Il est dans son rôle.
Ses moyens sont limités par rapport à la concurrence et face à la pression du résultat, il cherche à développer de nouvelles solutions pour renforcer la compétitivité du groupe France. Ce qui n'est pas illogique car il est difficile pour notre sélection de rivaliser avec les autres modèles, nettement plus axés sur l'équipe nationale. On est d'accord ou non, mais il est dans son rôle comme les clubs le sont dans d'autres négociations.
Et je ne trouve pas que ses résultats soient mauvais pour ma part. On a gagné deux tournois sur six, avec un troisième perdu en 2020 uniquement à cause d'erreurs imputables aux joueurs (rouge de Houas, dégagement avant la sirène contre l'Angleterre...), et on rivalise lors du mondial en perdant de un point contre le futur vainqueur, qui a réalisé et de loin son meilleur match de la compétition avec des faits de jeu très favorables. Et tous les acteurs extérieurs gravitant autour du wagon bleu témoignent de sa compétence.
Aux clubs et à la sélection d'essayer de trouver le meilleur équilibre pour préparer l'Australie en espérant que la chance soit enfin de notre côté.
Un challenge impossible !






