putain c'est long !!!
Posté 15 juin 2019 - 08:18
putain c'est long !!!
Posté 15 juin 2019 - 08:19
putain c'est long !!!
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Plus c'est long plus c'est bon
Posté 15 juin 2019 - 08:26
Posté 15 juin 2019 - 08:35
la mienne au 66
un signe aussi non?
Purée la saison prochaine c'est la D2.
Posté 15 juin 2019 - 08:38
Packs
969 pour le ST
899 pour ASM
Posté 15 juin 2019 - 08:39
Posté 15 juin 2019 - 08:42
Bon sinon c'est à quelle heure les compos ? Ça commence à être long.
Posté 15 juin 2019 - 08:52
Voui. Ils ont ajouté KolbeIls sont un de plus ?
Posté 15 juin 2019 - 08:55
Posté 15 juin 2019 - 08:55
jour de transhumance. L'auvergnat veut pas arriver en retard sur paris.
Posté 15 juin 2019 - 09:00
Packs
969 pour le ST
899 pour ASM
Le poids (comme la longueur) ne fait pas tout
Posté 15 juin 2019 - 09:11
Packs
969 pour le ST
899 pour ASM
Sont trop gras les bestiaux de Toulouse
Posté 15 juin 2019 - 09:14
par Aurelien Bouisset dans l'Equipe
C'était début mai et ce jour-là, le Stade Toulousain avait un invité spécial pour son entraînement du jour. Aux Sept Deniers, les trois-quarts du finaliste du Top 14 expérimentaient une séance avec les cousins du TO XIII, le club engagé en deuxième division du redoutable championnat anglais. « On avait besoin de se mettre en éveil sur ce qui se fait ailleurs et de combler un peu de temps par rapport à notre calendrier, se remémore Ugo Mola. On y a pris beaucoup de plaisir et les joueurs se sont éclatés. On développe des compétences ainsi, il y a des choses à apprendre ! »
Cette curiosité, le staff de Clermont la partage. Franck Azéma et Bernard Goutta ont des racines catalanes, une vraie terre de XIII. Le manager de l'ASM comme l'entraîneur des avants jaune et bleu ont même joué tous les deux, avant ou après leur carrière à XV. Le père d'Azéma était treiziste aussi, jouant même une finale de Championnat de France en 1975 avec Saint-Estève. Dans ses voyages d'étude dans l'hémisphère sud, Azéma fait toujours un détour par les clubs de XIII, comme à Melbourne, chez les Storm.
Qu'est ce qui intéresse ces deux références du Top 14 dans la discipline cousine ? « Je ne suis pas le seul, reconnaît Mola, mais ça fait quelques années que je regarde le rugby à XIII, notamment pour le jeu de trois quarts, sur les lignes de course, la technique de passe ou de plaquage, la capacité à jouer des situations marquées. »
La technique de passe, ça peut-être celle qu'on délivre... Au pied ! Une arme offensive pour mieux surprendre les défenses adverses, toujours plus denses et organisées, que l'ASM et le Stade utilisent pour créer des situations d'essais. Le XIII peaufine cet art dans toutes ses dimensions, de la technique du botteur à celle du réceptionneur. Clermont l'a tenté, sans réussite, en demi-finale contre Lyon : après un ruck, Camille Lopez (cercle rouge) avait cherché sur l'aile opposée, d'une transversale un peu trop profonde, le grand et aérien Arthur Iturria, positionné sur l'aile à dessein.
Ugo Mola évoque aussi « les lignes de course », et là, la technique a été payante pour Toulouse contre La Rochelle. Gaël Tallec, ancien international à XIII et joueur à XV, qui a disséqué le match à notre demande, a dégoté une situation limpide qui illustre l'efficacité de ce schéma perfectionné à XIII.
« C'est une situation de trois contre trois dans le camp de la Rochelle après un ruck. Thomas Ramos (en noir à gauche) récupère le ballon, il a face à lui Dany Priso. À son côté, c'est Sofiane Guitoune qui attaque, avec, face à lui Romain Sazy (cercle rouge). »
« Ramos voit que Priso a un temps de retard et prend une décision : il oriente sa course pour attaquer directement l'épaule droite de Romain Sazy. Son partenaire, Sofiane Guitoune, connaît son intention, et décide donc, lui, d'attaquer l'autre épaule de Sazy, la gauche, et le plus près possible de son corps, pour empêcher le troisième défenseur, sur l'extérieur, d'intervenir. Les Toulousains ciblent volontairement le même défenseur et transforment ''le trois contre trois'' en ''deux contre un''. Sazy est placé dans une situation très inconfortable, ne sachant sur quel attaquant intervenir. Il est comme écartelé, sur le reculoir (au bout de la flèche). »
Sur ses lancements de jeu, Clermont positionne souvent sa ligne de trois quarts dans des schémas de XIII. Ce qui lui a permis de marquer une première fois après une touche, contre Lyon, analysée par Tallec. « Sur cette touche, après la première passe de Fritz Lee pour Laidlaw (flèche), Camille Lopez (premier plan cercle rouge) déclenche une course pour passer sur la droite de son trois-quarts centre...
Celui-ci donne une première incertitude à la défense adverse : il peut très bien être servi par Laidlaw, lui aussi. On voit d'ailleurs un défenseur lyonnais stopper sa course à cause de cet appel et perdre un peu ses appuis (cercle rouge), fixé par cet attaquant sans ballon (course flèche), mais pas inutile ! »
« Mais c'est Camille Lopez qui est choisi par la passe de Laidlaw (flèche). Un premier déséquilibre est créé et ce qui est intéressant, c'est que Clermont reproduit ce schéma une seconde fois avec l'appel de Raka dans le dos de Isaia Toeava (cercle rouge 1). Mais cette fois, c'est l'arrière qui est servi et pas l'ailier qui a décroché et l'a contourné. Au bout, il y a l'essai de Penaud (cercle rouge 2). »
Enfin, Mola mentionne les gestes défensifs, et la philosophie treiziste a rejailli en demi-finale, notamment chez Yoann Huget, sur des plaquages. Gaël Tallec : « Un Rochelais le défie et Huget (cercle rouge) choisit de plaquer sur le ballon, très vite aidé par un partenaire, souvent un troisième-ligne, qui lui aussi intervient sur le haut du corps du porteur du ballon. Même si les défenseurs peuvent paraître perdre du terrain, ils empêchent La Rochelle d'utiliser la passe après contact, une arme qu'elle aime multiplier. Les deux défenseurs essaient de garder l'attaquant sur ses appuis le plus longtemps possible et peuvent même orienter sa chute vers un partenaire qui irait ensuite gratter. La libération de balle de l'attaque en est beaucoup plus lente. »
Posté 15 juin 2019 - 09:20
C'est leur pilier droit qui fait exploser la balance. Falgoux va sentir chauffer les épaules...Packs
969 pour le ST
899 pour ASM
Posté 15 juin 2019 - 09:20
Mais Jésus est auvergnat !
les défaites de l'asm, c'est un peu comme les seins de Monica Belucci, comment y renoncer? La malédiction, la rigolade, la ville usine noire, etc... quand on sait pas quoi dire on remet les ingrédients dans le vieux pot et ça sort des articles au km. peu importe ce qu'est devenue l'asm. De toutes façons, la lumière est sur Toulouse. Dupont est un génie, Huget est beau comme Ric, Jean Claude Vandamme himself est moins aware. Le tout, c'est de s'en branler et de leur marcher sur la gueule.