478 réponses à ce sujet

[casquette]

Marre de voir JJH
Il sert à rien, on a Barraque qui peut passer en 10 en cours de match 
Ca laisse une place à Vili ou Tixeront ou Dessaigne
 
Comme dit par un cyber, il doit avoir une clause pour jouer un certains nombres de match, pas possible autrement

tout à fait d autant quil y a Parra dans le groupe

[Tibaldo]

Encore parra lopez titulaires...

 

Avec une grosse série de matchs qui nous attend après

 

Parra qui sort d'une blessure, viallard qui doit jouer

 

Et surtout viallard et JJ sur le banc en même temps...Ils n'entreront pas sauf blessure...

 

J'aurais également préféré un banc à 6 avants avec parra et barraque sur le banc

 

Beau pack sinon!

[Boulard]

Toujours pas de van Tonder, ça commence à sentir un peu

Encore blessé?
Très problématique et frustrant tellement il pourrait incarner la relève du club en 3e ligne avec des gars comme Dessaigne et Tixeront.

Encore parra lopez titulaires...
 
Avec une grosse série de matchs qui nous attend après
 
Parra qui sort d'une blessure, viallard qui doit jouer
 
Et surtout viallard et JJ sur le banc en même temps...Ils n'entreront pas sauf blessure...
 
J'aurais également préféré un banc à 6 avants avec parra et barraque sur le banc
 
Beau pack sinon!

Parra - Lopez ensemble sur le terrain, c'est plutôt une rareté cette année il me semble.

[Mammoth]

Parra - Lopez ensemble sur le terrain, c'est plutôt une rareté cette année il me semble.

Un peu comme quand David Gilmour et Roger Waters acceptent de retourner ensemble sur scène

[Tibaldo]

Encore blessé?
Très problématique et frustrant tellement il pourrait incarner la relève du club en 3e ligne avec des gars comme Dessaigne et Tixeront.

Parra - Lopez ensemble sur le terrain, c'est plutôt une rareté cette année il me semble.

Oui effectivement!

 

Je voulais dire que l'on aurait pu sur ce match mettre viallard titulaire , et on aurait ainsi deux buteurs fiables dans chaque charnière et une vraie possibilité de coaching

[pims]

Encore blessé?
Très problématique et frustrant tellement il pourrait incarner la relève du club en 3e ligne avec des gars comme Dessaigne et Tixeront.
.

Il se traine une commotion je crois

[el landeno]

oulon - La Rochelle dans les yeux du président Bernard Lemaître À la fin de la saison, Bernard Lemaître aura investi 50 millions d'euros dans le RCT. Pour comprendre comment il vit les aléas de son club, nous l'avons suivi lors du dernier match de Toulon.

 

Casquette noire sur la tête, sneakers aux pieds, Bernard ­Lemaître a relevé le col de sa veste en cuir. Le président du RCT s'est avancé en colonne sur l'avenue des Légendes, au milieu de ses joueurs qui traversaient la foule incandescente des supporters pour rejoindre le stade Mayol. La mâchoire serrée, il a goûté ce ­tumulte d'avant combat qui ­resserre les viscères. Un des instants qu'il préfère.

 

 

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Un brasier qui contraste avec la vue contemplative de sa résidence marseillaise où il nous accueillait la veille. Une terrasse à flanc de colline offrant un panorama époustouflant : une vue à 180 ­degrés sur la Méditerranée, du ­levant au couchant. « Ça ressemble au pont d'un bateau » sourit-il, toujours en suspens avec la rive d'en face, l'Algérie.

En contrebas, des reflets verts et or scintillaient dans le bleu de la mer. À 83 ans, Bernard Lemaître pourrait se délecter de nuances d'aquarelle, se mettre à peindre en placide retraité. Il balaye cette possibilité. « La paix intérieure ? Je me demande si elle est possible. Je suis toujours en guerre et, finalement, ça me convient. Même en temps de paix, un soldat a besoin de batailles. »

Au moelleux de la tribune présidentielle, il préfère vivre les matches depuis le bord du ­terrain. Samedi dernier, il se ­tenait debout sur un plot en béton pour voir son club affronter La Rochelle (victoire 41-11). Un choc capital. Le RCT s'efforce de s'extraire des bas-fonds du Top 14 après un début de saison calamiteux. Le club a ­tangué, accumulé défaites et ­crises. Lemaître a semblé tenir la barre d'un Titanic fonçant vers l'iceberg de la relégation.

Au match aller, le 24 octobre, Toulon s'était fait étriller 39-6. Ce fut le clap de fin pour Patrice Collazo, recruté par Lemaître. Le président est monté au feu pour son manager, a tiré à boulets rouges en conférence de presse sur certains joueurs leaders. Puis il a dû se résoudre à se séparer de Collazo. « Les mots ont été difficiles à trouver... »

Dans l'urgence, Lemaître a dû réagir. Il a recruté Franck Azéma. « Pour sa qualité technique, mais aussi parce qu'on partage les ­valeurs de rectitude, d'honnêteté et de loyauté. Franck a su obtenir l'écoute puis l'adhésion des joueurs. »

"J'ai tout lu. « Lemaître est un con », « il est nul. Ou alors, ça parlait de « canne blanche » ou « d'Ehpad »

Bernard Lemaître, à propos de la salve d'insultes reçues pendant l'hiver

 

 

 

Avec le printemps, Toulon a ­retrouvé plus de stabilité et semble parti pour échapper à la relégation. Tout l'hiver, Lemaître a subi une grêle d'insultes sur les réseaux sociaux. « C'est la première fois de ma vie. J'ai tout lu. De "­Lemaître est un con", à "Il est nul". Ou alors, ça parlait de "canne blanche" ou "d'Ehpad", ça m'a surpris. Blessé aussi. Je suis passé à autre chose aujourd'hui. »

Avec lui, le RCT a changé de ­logiciel, mais des ultras l'accusent d'être fossoyeur du club. Pourtant, à la fin de la saison, il y aura investi, à fonds perdu, 50 millions d'euros issus de sa fortune personnelle. Il serait, peut-être, plus avisé de faire fructifier ses avoirs dans un fonds d'investissement asiatique. Mais non ! Il a choisi le Var. Parce que Toulon. Lola, son épouse espagnole, lève les yeux au ciel : « Quand Bernard a quelque chose en tête... » Lola est née à Alicante. Les deux se sont connus en 1957 à la fac de ­Toulouse. Ils ont eu trois enfants, sont toujours amoureux, conversent en français et se chamaillent en espagnol. Elle a renoncé à le
« démobiliser ».

 

Bernard Lemaître a pris la présidence du RCT en février 2020. (F. Porcu/L'Équipe)

Lui est reparti à l'assaut de la ­citadelle du Top 14. Avec un projet encore plus ambitieux : associer Pierre Mignoni à Azéma dans un binôme de managers inédit. « Pour gagner un titre, mais aussi fédérer le rugby du sud-est de la France. » Il envisage de construire un club-house, vient d'acquérir un ­terrain près du Campus RCT. « On va bâtir un ­immeuble de ­bureaux qui générera des revenus pour le club. »

Lemaître aime évoquer la postérité. Ambitionne de pérenniser l'avenir de Toulon, son « oeuvre ». Ses ancêtres ont planté des ­oliviers en Afrique du Nord, lui rêve de fertiliser le rugby du Var. Il est issu d'une lignée d'Ardéchois, ­débarqués en Algérie en 1843 pour y travailler la terre. Des « pieds-noirs ».

En 1962, ce département français est devenu une République indépendante. À la douleur de l'arrachement s'est ajoutée l'horreur de la guerre. Alors que ­Toulon affronte La Rochelle un 19 mars 2022, il nous fait remarquer : « Le 19 mars 1962, il y a ­soixante ans jour pour jour, ont été ­signés les accords d'Évian. Ça ne s'invente pas ! »

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Une date comme une détonation. Les accords d'Évian étaient censés mettre fin à la guerre. Aux yeux de Lemaître, jeune lieutenant d'un commando de chasse, ils ont provoqué une atrocité. Il a reçu l'ordre de désarmer ses ­harkis qui combattaient pour la France, de les livrer à un ennemi face auquel ils avaient combattu. « Si vous pensez que vous connaissez l'horreur, vous ne la connaissez pas encore. » Tous furent égorgés. « À Souk Ahras, ville de naissance de saint Augustin... Je préfère taire les détails. »

Il a refusé d'obéir. A laissé tomber au sol la Croix de la Valeur ­Militaire, gagnée au combat. Ce geste le conduira en prison : ­quarante-cinq jours de cachot. Le 19 mars 1962, c'est aussi le jour de naissance de Christine, sa fille aînée. Lemaître ne l'apprendra qu'une semaine plus tard, par télégramme. Moments de vie volés.

En rage, Lemaître s'est jeté dans l'entreprenariat, un autre combat. Il va connaître la réussite dans les biotechnologies. Le ­bonheur attendra. « Je ne sais pas vraiment ce que c'est. » Bien que croyant, il reconnaît avoir du mal à prier. « Je n'ai jamais rien demandé à personne sur cette terre. C'est pas super. Faut savoir demander. Il n'y a pas de honte à faire sentir à l'autre qu'on a besoin d'un début de communion. »

De la discrétion à l'exultation face à La Rochelle

L'homme est ardent. Tellement, qu'il feint l'impassibilité. Lors du début de match face à La Rochelle, il est longtemps resté figé. Les mains croisées dans le dos, comme dans l'ordre de
« repos » qui suit celui du « garde-à-vous » sur une place d'armes. Le long de la ligne de touche, Franck Azéma s'animait, en short, un casque sur l'oreille.

Quand, soudain, le centre australien Duncan Paia'aua s'est offert un essai opportuniste (20e), Lemaître a serré un poing rageur. Toulon menait 19-6 à la pause. « Faut pas qu'on se relâche ! » Il s'est offert un petit ravitaillement, est revenu du vestiaire la pogne remplie de bonbons. Toulon a poussé, percuté, su inverser son jeu. À la 55e, Cheslin Kolbe est allé aplatir, en funambule. « Oh puuuuu-tain ! », a-t-on pu lire sur ses lèvres. Un officier, ça se contient. En principe. Au deuxième essai de Kolbe (72e), Lemaître a exulté, à l'unisson d'un Mayol en fusion. Il a eu besoin d'étreintes, a agrippé Franck Azéma. « Cette victoire-là, elle fait du bien ! »

 

Le président a félicité tout l'effectif après la victoire du RCT sur La Rochelle. (F. Porcu/L'Équipe)

Puis il s'est positionné à l'entrée du vestiaire, en embuscade. Et n'a raté aucun des joueurs. Il a enchaîné les accolades. Moment joyeux, visages lumineux. L'odeur de camphre avait laissé place à celle de l'origan et de la cinquantaine de pizzas commandées pour la fête. Les Toulonnais se sont resserrés en un cercle. L'énergie était électrique. ­Anthony Étrillard, le talonneur, a entonné une chanson de sa ­composition : « On ne va pas au ciel ! On est les Daltons ! Des ­évadés ! »

Laissant ses joueurs à leur joie, Lemaître est discrètement ­reparti pour Marseille. « Ce soir, on a touché à une forme de beauté, une communion. Faut qu'il y ait un peu de peur au départ. Le succès est à l'aune de cette peur initiale. »

Il a fait vrombir le V6 de sa Bentley Continental GT, son « petit kif ». Puis évoqué, déjà, le match face à Clermont, ce samedi. « On va faire le point sur les blessés. Il y en a. » Avant d'avouer : « Il n'existe pas d'oeuvre sans souffrance. Le chef ne peut partager la sienne avec personne. À la limite, il n'en a pas le droit. »

 

 

[TH69]

ça sera compliqué faut pas se le cacher ...le RCT revient bien....Allez ASM !!!!

[Corse63]

Grosse équipe rouge et noire, ils nous reçoivent avec respect, va falloir se les fader et cela va pas être simple, 1 point serait déjà bien

[Ptolémée]

quand je lis la compo de la 2ème et 3ème ligne du RCT çà ferait presque peur ..

va falloir que l'ASM sorte le match du siècle pour espérer 

[Mammoth]

quand je lis la compo de la 2ème et 3ème ligne du RCT çà ferait presque peur ..

va falloir que l'ASM sorte le match du siècle pour espérer 

De l'année ce serait déjà bien

[depassage]

 « Il n'existe pas d'oeuvre sans souffrance. Le chef ne peut partager la sienne avec personne. À la limite, il n'en a pas le droit. »

Sortir une connerie pareille !!! en plus d'avoir, comme l'ancien président du RCT un ego démesuré, il a aussi une vision tordue et dangereuse des rapports humains...

[Rugby ?]

Houlà, le cirage de pompe de Lemaitre.

Pour faire pleurer dans les chaumières, comme ça, il envisage la Mairie.

Oui chef !

[marco43]

2 belles compositions, ça va saigner.  

[Rugby ?]

On a un très gros banc.

Mais je crains que le match soit plié avant.