Qui en 9-10 samedi à Toulouse ?
Bezy toujours joker de luxe ou Ramos retrouve le 15 (et donc Kolbe une aile ?)
à moins qu'il ne préfère la cuisse
fin du hs
Posted 10 June 2019 - 20:19 PM
Qui en 9-10 samedi à Toulouse ?
Bezy toujours joker de luxe ou Ramos retrouve le 15 (et donc Kolbe une aile ?)
à moins qu'il ne préfère la cuisse
fin du hs
Posted 10 June 2019 - 20:21 PM
C'est un peu lourd de systématiquement regarder/mesurer/penser que l'on est moins aimé, moins favorisé, moins médiatisé...
Quasi la moitié des messages parlent au moins en partie de ce ressenti...
Si j'étais modérateur, le sujet rétrécirait méchamment...
Heureusement, je le suis, mais ne modère plus... Pour l'instant !
Gros match de mon point de vu qui ne devrait pas échapper à une orgie de jeu. Le Stade est favoris de par sa saison, mais leur petits jeunes sont assez bleus à ce niveau et les derniers titres datent donc grosse pression.
D'ailleurs, combien de joueurs toulousains en activité comptent un titre vs la même chose pour nos jaunards?
Posted 10 June 2019 - 20:49 PM
C'est un peu lourd de systématiquement regarder/mesurer/penser que l'on est moins aimé, moins favorisé, moins médiatisé...
Quasi la moitié des messages parlent au moins en partie de ce ressenti...
Si j'étais modérateur, le sujet rétrécirait méchamment...
Heureusement, je le suis, mais ne modère plus... Pour l'instant !
Gros match de mon point de vu qui ne devrait pas échapper à une orgie de jeu. Le Stade est favoris de par sa saison, mais leur petits jeunes sont assez bleus à ce niveau et les derniers titres datent donc grosse pression.
D'ailleurs, combien de joueurs toulousains en activité comptent un titre vs la même chose pour nos jaunards?
Posted 10 June 2019 - 20:59 PM
C'est un peu lourd de systématiquement regarder/mesurer/penser que l'on est moins aimé, moins favorisé, moins médiatisé...
Quasi la moitié des messages parlent au moins en partie de ce ressenti...
Si j'étais modérateur, le sujet rétrécirait méchamment...
Heureusement, je le suis, mais ne modère plus... Pour l'instant !
Gros match de mon point de vu qui ne devrait pas échapper à une orgie de jeu. Le Stade est favoris de par sa saison, mais leur petits jeunes sont assez bleus à ce niveau et les derniers titres datent donc grosse pression.
D'ailleurs, combien de joueurs toulousains en activité comptent un titre vs la même chose pour nos jaunards?
Les rôles sont inversés par rapport à nos confrontations passées. Et j'y vois un motif supplémentaire de croire à une issue différente.
J ai dit ça cet aprem, je suis un putain de génie
Posted 10 June 2019 - 21:06 PM
Léo Faure en Midol "À commencer par une pression moindre, par rapport aux Toulousains qui devront absolument gagner pour sanctionner d’un titre une saison jusqu’ici superbe. Les Clermontois, eux, ont déjà gagné."
Il a dit tout.
Cela fait plusieurs fois que je lis ce genre de raisonnement médiatique très discutable et plutôt stupide !
"On a déjà gagné" mais bien sûr et puis c'est ça, passez-nous la brosse à reluire en plus !
Au nom de quoi, du fait qu'on ait gagné la Coupe de Challenge Européen, l'ASM devrait "laisser" le ST gagner ce titre-là pour en faire leur vingtième ? Et puis quoi encore ?
Nous aussi on veut concrétiser notre superbe saison avec le Bouclier ! Sans blague...
Cette semaine ils vont se mettre à genoux pour nous supplier de laisser gagner les Toulousains ma parole ?!
Posted 10 June 2019 - 21:10 PM
J ai dit ça cet aprem, je suis un putain de génie
Ce sont toujours les meilleurs que l'on copie, sans toutefois jamais les égaler.
Posted 10 June 2019 - 21:17 PM
Un peu comme les Michalak, Poitrenaud et Jeanjean en 2001 n'est-ce pas...?
Ils étaient sacrément encadrés faut dire.
Il y avait un certain Penaud sur le banc d'ailleurs.
Surement l'arrière grand père du petit Damian.
Ce sont toujours les meilleurs que l'on copie, sans toutefois jamais les égaler.
Posted 10 June 2019 - 21:33 PM
Posted 10 June 2019 - 21:42 PM
attention, les vieux nous prédisent la branlée !
L'accent de la sincérité ne laisse planer aucun doute sur l'attachement profond qui lie toujours Cédric Heymans à ces couleurs d'un rouge et d'un noir éclatants. « Honnêtement, déclare le consultant de Canal +, ils font envie. C'est l'une des rares équipes à me faire parfois regretter de n'être plus sur la pelouse. »
Le Stade Toulousain procure du plaisir à beaucoup de monde mais d'abord à cette famille stadiste qui a troqué crampons contre pantoufles, ces anciens à nouveau fascinés maintenant que le présent est à la hauteur des promesses du passé. « Ça te réconcilie avec l'image du rugby que l'on a connu, résume ainsi Erik Bonneval. Je me souviens de la première mi-temps contre Lyon. J'étais assis avec (Claude) Portolan et (Henri) Lecomte. La veille, je n'étais même pas parvenu au bout du France - Italie et j'étais parti bricoler... Sincèrement, il y a une forme de jouissance à les voir évoluer ainsi. D'un coup, tu te dis : "Tout n'est donc pas mort." »
Lui comme les autres se reconnaissent dans la façon de jouer et même la façon d'être. « On a à nouveau envie d'aller au stade, affirme l'ancien deuxième-ligne Franck Bellot, l'homme d'un seul club, toujours impliqué dans la recherche de partenaires au Stade. On a retrouvé de la fierté par rapport à l'équipe et au club en général. Parce qu'au-delà du jeu pratiqué, c'est le comportement et les attitudes qui m'intéressent. Ils ne lâchent rien, ils restent dispo auprès des partenaires et du public. Ils sont au service du club. »
La fameuse idée que personne n'est au-dessus de l'institution, que chacun est au contraire à son service, même ceux qui n'ont pas été biberonnés au projet de jeu initié dans les années 80 par Jean Fabre et Robert Bru, développé par Jean-Claude Skrela et Pierre Villepreux. « Même les joueurs étrangers y adhèrent,rigole Bonneval. À notre époque, les étrangers venaient de Pamiers ou de Lille. Ils viennent de plus loin aujourd'hui, mais Kaino est fait pour ce jeu. Et Kolbe n'est pas Nadolo... »
Faits, oui, pour ce jeu de mouvement, « le jeu total » comme le résume Karl Janik. « Ugo (Mola) a d'abord fait avec le matériel dont il disposait, explique le flanker d'Oujda. Puis il a pu choisir des hommes différents et remettre en place le style de tout temps. Il ne faut pas se leurrer, la chute de la qualité du jeu était due à des erreurs de recrutement, des choix parfois douteux. Là, il a réussi un mix entre la formation et le recrutement, il a remis de l'équilibre. »
« Cette génération n'a rien gagné or elle a besoin de gagner. Les joueurs ont compris ça, que tu n'existes vraiment dans ce club que lorsque tu as gagné » - Cédric Heymans, ancien ailier du Stade Touousain
Chacun s'accorde sur ce point. Pierre Villepreux le premier. « Cette culture avait été délaissée, indique-t-il. On avait perdu les principes fondamentaux de ce jeu de mouvement et de la manière d'y accéder. Peut-être est-ce dû à une sorte d'usure, à l'arrivée de joueurs étrangers, à la manière d'éduquer. L'avantage, c'est que la gouvernance d'aujourd'hui a été bercée par cette philosophie. Quand la gouvernance est dans ce cadre, quand le staff suit, alors il y a quelques chances que les joueurs s'y mettent aussi... »
Ils s'y sont mis, « dès le plus jeune âge » comme le rappelle Cédric Heymans. « Tout part de là, assure-t-il. La base de tout, c'est l'unité de formation, le travail réalisé par Marfaing et Cazalbou. Quand je suis arrivé au Stade, c'est le discours que l'on m'a tenu : "Viens chez nous, tu vas jouer." C'est le cas aujourd'hui avec tous ces jeunes, les Dupont, Ntamack, Verhaeghe, Tauzin, les gars de la première ligne, le petit Marchand, Mauvaka... Didier (Lacroix) a fait le job en les verrouillant. Il reproduit ce qu'il avait vécu à l'époque. » « Surtout, insiste Villepreux, ils ont changé la façon de concevoir le travail avec les jeunes. Ils m'ont invité pour expliquer ma perception des choses et je m'y retrouve fatalement puisqu'ils reprennent le projet que l'on avait mis en place avec Jean Fabre et Robert Bru. »
Éviter d'aller au sol, jouer debout, se passer le ballon... « Attention, prévient Bonneval, le rugby, ce n'est pas que du jeu. Et Toulouse, ce n'est pas que du jeu. C'est d'ailleurs aussi pour ça que ça plaît, parce qu'il y a du combat, une vraie solidarité dans cette équipe. D'ailleurs tu le vois lorsqu'un joueur prend une initiative, tout le monde le suit, même si ce n'est pas toujours dans le cadre... »
Reste maintenant à concrétiser, à gagner ces titres qui valident une politique et matérialisent un élan. « Oui, mais ça explique aussi ce qui est en train de se passer, souligne Heymans. Cette génération n'a rien gagné or elle a besoin de gagner. Les joueurs ont compris ça, que tu n'existes vraiment dans ce club que lorsque tu as gagné. Ils ont vécu dans la souffrance ces dernières années, avec des querelles internes, des problèmes économiques, et ce manque de résultats sur le terrain. Ils veulent inverser la tendance. »
Il n'y a qu'une voix, finalement, légèrement dissonante, celle de Christian Labit, l'entraîneur de Carcassonne. Il concède que « l'équipe a mûri. Que le Stade est beau à voir jouer. Que le système fonctionne. » Mais il apporte aussitôt de la nuance. « Dix joueurs étrangers font fonctionner l'équipe, regrette-t-il. D'accord, c'est le même système partout. Mais je dis que le Stade n'est pas novateur. Quelques jeunes ont grandi, mais ils ne seraient pas aussi bons s'ils n'étaient accompagnés de joueurs étrangers d'expérience. Elstadt est pour moi l'un des meilleurs troisième-ligne en France si ce n'est le meilleur. Tekori, une machine de guerre. Arnold et Kaino, c'est au-dessus. Faumuina, c'est très fort. Kolbe ou Faasalele sont exceptionnels. Ce n'est pas une critique, je leur tire même mon chapeau d'avoir réussi un tel recrutement. Mais l'identité d'une équipe, ce n'est pas dix étrangers, c'est quand les joueurs issus de la formation s'adaptent à ton identité. Attention, il y en a à Toulouse qui émergent. Ntamack, Tauzin, un ou deux devant. Mais ce n'est pas, pour moi, l'identité du Stade Toulousain... Si tu ne joues qu'avec eux, tu ne gagnes pas un match. »
Posted 10 June 2019 - 21:46 PM
attention, les vieux nous prédisent la branlée !
Toulouse : des anciens sous le charme Les anciens du Stade sont presque tous sous le charme de cette équipe toulousaine-là, et ne boudent pas un plaisir qui ravive une forme de nostalgie.L'accent de la sincérité ne laisse planer aucun doute sur l'attachement profond qui lie toujours Cédric Heymans à ces couleurs d'un rouge et d'un noir éclatants. « Honnêtement, déclare le consultant de Canal +, ils font envie. C'est l'une des rares équipes à me faire parfois regretter de n'être plus sur la pelouse. »
Le Stade Toulousain procure du plaisir à beaucoup de monde mais d'abord à cette famille stadiste qui a troqué crampons contre pantoufles, ces anciens à nouveau fascinés maintenant que le présent est à la hauteur des promesses du passé. « Ça te réconcilie avec l'image du rugby que l'on a connu, résume ainsi Erik Bonneval. Je me souviens de la première mi-temps contre Lyon. J'étais assis avec (Claude) Portolan et (Henri) Lecomte. La veille, je n'étais même pas parvenu au bout du France - Italie et j'étais parti bricoler... Sincèrement, il y a une forme de jouissance à les voir évoluer ainsi. D'un coup, tu te dis : "Tout n'est donc pas mort." »
Lui comme les autres se reconnaissent dans la façon de jouer et même la façon d'être. « On a à nouveau envie d'aller au stade, affirme l'ancien deuxième-ligne Franck Bellot, l'homme d'un seul club, toujours impliqué dans la recherche de partenaires au Stade. On a retrouvé de la fierté par rapport à l'équipe et au club en général. Parce qu'au-delà du jeu pratiqué, c'est le comportement et les attitudes qui m'intéressent. Ils ne lâchent rien, ils restent dispo auprès des partenaires et du public. Ils sont au service du club. »
La fameuse idée que personne n'est au-dessus de l'institution, que chacun est au contraire à son service, même ceux qui n'ont pas été biberonnés au projet de jeu initié dans les années 80 par Jean Fabre et Robert Bru, développé par Jean-Claude Skrela et Pierre Villepreux. « Même les joueurs étrangers y adhèrent,rigole Bonneval. À notre époque, les étrangers venaient de Pamiers ou de Lille. Ils viennent de plus loin aujourd'hui, mais Kaino est fait pour ce jeu. Et Kolbe n'est pas Nadolo... »
Faits, oui, pour ce jeu de mouvement, « le jeu total » comme le résume Karl Janik. « Ugo (Mola) a d'abord fait avec le matériel dont il disposait, explique le flanker d'Oujda. Puis il a pu choisir des hommes différents et remettre en place le style de tout temps. Il ne faut pas se leurrer, la chute de la qualité du jeu était due à des erreurs de recrutement, des choix parfois douteux. Là, il a réussi un mix entre la formation et le recrutement, il a remis de l'équilibre. »
« Cette génération n'a rien gagné or elle a besoin de gagner. Les joueurs ont compris ça, que tu n'existes vraiment dans ce club que lorsque tu as gagné » - Cédric Heymans, ancien ailier du Stade Touousain
Chacun s'accorde sur ce point. Pierre Villepreux le premier. « Cette culture avait été délaissée, indique-t-il. On avait perdu les principes fondamentaux de ce jeu de mouvement et de la manière d'y accéder. Peut-être est-ce dû à une sorte d'usure, à l'arrivée de joueurs étrangers, à la manière d'éduquer. L'avantage, c'est que la gouvernance d'aujourd'hui a été bercée par cette philosophie. Quand la gouvernance est dans ce cadre, quand le staff suit, alors il y a quelques chances que les joueurs s'y mettent aussi... »
Ils s'y sont mis, « dès le plus jeune âge » comme le rappelle Cédric Heymans. « Tout part de là, assure-t-il. La base de tout, c'est l'unité de formation, le travail réalisé par Marfaing et Cazalbou. Quand je suis arrivé au Stade, c'est le discours que l'on m'a tenu : "Viens chez nous, tu vas jouer." C'est le cas aujourd'hui avec tous ces jeunes, les Dupont, Ntamack, Verhaeghe, Tauzin, les gars de la première ligne, le petit Marchand, Mauvaka... Didier (Lacroix) a fait le job en les verrouillant. Il reproduit ce qu'il avait vécu à l'époque. » « Surtout, insiste Villepreux, ils ont changé la façon de concevoir le travail avec les jeunes. Ils m'ont invité pour expliquer ma perception des choses et je m'y retrouve fatalement puisqu'ils reprennent le projet que l'on avait mis en place avec Jean Fabre et Robert Bru. »
Éviter d'aller au sol, jouer debout, se passer le ballon... « Attention, prévient Bonneval, le rugby, ce n'est pas que du jeu. Et Toulouse, ce n'est pas que du jeu. C'est d'ailleurs aussi pour ça que ça plaît, parce qu'il y a du combat, une vraie solidarité dans cette équipe. D'ailleurs tu le vois lorsqu'un joueur prend une initiative, tout le monde le suit, même si ce n'est pas toujours dans le cadre... »
Reste maintenant à concrétiser, à gagner ces titres qui valident une politique et matérialisent un élan. « Oui, mais ça explique aussi ce qui est en train de se passer, souligne Heymans. Cette génération n'a rien gagné or elle a besoin de gagner. Les joueurs ont compris ça, que tu n'existes vraiment dans ce club que lorsque tu as gagné. Ils ont vécu dans la souffrance ces dernières années, avec des querelles internes, des problèmes économiques, et ce manque de résultats sur le terrain. Ils veulent inverser la tendance. »
Il n'y a qu'une voix, finalement, légèrement dissonante, celle de Christian Labit, l'entraîneur de Carcassonne. Il concède que « l'équipe a mûri. Que le Stade est beau à voir jouer. Que le système fonctionne. » Mais il apporte aussitôt de la nuance. « Dix joueurs étrangers font fonctionner l'équipe, regrette-t-il. D'accord, c'est le même système partout. Mais je dis que le Stade n'est pas novateur. Quelques jeunes ont grandi, mais ils ne seraient pas aussi bons s'ils n'étaient accompagnés de joueurs étrangers d'expérience. Elstadt est pour moi l'un des meilleurs troisième-ligne en France si ce n'est le meilleur. Tekori, une machine de guerre. Arnold et Kaino, c'est au-dessus. Faumuina, c'est très fort. Kolbe ou Faasalele sont exceptionnels. Ce n'est pas une critique, je leur tire même mon chapeau d'avoir réussi un tel recrutement. Mais l'identité d'une équipe, ce n'est pas dix étrangers, c'est quand les joueurs issus de la formation s'adaptent à ton identité. Attention, il y en a à Toulouse qui émergent. Ntamack, Tauzin, un ou deux devant. Mais ce n'est pas, pour moi, l'identité du Stade Toulousain... Si tu ne joues qu'avec eux, tu ne gagnes pas un match. »
T as vu ça ou pour la branlée
Posted 10 June 2019 - 21:52 PM
Gauzère et Poite ont fait les demies finales. Normal que Garcès soit à la finale.Garcès au sifflet.
J'aurais préféré Gaüzere mais bon...
Posted 10 June 2019 - 22:39 PM
Perso j'étais chaud patate pour faire une standing ovation et tout donner si Novès passait sur les écrans en demie. Je ne sais pas s'il y était, en tout cas on ne l'a pas vu.50/50 cette finale ...difficile de faire des pronostics ..les 2 équipes méritent...et que la meilleure gagne . Petit plaisir personnel au programme samedi c'est que les supporters des 2 équipes s'associeront le temps de la bronca pour Bernard et Serge ...
Posted 10 June 2019 - 22:43 PM
la même.Perso j'étais chaud patate pour faire une standing ovation et tout donner si Novès passait sur les écrans en demie. Je ne sais pas s'il y était, en tout cas on ne l'a pas vu.
Posted 10 June 2019 - 23:01 PM
Pas vu Brunel perso.J'ai pas vu le match de dimanche mais c'était la même j'imagine ?
Posted 10 June 2019 - 23:03 PM