment donné que je ne suis pas au niveau, ça me ferait mal. Les autres, comme je n'ai ni Instagram ni Facebook, je les laisse commenter. À Perpignan, si je lisais ou écoutais tout ce qui se disait parfois sur moi, je serais devenu fou. Là-dessus, j'ai été formé à bonne école.



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Patrick Arlettaz, le nouvel entraîneur de l'attaque du XV de France, le 18 janvier à Canet-en-Roussillon. (P.Mérimée/L'Equipe)



Comment se sont noués les premiers contacts avec Fabien Galthié ?
Quand il m'appelle la première fois, je crois qu'il veut se renseigner sur Posolo (Tuilagi, deuxième-ligne de l'USAP). Il venait de débuter en Top 14, tout le monde en parlait, donc je me disais qu'il venait aux nouvelles. Donc très vite, je lui parle de Posolo (rires). On discute et il en vient à me parler de ce poste. J'étais très surpris, je ne l'envisageais pas du tout. Je n'osais même pas l'ambitionner en fait. Je savais que j'arrêtais à Perpignan à la fin de la saison (2022-2023), c'était clair dans ma tête depuis longtemps, mais sans aucun plan derrière. Je n'ai jamais passé un coup de fil à un président pour demander du boulot, je n'ai même pas d'agent et on me parle de l'équipe de France.



Et les choses se sont donc concrétisées au printemps...
Je l'ai pris de façon très détachée au départ. Il (Fabien Galthié) m'appelait de temps en temps, on parlait rugby, je me régalais. Un moment, il m'appelait moins, donc j'avais presque oublié le truc. C'est pour dire à quel point je ne l'envisageais pas (rires). En avril, on mange ensemble. On était dans un coin là-bas (il pointe une table de l'autre côté du restaurant), on a commencé le repas à midi, on est partis à 18 heures. On a sorti les stylos, fait des schémas sur des nappes. Et là, je me suis dit que ça l'intéressait beaucoup quand même, qu'il me posait beaucoup de questions. Nos échanges ont continué et il m'a annoncé la bonne nouvelle en juin.



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« J'ai une philosophie qui va plus vers la possession, la prise d'initiatives. Mais les tâches sont bien définies »


 


  
 



Comment vous sentiez-vous à ce moment-là ?
C'était quelques jours après le barrage (de maintien, gagné par Perpignan à Grenoble), donc autant dire que c'était surréaliste comme semaine. Je venais d'arrêter à l'USAP sur un maintien, laisser ce club en Top 14 m'animait tellement... Et je suis nommé en équipe de France. J'ai dit oui de suite.



Quels étaient vos rapports avec Fabien Galthié avant qu'il vous contacte pour ce poste ?
On se connaît sans se connaître, on s'est joués plusieurs fois mais c'est tout. On s'entendait bien mais on n'était pas amis.



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Arlettaz au côté de Galthié en décembre 2023. (A.Mounic/L'Equipe)



Sur l'aspect rugby, est-ce qu'on peut dire que la Coupe du monde a consacré l'équipe à la philosophie de jeu la plus éloignée de la vôtre ?
Oui, c'est la vérité. D'ailleurs, Fabien m'a pris pour l'attaque, pas pour le jeu au pied (rires). Oui, j'ai une philosophie qui va plus vers la possession, la prise d'initiatives. Mais les tâches sont bien définies. Fabien définit le plan de jeu et je me concentre sur les moments où on aura le ballon, peu importe qu'on l'ait beaucoup ou pas. J'ai une sensibilité, je vais l'emmener avec moi, et c'est vrai qu'elle ne correspond pas à celle de l'Afrique du Sud. Ils ont été champions du monde, bravo à eux, mais les trois autres grands favoris, sans manquer de respect aux autres nations, l'Irlande, la Nouvelle-Zélande et la France, avaient des philosophies plus proches de la mienne. Seule l'Afrique du Sud avait comme arme principale du jeu au pied et de la dépossession. C'était adapté à leur équipe, mais ça ne veut pas dire qu'il faut jouer comme ça pour être champions du monde.



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Comment adapter votre philosophie, disons joueuse, au niveau international ?
Encore une fois, Fabien m'a pris pour qu'on soit le plus performants possible quand on a le ballon. Pas pour décider combien de temps on allait avoir le ballon. On échange là-dessus, évidemment, et je le trouve très ouvert dans nos discussions. Il faut d'abord qu'on soit efficaces quand on a le ballon, qu'on soit en capacité de tenir sur des séquences offensives un peu plus longues. Ça fait partie des axes qu'on a.



Sur les quatre dernières années, l'équipe de France a évolué vers plus de possession...
Exactement. Entre le début du mandat (en 2020) et la Coupe du monde (2023), la philosophie a pas mal évolué. Et cette évolution me satisfait déjà, il y a de quoi faire, une sacrée matière sous la main.



Comment imaginez-vous ce premier match contre l'Irlande (à Marseille le 2 février) et tout ce qui entoure une rencontre internationale ?
Je ne l'imagine pas du tout. J'ai essayé de me dire "putain... le Vélodrome, la Marseillaise, le machin, le bidule" mais j'ai arrêté en me disant que j'en prendrais plein la gueule de toute façon (rire). Maintenant, j'y suis, je serai au milieu du staff, et je trouve que c'est déjà surréaliste de le dire. »




Les autres nouveautés du staff des Bleus

Laurent Sempere, 38 ans, co-entraîneur de la conquête. L'ancien talonneur succède à Karim Ghezal. Sitôt sa carrière de joueur terminée (2019), il a embrassé celle d'entraîneur au Stade Français où il a joué plus de dix ans. Il a rapidement pris du galon à la suite de l'éviction d'Heyneke Meyer en cours de saison avant de retrouver son rôle d'entraîneur des avants sous la direction de Gonzalo Quesada. L'an dernier, sous ses ordres, les Parisiens avaient le meilleur alignement (85 % de touches gagnées) et la seconde mêlée (89 % de mêlées gagnées) du Top 14. Sans doute un des points qui a convaincu le sélectionneur Fabien Galthié de le choisir.


Nicolas Jeanjean, 42 ans, directeur de la performance. L'ancien ailier ou arrière (9 sélections) travaille auprès de l'équipe de France depuis 2018 comme préparateur physique. À la suite du départ de Thibault Giroud à Bordeaux-Bègles après la Coupe du monde, il est promu au poste de directeur de la performance par Galthié. Une forme de continuité logique puisqu'il connaît les attentes du sélectionneur et suit les joueurs depuis plus de cinq ans. Il va pouvoir amener sa touche personnelle pour tenter de faire franchir un nouveau palier aux Bleus. Il a notamment une appétence particulière pour le fonctionnement du corps humain.

 

Il fait plaisir à lire Arlettaz.
Je suis curieux de voir ce qu'il va amener.

#9449 Arverne03

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Posted 24 January 2024 - 08:46 AM

Il fait plaisir à lire Arlettaz.
Je suis curieux de voir ce qu'il va amener.

 

Moi aussi !  B)



#9450 grospaquet33

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Posted 24 January 2024 - 08:48 AM

Il fait plaisir à lire Arlettaz.
Je suis curieux de voir ce qu'il va amener.

 

ben deja il amene Jaminet  :P

 

blague a part, on connait sa philosophie de jeu, donc on sera dans la continuité voire plus en terme de possession, à voir les hommes qu'il choisira ou qu'on choisira pour lui!






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