Moi j'aime personne, je trouve que c'est beaucoup plus simple.
On peut traiter tout le monde d’ enculé , sans distinction aucune , non vraiment c’ est très pratique.
Posté 13 mai 2020 - 13:29
Moi j'aime personne, je trouve que c'est beaucoup plus simple.
Posté 13 mai 2020 - 13:49
Moi j'aime personne, je trouve que c'est beaucoup plus simple.
Moi aussi, en particulier dans tentative de survie en milieu hostile (l'enfer c'est les autres)
Posté 13 mai 2020 - 14:16
Moi aussi, en particulier dans tentative de survie en milieu hostile (l'enfer c'est les autres)
Lui par contre je l aime bien
Posté 13 mai 2020 - 14:34
L'académie de médecine n'est pas contente.
Communiqué de l’Académie nationale de Médecine : Recherche clinique et Covid-19 : la science n’est pas une option
La vérité scientifique ne se décrète pas à l’applaudimètre. Elle n’émerge pas du discours politique, ni des pétitions, ni des réseaux sociaux. En science, ce n’est ni le poids majoritaire ni l’argument d’autorité qui font loi.
C’est pourtant dans ce type de dérive que s’est fourvoyée la recherche de traitements médicamenteux actifs contre le Covid-19 : trop de précipitation dans la communication, trop d’annonces prématurées, trop de discordes entre les équipes, trop de pressions de toutes sortes, mais pas assez de science.
La démarche scientifique exige du temps, de la méthode et de l’esprit critique. Dans le domaine du médicament, il faut non seulement vérifier qu’une substance est efficace, mais aussi s’assurer que ses avantages l’emportent largement sur ses effets indésirables, eu égard à la gravité de la maladie cible. C’est la balance bénéfices/risques. L’essai thérapeutique contrôlé randomisé est la seule méthode permettant de répondre à ces questions avec un niveau de preuve élevé.
Dans le cas du Covid-19, en l’absence de traitement de référence susceptible de servir de comparateur, chaque médicament candidat doit être comparé à un placebo. Ce choix est légitime en situation d’incertitude, c’est-à-dire lorsqu’on ne sait pas a priori si le patient qui sera inclus dans l’essai thérapeutique aura intérêt à être dans un groupe plutôt que dans l’autre. Mais les prises de positions passionnelles, voire compassionnelles, en faveur de l’hydroxychloroquine avant tout essai comparatif ont été si nombreuses, et les pressions si fortes dans un contexte anxiogène, que les patients n’acceptaient d’entrer dans l’essai qu’avec la certitude de ne pas être inclus dans le bras placebo, ce qui est incompatible avec le principe même de l’essai contrôlé. En conséquence, rares étant ceux qui acceptaient de contribuer à l’avancée de la science.
Par ailleurs, l’évolution spontanément favorable de l’infection par le SARS-CoV-2 dans 85% des cas impose de recruter un grand nombre de participants pour démontrer l’efficacité d’un traitement dans la phase initiale de la maladie. Or, la regrettable dispersion des essais limite la taille des effectifs et réduit la puissance statistique des résultats.
Enfin, le battage médiatique en faveur de l’hydroxychloroquine se déportant secondairement vers le remdesivir et le tocilizumab sur la foi de modestes résultats préliminaires, il importe de rester prudent en attendant leur confirmation.
Si le contexte anxiogène de la pandémie stimule la compétition entre les équipes de recherche dans le monde entier, cet impératif ne saurait justifier l’utilisation de méthodes inappropriées, d’études bâclées, ni d’une communication avide d’exclusivités. Précipiter l’évaluation d’un candidat médicament, c’est exposer les patients à d’éventuels effets adverses sans être sûr de leur apporter un bénéfice. Il existe heureusement des équipes responsables qui font preuve d’imagination et de proactivité en raccourcissant autant que possible les délais d’obtention de leurs résultats.
Le temps de la recherche et de la science n’est pas celui de l’immédiateté des médias et des réseaux sociaux. Le doute, inhérent à toute démarche scientifique, est aussi intolérable pour le public soucieux d’apaiser son anxiété que pour le politique désireux de conforter ses décisions. En temps de crise, si le doute exaspère, les croyances sont nuisibles et souvent dangereuses.
Face au défi du Covid-19, l’Académie nationale de médecine rappelle que la recherche thérapeutique doit :
Posté 13 mai 2020 - 14:49
L'académie de médecine n'est pas contente.
Communiqué de l’Académie nationale de Médecine : Recherche clinique et Covid-19 : la science n’est pas une option
La vérité scientifique ne se décrète pas à l’applaudimètre. Elle n’émerge pas du discours politique, ni des pétitions, ni des réseaux sociaux. En science, ce n’est ni le poids majoritaire ni l’argument d’autorité qui font loi.
C’est pourtant dans ce type de dérive que s’est fourvoyée la recherche de traitements médicamenteux actifs contre le Covid-19 : trop de précipitation dans la communication, trop d’annonces prématurées, trop de discordes entre les équipes, trop de pressions de toutes sortes, mais pas assez de science.
La démarche scientifique exige du temps, de la méthode et de l’esprit critique. Dans le domaine du médicament, il faut non seulement vérifier qu’une substance est efficace, mais aussi s’assurer que ses avantages l’emportent largement sur ses effets indésirables, eu égard à la gravité de la maladie cible. C’est la balance bénéfices/risques. L’essai thérapeutique contrôlé randomisé est la seule méthode permettant de répondre à ces questions avec un niveau de preuve élevé.
Dans le cas du Covid-19, en l’absence de traitement de référence susceptible de servir de comparateur, chaque médicament candidat doit être comparé à un placebo. Ce choix est légitime en situation d’incertitude, c’est-à-dire lorsqu’on ne sait pas a priori si le patient qui sera inclus dans l’essai thérapeutique aura intérêt à être dans un groupe plutôt que dans l’autre. Mais les prises de positions passionnelles, voire compassionnelles, en faveur de l’hydroxychloroquine avant tout essai comparatif ont été si nombreuses, et les pressions si fortes dans un contexte anxiogène, que les patients n’acceptaient d’entrer dans l’essai qu’avec la certitude de ne pas être inclus dans le bras placebo, ce qui est incompatible avec le principe même de l’essai contrôlé. En conséquence, rares étant ceux qui acceptaient de contribuer à l’avancée de la science.
Par ailleurs, l’évolution spontanément favorable de l’infection par le SARS-CoV-2 dans 85% des cas impose de recruter un grand nombre de participants pour démontrer l’efficacité d’un traitement dans la phase initiale de la maladie. Or, la regrettable dispersion des essais limite la taille des effectifs et réduit la puissance statistique des résultats.
Enfin, le battage médiatique en faveur de l’hydroxychloroquine se déportant secondairement vers le remdesivir et le tocilizumab sur la foi de modestes résultats préliminaires, il importe de rester prudent en attendant leur confirmation.
Si le contexte anxiogène de la pandémie stimule la compétition entre les équipes de recherche dans le monde entier, cet impératif ne saurait justifier l’utilisation de méthodes inappropriées, d’études bâclées, ni d’une communication avide d’exclusivités. Précipiter l’évaluation d’un candidat médicament, c’est exposer les patients à d’éventuels effets adverses sans être sûr de leur apporter un bénéfice. Il existe heureusement des équipes responsables qui font preuve d’imagination et de proactivité en raccourcissant autant que possible les délais d’obtention de leurs résultats.
Le temps de la recherche et de la science n’est pas celui de l’immédiateté des médias et des réseaux sociaux. Le doute, inhérent à toute démarche scientifique, est aussi intolérable pour le public soucieux d’apaiser son anxiété que pour le politique désireux de conforter ses décisions. En temps de crise, si le doute exaspère, les croyances sont nuisibles et souvent dangereuses.
Face au défi du Covid-19, l’Académie nationale de médecine rappelle que la recherche thérapeutique doit :
- s’appuyer sur des essais cliniques scientifiquement rigoureux et éthiquement irréprochables malgré la contrainte de délais optimisés ;
- se fonder sur des bases pharmacodynamiques et pharmacocinétiques solides ;
- coordonner des équipes nationales et internationales dans de grandes études multicentriques ;
- s’astreindre à une communication prudente et responsable de la part des chercheurs, ne divulguer que des résultats contrôlés et validés, et s’interdire de susciter de faux espoirs et de provoquer des réactions d’engouement injustifiées dans le grand public.
ça veut juste dire qu'on à pas fini de ramer ,
avant de savoir ce qui est efficace et ce qui
ne l'est pas ..
ces messieurs sont intransigeants face à la
rigueur scientifique . Moins peut-être au moment
de faire les casse-croute ..
Posté 13 mai 2020 - 15:07
Ils auront quand même mis deux mois pour pondre un communiqué ! Chapeau bas
Posté 13 mai 2020 - 15:36
ça veut juste dire qu'on à pas fini de ramer ,
avant de savoir ce qui est efficace et ce qui
ne l'est pas ..
ces messieurs sont intransigeants face à la
rigueur scientifique . Moins peut-être au moment
de faire les casse-croute ..
Pendant ce temps, Raoult re-ecrit l'histoire tranquillement. Vous vous souvenez de sa video intitulee "Coronavirus: fin de partie !" (qui date du 25 Fevrier). Elle est toujours en ligne, mais ils ont discretement change le titre pour "Coronavirus : vers une sortie de crise ?" (https://www.youtube....h?v=8L6ehRif-v8). Facebook ne mettant pas a jour leur apercus de video, on peut toujours voir le titre et l'habillage original cela dit: https://www.facebook...19986561389403/
En terme de malhonnetete intelectuelle, ca se pose la ...
Posté 13 mai 2020 - 16:06
ces messieurs sont intransigeants face à la rigueur scientifique . Moins peut-être au moment de faire les casse-croute ..
Je ne comprend pas cette phrase.
Posté 13 mai 2020 - 16:14
ça veut juste dire qu'on à pas fini de ramer ,
avant de savoir ce qui est efficace et ce qui
ne l'est pas ..
ces messieurs sont intransigeants face à la
rigueur scientifique . Moins peut-être au moment
de faire les casse-croute ..
Ptolémée, c'est toi qui critique un appel à la rigueur scientifique ?
Je suis sur le cul.
Posté 13 mai 2020 - 16:39
Je ne comprend pas cette phrase.
c'est pourtant clair , je ne critique en rien l'esprit scientifique ,
je redoute simplement que ça va etre trés long pour valider
le vaccin adéquate avec toute la rigueur scientifique que ça
impose ..
rien d'autre ..
coté des casse-croute c'était l'anecdote , les scientifiques sont
comme nous , ils ont besoin de décompresser ...
Posté 13 mai 2020 - 16:43
C'est Clermont communauté qui a oublié cette couche, enfin patacul, enfin, je sais pas, laissée en vrac dans la boite aux lettres ?
Et en plus ça pue.
Posté 13 mai 2020 - 16:48
C'est pas pratique, c'est culturel.On peut traiter tout le monde d enculé , sans distinction aucune , non vraiment c est très pratique.
Posté 13 mai 2020 - 17:03
Des recrutements ❌
Des créations de postes ❌
Des réouvertures de lits ❌
Des réouvertures de services ❌
Des augmentations de salaires ❌
Une médaille ✅
Des RTT gracieusement donnés par les petits copains, ça fait joli et ça coute rien a l état. Entre parenthèses ceux qui ont eu cette brillante idée ont oublié d'y associer tous les autres peignes cul qui bossaient pendant le confinement.
Sinon le retour de l ISF on en parle ou pas
Posté 13 mai 2020 - 17:03
Pendant ce temps, Raoult re-ecrit l'histoire tranquillement. Vous vous souvenez de sa video intitulee "Coronavirus: fin de partie !" (qui date du 25 Fevrier). Elle est toujours en ligne, mais ils ont discretement change le titre pour "Coronavirus : vers une sortie de crise ?" (https://www.youtube....h?v=8L6ehRif-v8). Facebook ne mettant pas a jour leur apercus de video, on peut toujours voir le titre et l'habillage original cela dit: https://www.facebook...19986561389403/
En terme de malhonnetete intelectuelle, ca se pose la ...
En réalité cela fait plusieurs semaines qu'il a modifié le titre.
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