Parce que tu crois, que dans le monde professionnel, il n'y a pas de "Petits complots minables, jeux de pouvoir entre médiocres, trahisons minables, croche pieds..." ? Il y a même aussi trahisons et jeux de pouvoir entre les plus performants.
On est bien dans le professionnalisme.
Les valeurs du sport, c'est pour le sport amateur .... et encore !
Bien sûr qu'il y en a. Là, on est justement au passage entre amateurisme et professionalisme, sans assumer. C'est surtout la structure globale du rugby qui n'est pas pro. Du coup, des requins qui ont pris tout le mauvais côté du professionnalisme (argent, pouvoir) profitent à fond d'un système totalement amateur dans sa vision du rugby et dans son organisation. C'est cette structure merdique qui laisse aux pourris et aux malfaisants toute latitude à agir.
J'aimerais bien connaitre le contenu entier de l'interview que Milou à accordé au Daily Mail.
Et dont il dit que ses propos ont été détournés............ ce qui est possible, mais!
RR:
"...
Émile Ntamack est en colère. Après la parution d'un article dans la presse anglaise, lui prêtant des propos très "offensifs" à l'égard du rugby français et plus particulièrement du XV de France, l'ancien entraîneur de l'équipe de France, finaliste de la Coupe du monde 2011, a tenu à réagir. "D'abord, il faut savoir que c'est un entretien que j'ai donné autour du 15 août. Et comme par hasard, ça sort juste avant le match entre le XV de France et l'Angleterre. Franchement, je suis très agacé. Ça ne représente absolument pas ma pensée."
Présent au Japon pour y soutenir le XV de France mais aussi son fils, Romain, l'ancien trois-quart international (46 sélections) a donc tenu à rectifier certaines choses. "Sur le staff, je n'ai pas dit : "on ne sait pas qui commande". On m'a interrogé sur le fait qu'il y avait beaucoup d'entraîneurs dans le staff. Mais pour moi, il n'y a pas d'ambiguïté. Le patron, c'est Jacques Brunel. J'ai simplement dit que la problématique serait pour chacun de trouver sa place. Avec les arrivées de Fabien (Galthié), de Laurent (Labit), ça n'a pas dû être simple. Mais pour ce qui est de la responsabilité du groupe, il n'y a pas de doute, c'est Jacques Brunel qui l'incarne." Des propos très loin de ceux rapportés par le Daily mail. "
Il n'y a qu'un petit résumé dans RR de cette interview.
You don't speak English ?
https://www.dailymai...ss-culture.html
Grand naïf ce Milou. Il crois balancer en douce et s'étonne que les Anglais ressortent ça au bon moment. Il ne fallait pas la donner, cette interview, alors, et balancer des conneries. Que ça soit un peu déformé, peut-être, mais après il faut qu'il assume aussi de son côté. Encore une fois, ce qu'il dit n'a rien de dévastateur non plus. il dit qu'on joue de la merde, et que personne ne comprend qui décide quoi dans le staff, et que son fils est le seul choix cohérent
C'est plus rare qu'on le pense un impact player. Le rugby français a du mal a saisir cela je trouve.
Par exemple si un joueur français touche 20 ballons en 80 minutes, le joueur entrant à la 60ème va toucher lui 20÷4=5 ballons.
Je trouve ça complètement déraisonnable.
Les entrants nz touchent tous les ballons pour faire souffler leurs coéquipier, ils le réclament et n'attendent pas de le recevoir.
On critique l'homme providentiel mais je pense qu'il est nécessaire de croire en lui.
En effet on veut un produit nouveau, quelque chose de neuf, sinon l'enthousiasme est au plus bas.
C'est sûrement pour ça que Clinton s'est faite dégager par Trump.
On attend l'homme providentiel surtout parce que le collectif n'existe pas. Et que c'est l'individu starifié qui va, en effet, être le produit phare. Mais c'est une Arlésienne, dans le rugby notamment. Il n'y a presque jamais eu de véritable star (Lomu à son époque ?). Même aujourd'hui, qui est la star des Blacks ? Barrette éventuellement, mais il ne se dégage pas vraiment des autres et du collectif.
Pour Trump, come pour d'autres, oui il a vendu un rêve, celui de la grandeur et de la splendeur de l'Amérique. Mais les Américains ont voté. Avec galthié, le monde du rugby n'a rien voté, et on ne lui a même pas vendu un projet de splendeur passée du rugby français. par contre, c'est sur ces sujets creux que se feront sans doute les élections à la FFR.