Leur témoignage est intéressant et pourquoi pas porteur d'espoir.
En marge de cette info, ce serait bien d'en à propos de ce contamination répétées.
Savoir si quelqu'un en a (Silhouette, ou d'autre(s)) ou pas, d'avoir des précisions sur ces histoires de deuxième contamination :
- une première pas vraiment terminée qui reprend ou réapparait ?
- une deuxième réelle ?
Le virus se caractérisant par plusieurs symptômes peut il apparaitre sous un autre forme symptomatique que la première chez un même individu ?
Juste un exemple perso chez un de nos clients
Sa fille en contact d'un prof qui l'avait avant le confinement
Au début du confinement, il nous a dit "bon ben je vais l'avoir" avec humour
Il a eu les symthomes mais moins pire que Steph pdt le confinement. En conférence pour faire avancer notre projet, il toussait bcp
Puis plus rien semaine dernière, en forme.
Et là mardi, il a quitté le teletravail avec un message d'absence pour raison médicale pour 2 semaines. Il était vraiment pas bien d'après un de ces collègues qui l'a eut au téléphone
Exactement on est loin du "je suis joue en ligue des champion les autres sont des amateurs"..... J'ai bien aimé cette article.
Par contre je n'arrive pas à comprendre pourquoi on ne leur autorise pas de donner de la chloroquine et pourquoi des médecins doivent se justifier des traitements qu'il donne.
Ah priori il faut faire pas mal de test sur la personne avant d'administrer le traitement Chroloquine (cardiaque notamment)
Et en cette période, le temps doit manquer pour ceci et pour avoir des RDV sans être positif (il faut le rappeler, leurs patients ont les symptômes mais n'ont pas été testé positif et sur le médecin qui a eu 200 cas, seul 2 ont nécessité d'aller à l’hôpital)
Les patients qui vont à l’hôpital peuvent être contrôlé avant (pour savoir s'ils peuvent recevoir la chloroquine) et pendant, si des effets secondaires se produisent
Le médecin de ville ne peut pas et n'a pas les moyens de surveillance temps réel
La chroloquine semble produire qqs effets secondaires quand même
11 patients décédé au Brésil en 6 jours, testé avec forte dose, arrêt cardiaque (l'article indique aussi des cas similaires en Suède)
Sa fille en contact d'un prof qui l'avait avant le confinement
Au début du confinement, il nous a dit "bon ben je vais l'avoir" avec humour
Il a eu les symthomes mais moins pire que Steph pdt le confinement. En conférence pour faire avancer notre projet, il toussait bcp
Puis plus rien semaine dernière, en forme.
Et là mardi, il a quitté le teletravail avec un message d'absence pour raison médicale pour 2 semaines. Il était vraiment pas bien d'après un de ces collègues qui l'a eut au téléphone
On appellera ça plutôt une rechutte ?
Ok et merci Fred mais rien ne permet dans cet exemple de caractériser une première contamination.
Une suspicion certes, sa fille l'a t'elle eu ? Sont ils en lien rapprochés ? Qu'a til fait entre temps ?
Les deux semaines d’absence signifient à minima une période de quarantaine.
PS : avec le retour du Charles de Gaulle dans la rade, peut bêtre que l'IHU de marseille récupère un gros challenge ???
Ok et merci Fred mais rien ne permet dans cet exemple de caractériser une première contamination.
Une suspicion certes, sa fille l'a t'elle eu ? Sont ils en lien rapprochés ? Qu'a til fait entre temps ?
Les deux semaines d’absence signifient à minima une période de quarantaine.
Aucun n'a été testé mais les symptômes était clair pour sa fille et lui et pour leur médecin (la famille vie ensemble)
Donc confinement pour lui dès que sa fille eu une suspicion et aucune sortie
Après depuis mardi je ne sais pas s'il est à l'hôpital
C'est juste pour dire que certains ne s'en débarrasse pas facilement et qu'il faut trouver un traitement (en gros avec les 2 semaines en +, ça lui fera 5 semaines depuis ses débuts de symptômes)
Quelques éléments de réponse pour Bazooka (peut-être déjà posté par George précédemment)
"...Mais il se peut que, d'une façon similaire, l'infection à coronavirus provoque ce que l'on appelle des « réservoirs viraux » - c'est-à-dire des cellules de l'organisme dans lesquelles le virus se met en dormance : il n'exprime plus aucune protéine, donc le système immunitaire ne le voit plus. Et à l'occasion d'un événement particulier : la baisse prolongée de la charge virale dans le sang, un coup de fatigue qui provoque une légère baisse de l'efficacité immunitaire de l'hôte, le virus se remet à proliférer, et peut éventuellement provoquer un retour de la maladie. Selon une étude récente, pour SARS-CoV2, ces réservoirs pourraient se situer dans les reins, qui sont les organes qui expriment le plus les récepteurs ACE2 qui servent de porte d'entrée au virus.
Pour l'heure, il ne faut en tout cas pas s'alarmer, pour plusieurs raisons : la première, c'est que pour les cas signalés, en Chine, les patients ne sont pas plus malades qu'ils n'ont été. Ce n'est pas une aggravation liée à une reprise de flambée virale.
Mais surtout parce qu'il manque aujourd'hui beaucoup trop de données pour être assertif : qui sont ces patients, quel était le profil exact de leur maladie, leurs comorbidités, combien de temps précisément ont-ils présentés des tests positifs après la fin de leur symptômes, sont-ils jeunes ou vieux ? C'est à ces questions que doit répondre la vaste étude lancée par les autorités de santé coréennes, études que nous allons suivre et dont nous vous tiendrons, bien sûr, informés des résultats."
Et sur l'interdiction de l'HC en médecine de ville, écouter ce témoignage (à partir de 2'50'') d'un médecin de Vanves qui s'exprime posément sur ce sujet. Ça change et ça fait du bien.
Ah priori il faut faire pas mal de test sur la personne avant d'administrer le traitement Chroloquine (cardiaque notamment)
Et en cette période, le temps doit manquer pour ceci et pour avoir des RDV sans être positif (il faut le rappeler, leurs patients ont les symptômes mais n'ont pas été testé positif et sur le médecin qui a eu 200 cas, seul 2 ont nécessité d'aller à l’hôpital)
Les patients qui vont à l’hôpital peuvent être contrôlé avant (pour savoir s'ils peuvent recevoir la chloroquine) et pendant, si des effets secondaires se produisent
Le médecin de ville ne peut pas et n'a pas les moyens de surveillance temps réel
La chroloquine semble produire qqs effets secondaires quand même
11 patients décédé au Brésil en 6 jours, testé avec forte dose, arrêt cardiaque (l'article indique aussi des cas similaires en Suède)
Une amie à Paris a eu des symptômes il y a environ 3 semaines : mal de tête perte du gout et de l'odorat. Elle appelle son médecin qui lui dit de respecter le confinement et de l'appeler si cela s’aggrave.
C'est heureusement passé tout seul près 15 jours de grosse fatigue
Elle ne sait pas si son médecin l'a recensée comme atteinte du COVID vu qu'il ne lui a prescrit aucun test.
on nous annonce que 10 % de la population francaise aurait été touchée, je suis plus que dubitatif sur ce chiffre puisque on peut se poser la question de savoir si tous les malades connus on été recensés ou non et surtout on nous annonce 50 à 75 % (une fourchette de 25% !!!)de porteurs sains qui ignorent qu'ils sont atteints et qui de fait ne peuvent être comptabilisés.
il y a en france 106000 cas confirmés (j'imagine par test) mais combien on été touchés réellement?
Quelques éléments de réponse pour Bazooka (peut-être déjà posté par George précédemment)
"...Mais il se peut que, d'une façon similaire, l'infection à coronavirus provoque ce que l'on appelle des « réservoirs viraux » - c'est-à-dire des cellules de l'organisme dans lesquelles le virus se met en dormance : il n'exprime plus aucune protéine, donc le système immunitaire ne le voit plus. Et à l'occasion d'un événement particulier : la baisse prolongée de la charge virale dans le sang, un coup de fatigue qui provoque une légère baisse de l'efficacité immunitaire de l'hôte, le virus se remet à proliférer, et peut éventuellement provoquer un retour de la maladie. Selon une étude récente, pour SARS-CoV2, ces réservoirs pourraient se situer dans les reins, qui sont les organes qui expriment le plus les récepteurs ACE2 qui servent de porte d'entrée au virus.
Pour l'heure, il ne faut en tout cas pas s'alarmer, pour plusieurs raisons : la première, c'est que pour les cas signalés, en Chine, les patients ne sont pas plus malades qu'ils n'ont été. Ce n'est pas une aggravation liée à une reprise de flambée virale.
Mais surtout parce qu'il manque aujourd'hui beaucoup trop de données pour être assertif : qui sont ces patients, quel était le profil exact de leur maladie, leurs comorbidités, combien de temps précisément ont-ils présentés des tests positifs après la fin de leur symptômes, sont-ils jeunes ou vieux ? C'est à ces questions que doit répondre la vaste étude lancée par les autorités de santé coréennes, études que nous allons suivre et dont nous vous tiendrons, bien sûr, informés des résultats."
Et sur l'interdiction de l'HC en médecine de ville, écouter ce témoignage (à partir de 2'50'') d'un médecin de Vanves qui s'exprime posément sur ce sujet. Ça change et ça fait du bien. https://youtu.be/TlJpUCA7H5A
C'est ce medecin dont je cherchai le nom dans un de mes derniers post.
Perso, l'emploi de médicaments "détournés" de leur but premier sans des vérifications lourdes me gêne un peu. Le médiator prévu à l'origine pour les diabétiques en surpoids a finalement été prescrit à des patients-tes voulant perdre du poids (hors diabète ou autre). Si ce "poison" avait été réservé a ceux/celles a qui il était destiné il est sûr que le nombre de victime serait inférieur (mais non nul évidement). Qui a pris la décision de prescrire en détournant le but originel?
Leur témoignage est intéressant et pourquoi pas porteur d'espoir.
En marge de cette info, ce serait bien d'en avoir propos de ces contaminations répétées.
Savoir si quelqu'un en a (Silhouette, ou d'autre(s)) ou pas, d'avoir des précisions sur ces histoires de deuxième contamination :
- une première pas vraiment terminée qui reprend ou réapparait ?
- une deuxième réelle ?
Le virus se caractérisant par plusieurs symptômes peut il apparaitre sous un autre forme symptomatique que la première chez un même individu ?
Il y a eu plusieurs cas en Corée je crois. Les scientifiques penchaient plus pour une réactivation du virus qui n'avait pas quitté l'hôte, plutôt que pour une seconde contamination distincte.
Quelques éléments de réponse pour Bazooka (peut-être déjà posté par George précédemment)
"...Mais il se peut que, d'une façon similaire, l'infection à coronavirus provoque ce que l'on appelle des « réservoirs viraux » - c'est-à-dire des cellules de l'organisme dans lesquelles le virus se met en dormance : il n'exprime plus aucune protéine, donc le système immunitaire ne le voit plus. Et à l'occasion d'un événement particulier : la baisse prolongée de la charge virale dans le sang, un coup de fatigue qui provoque une légère baisse de l'efficacité immunitaire de l'hôte, le virus se remet à proliférer, et peut éventuellement provoquer un retour de la maladie. Selon une étude récente, pour SARS-CoV2, ces réservoirs pourraient se situer dans les reins, qui sont les organes qui expriment le plus les récepteurs ACE2 qui servent de porte d'entrée au virus.
Pour l'heure, il ne faut en tout cas pas s'alarmer, pour plusieurs raisons : la première, c'est que pour les cas signalés, en Chine, les patients ne sont pas plus malades qu'ils n'ont été. Ce n'est pas une aggravation liée à une reprise de flambée virale.
Mais surtout parce qu'il manque aujourd'hui beaucoup trop de données pour être assertif : qui sont ces patients, quel était le profil exact de leur maladie, leurs comorbidités, combien de temps précisément ont-ils présentés des tests positifs après la fin de leur symptômes, sont-ils jeunes ou vieux ? C'est à ces questions que doit répondre la vaste étude lancée par les autorités de santé coréennes, études que nous allons suivre et dont nous vous tiendrons, bien sûr, informés des résultats."
Et sur l'interdiction de l'HC en médecine de ville, écouter ce témoignage (à partir de 2'50'') d'un médecin de Vanves qui s'exprime posément sur ce sujet. Ça change et ça fait du bien.
impressionnant de sincérité et de persuasion ce médecin ,
enfin une explication convaincante accessible à tous ,
Ville:Né dans la ville du nougat blanc et dur. Vie dans la ville des marins rouge et noir.
Mon club:
Posted 16 April 2020 - 12:38 PM
Ah priori il faut faire pas mal de test sur la personne avant d'administrer le traitement Chroloquine (cardiaque notamment)
Et en cette période, le temps doit manquer pour ceci et pour avoir des RDV sans être positif (il faut le rappeler, leurs patients ont les symptômes mais n'ont pas été testé positif et sur le médecin qui a eu 200 cas, seul 2 ont nécessité d'aller à l’hôpital)
Les patients qui vont à l’hôpital peuvent être contrôlé avant (pour savoir s'ils peuvent recevoir la chloroquine) et pendant, si des effets secondaires se produisent
Le médecin de ville ne peut pas et n'a pas les moyens de surveillance temps réel
La chroloquine semble produire qqs effets secondaires quand même
11 patients décédé au Brésil en 6 jours, testé avec forte dose, arrêt cardiaque (l'article indique aussi des cas similaires en Suède)
Si on fait un résumé à la grosse, on n'a pas la preuve formelle que l'HydroChroroquine soigne réellement, mais on a les preuves qu'elle peut tuer
J'entend bien tout cela et suis complétement d'accord.
Mais ce que je ne comprend pas c'est qu'un médecin est justement là pour évaluer les bénéfices risques et sais en générale ce qu'il fait. Si un médecin juge que ce médicament peu être bénéfique et en tout cas n'agravera pas ta situation il te le dit et tu accepte ou non le traitement.
J'en ai marre de ce monde ou on ne fait plus confiance à personne mais on veut des solutions toutes clés en main que des robots pourrait appliqué....,
Et faire confiance chez moi c'est aussi accepter la part d'erreur et d'inconnu. C'est à dire que si tu accepte et que malheureusement il y a des complication, tu aura au moins était prvenue avant et pris en connaissance de cause tout de même....
Yes ! On va très bien tous les deux. Je tousse encore un peu, et va falloir que je me refasse du souffle parce que mine de rien, ça me l'a bien coupé, je m'en rend compte en refaisant un peu de vélo d'appart.
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