438 réponses à ce sujet

[Sushi]

 

Et Grenoble, ils étaient au complet lors du 1/4 de finale du Challenge Yves du Manoir de 1993 ?

Non, parce que ça nous intéresse vraiment de savoir !!

 

 

En 1993, vous étiez la meilleure équipe ? Il vous a fallut rejouer le match des quarts de finales contre Narbonne car vous aviez fait rentrer 5 remplaçants au lieu de 4 autorisés (tricheurs, déjà...!!!)

Tu ne t'en ventes guère de celle-là, hein... 

A notre époque, une erreur comme ça (enfin, vous espériez sans doute que ça ne ce verrez pas...), pas de seconde chance... 

 

 

Un jour un futur président de la FFR se présentera sous la bannière : "si je suis élu, je fais retirer le titre de Castres de 93 et le fait réattribuer à Grenoble" et il sera élu, crois-nous...

Je cite, il faut que ce post soit lu,par le plus grand nombre!

Mais quelle infamie!

[Gourine63]

Je cite, il faut que ce post soit lu,par le plus grand nombre!
Mais quelle infamie!

Si un modo pouvait l'épingler afin que tous et toutes puissent assister à cet éclatement de vérité pure.

[Alex chocolatines]

Si un modo pouvait l'épingler afin que tous et toutes puissent assister à cet éclatement de vérité pure.

Faudrait envoyer ça au canal rugby club ! 

[frednirom]

 

Et Grenoble, ils étaient au complet lors du 1/4 de finale du Challenge Yves du Manoir de 1993 ?

Non, parce que ça nous intéresse vraiment de savoir !!

 

 

En 1993, vous étiez la meilleure équipe ? Il vous a fallut rejouer le match des quarts de finales contre Narbonne car vous aviez fait rentrer 5 remplaçants au lieu de 4 autorisés (tricheurs, déjà...!!!)

Tu ne t'en ventes guère de celle-là, hein... 

A notre époque, une erreur comme ça (enfin, vous espériez sans doute que ça ne ce verrez pas...), pas de seconde chance... 

 

 

Un jour un futur président de la FFR se présentera sous la bannière : "si je suis élu, je fais retirer le titre de Castres de 93 et le fait réattribuer à Grenoble" et il sera élu, crois-nous...

dans ta face de minou Cat !

[gregouarrrr]

Moi j en ai rien à battre de 1993 ....

[Very Good Eshvili]

Moi j en ai rien à battre de 1993 ....

J’prends ça pour une attaque personnelle!

[Alex chocolatines]

Moi j en ai rien à battre de 1993 ....

Non, on ne peut pas dire ça ! on ne peut plus faire semblant de ne pas voir, détourner le regard lâchement, au nom des valeurs, il faut que cela cesse, soyez courageux, condamnez l'infamie ! Plus jamais ça  ! 

[rueducourage]

 
Parra et Bézy seront du voyage sauf pépin dans la semaine.
 
Il semblerait que Lavanini, Vahaamahina et Van Tonder postulent.
 
Ezeala s'est encore entraîné au centre aujourd'hui associé à Hanrahan.

Intéressant qu on puisse disposer de nos deuxièmes lignes les plus puissants et de la paire de 9 titulaire.
Il ne faut pas exposer Jaunneau trop tôt sur ce genre de match à enjeu.
Au centre je préférerais voir Fofana et Vili, voire JJH et Fof.
Pour Ezeala il est en pleine reprise, pas évident de l exposer à une nouvelle fois à un poste aussi rude physiquement.

[rueducourage]

Le pire, c'est que je te crois assez rigoureux pour avoir précisément calculé le nombre de jours...

Par contre, s il s est gourré il finit en slip place de Jaude avec Julien ?...😳

[Boulard]

Par contre, s il s est gourré il finit en slip place de Jaude avec Julien ?...😳

Si tout ceux qui racontent des conneries ici devaient finir en slip, on tournerait le remake du Grand Bain toutes les semaines.

[Pâquerette]

Ah ben champagne alors ! Enfin cidre plutôt vu le classement.

 Voire du Champomy...

[el landeno]

Le pilier droit international s'épanouit à Castres. Grâce au rugby, il a pu apaiser les démons de sa colère née d'un parcours de vie cabossé et de l'absence d'un père légionnaire.

« Allons z'enfants ! » Il connaissait la chanson, Wilfrid Hounkpatin. Son père a servi vingt-deux ans dans la Légion. Mais cette Marseillaise-là, pour ses débuts en bleu dans la nuit australe, il ne l'oubliera jamais. C'était le 13 juillet, à Melbourne. Les yeux embués, sa main pressant son coeur pour l'empêcher de bondir. « Aux aaaarmes, citoyens ! » Premier combat : ne pas se laisser emporter par le torrent des sentiments. « J'ai pensé très fort à ma mère. Elle nous a élevés seule, trois enfants. Pour boucler les fins de mois, elle enchaînait deux boulots, après le départ de mon père. Le jour dans un lycée, le soir elle faisait des ménages jusqu'à tard. J'attendais son retour pour m'endormir. J'ai pensé à elle tout au long du match. »Les Bleus l'ont emporté face aux Australiens (26-28). Sitôt revenu au vestiaire, le pilier droit a envoyé un message à sa mère. Leur rituel. « Elle me parle de courage, me dit qu'elle m'aime. » Dans ces petits textos, ce costaud de 128 kg, pour 1,92 m, puise sa force et sa foi.

 

 

Wilfrid Hounkpatin en bref

30 ans - 1,92 m - 128 kg
Castres
2018 : après 4 saisons au Stade Rouennais, il signe au Castres Olympique où il vient de prolonger pour 4 ans, jusqu'en 2026.

Françoise vient de Levier, un petit bourg à 20 kilomètres de Pontarlier, dans le Doubs. Elle est fière des épaules de son fiston, massives comme des contreforts de Vauban. « Les mêmes que celles de mon grand-père, tailleur de pierres. Quand Wilfrid a été opéré de l'épaule, le chirurgien m'a dit qu'il n'en avait jamais vu de pareilles. Sur ses radios, on voit que la vis qu'ils lui ont mise est pliée. » Elle rit, légère. « Il a aussi les épaules de son papa. »

Françoise a rencontré Gaston Hounkpatin lors de la fête des sapins, à Levier. La fanfare de la Légion étrangère y avait débarqué. Lui était au tambour, animait le bal du village. Il était beau, impeccable dans son uniforme aux trois plis Légion dans le dos. Auréolé de son képi blanc. Elle était ambulancière à Besançon. « On a eu un flash réciproque. » Ils se sont aimés. Ont eu trois enfants. Wilfrid, le second, est venu au monde à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône. À deux pas des casernements du 1er Régiment étranger, la maison mère de la Légion. Quand Wilfrid a eu 3 ans, la famille s'est envolée pour Kourou, en Guyane. Nouvelle affectation pour Gaston Hounkpatin: le 3e R.E.I. dont la mission est de surveiller la fusée Ariane et les 730 kilomètres de frontière avec le Brésil. L'infanterie de jungle, ça rend humble.

« Il n'est pas bagarreur. Juste impulsif. Surtout quand on lui balançait : ''Retourne dans ton pays, sale Nègre'' »

François, mère de Wilfrid Hounkpatin

 

 

 

« Quand mon père avait une permission, on faisait des sorties en famille, se souvient le fiston. Des trucs extra comme des balades en pirogue. J'ai porté un boa sur mes épaules, tenu une mygale dans la main. » Souvenirs sépia, bonheur éphémère. Trois ans plus tard, la famille déménage à Nîmes, dans le Gard. Gaston Hounkpatin sert au 2e R.E.I., l'infanterie blindée. Il enchaîne les missions. En Côte d'Ivoire, où les compagnies de combat se succèdent dans l'opération Licorne. Quand il revient auprès des siens, il est ailleurs. Ou pressé de repartir quelque part en France pour jouer avec la fanfare. Sa soupape.

 

Wilfrid était si fier quand son paternel débarquait à la sortie de l'école : « C'est mon papa, regardez, il est trop fort ! » Chaque retour du père sonne le « garde à vous ». Wilfrid Hounkpatin parle d'éducation « à la dure », ajoute « fallait que ça file droit ». Mais le plus souvent, le père est absent.

Pour les siens, c'est comme s'il avait déserté du foyer. Disputes. Séparation. Divorce. Wilfrid a 10 ans, se met à bouffer en cachette. Prends du poids. À 15 ans, il laisse tomber le foot, s'inscrit à la boxe thaïe. « Ça m'a canalisé. » Wilfrid Hounkpatin est sanguin. « Il n'est pas bagarreur, explique la mère. Juste impulsif. Surtout quand on lui balançait : retourne dans ton pays sale Nègre ! » À 17 ans, il entend moins ce genre de trucs. Forcément : il mesure déjà 1,90 m et pèse 120 kg. Il achève un bac S, traîne au kebab avec ses potes, se tâte pour s'engager dans la gendarmerie nationale.

lire aussiCastres : Hounkpatin prolonge jusqu'en 2026

Et puis il y a eu cette rencontre avec le rugby. Inattendue, donc belle. Un matin de juin 2007 : « Je ne sais pas pourquoi je m'étais levé de bonne heure. Un pote m'a appelé pour m'inviter à participer à la journée de détection du RC Nîmes. Je n'avais rien d'autre à faire, alors j'ai enfilé un short, pris mes crampons de foot et un vieux T-shirt. »

Un coach l'accueille avec enthousiasme :
« - T'es costaud toi, allez viens jouer ! 
- Je ne connais pas les règles m'sieur. 
- C'est pas dur : dès que t'as le ballon, tu fonces vers la ligne. »

Hounkpatin se marre quand il raconte cette histoire. « Je n'y comprenais rien, fallait aller vers l'avant mais faire des passes en arrière, punaise ! » Dès le premier ballon qu'il reçoit, il se met en mode Forrest Gump. Boum ! Le gros balèze qui lui arrive dessus tombe sur le cul. Il stoppe sa course, pose son ballon à terre pour aider sa victime à se relever. « J'suis désolé, excuse-moi ! » « Mais non, mais non ! C'est bien. Par contre, lâche pas le ballon comme ça ! » Hounkpatin s'inscrira au RC Nîmes à la fin de l'été. « Au retour des vacances, j'étais monstrueux : proche des 140 kg. Un mélange de muscu et de malbouffe. J'avais du mal à courir, deux tours de terrain et j'étais occis. » Mais il prend goût au rugby, à l'ambiance bande de potes. Solide porteur de ballon, mais inexpérimenté en mêlée. « Dès mon premier match face à Montpellier, je me suis fait remuer. J'ai pas aimé, j'ai relevé la mêlée. Bagarre. J'ai pris un carton. »

En 2012, il rejoindra le centre de formation de Montpellier. Il ne s'épanouit pas dans l'Hérault, alors, la saison suivante, il part jouer à Narbonne. Bof. Il veut arrêter le rugby. S'engager dans la gendarmerie pour de bon. Il doute.

« Si je l'avais mis à la même enseigne que les autres, je l'aurais perdu »

Richard Hill, ancien entraîneur de Rouen

 

 

 

Un copain, Fabien Vincent, lui parle du club de rugby de Rouen. Allez ! Vincent vient le chercher à Nîmes avec la camionnette du club. Ils y entassent un lit, une télé, trois babioles et mettent le cap sur la Normandie comme s'ils roulaient vers la Californie. À Rouen, c'est vrai, Hounkpatin a trouvé le soleil : une fraternité d'équipe, un esprit famille. Il y retrouve le pilier gauche montpelliérain contre lequel il s'était chauffé lors de sa première mêlée. « Bastien Le Picaut, un Breton, un mec bonnard. » Ils pousseront deux ans ensemble dans la première ligne du Rouen Normandie.

 

Le pilier droit dans son exercice favori : porter le ballon pour faire mal à l'adversaire, ici face au Stade Français. (P. Lahalle/L'Équipe)

Hounkpatin va surtout trouver un père spirituel à Rouen : Richard Hill. Un ancien demi de mêlée du quinze de la Rose, finaliste de la Coupe du monde en 1991. Cet Anglais a été l'artisan de la remontée de Rouen de la Fédérale en Pro D2. Un bâtisseur et plus encore : il a aussi repéré Gabin Villière, devenu ailier international. « Richard a vu en moi plus qu'un mec costaud, confie Hounkpatin. Il ne m'a pas lâché. » Pas simple. « Wilfrid était brut de décoffrage. Il me fallait le manager avec plus de souplesse », raconte Hill. Tant pis pour les règles collectives. « Si je l'avais mis à la même enseigne que les autres, je l'aurais perdu. » Hounkpatin est un épidermique viscéral. « Il avait du mal à contrôler sa colère. Une plaisanterie, même pas méchante, pouvait prendre de grandes proportions. Il s'est battu à l'entraînement. Je n'aurais jamais accepté ce comportement d'un autre joueur. Pour lui, si. »

Hill le prend sous son aile. Avec son épouse, ils l'emmènent en Angleterre, à Bristol, Bath et Gloucester. « Mon épouse était impressionnée, Wilfrid aidait aux tâches ménagères, il était attentionné et sensible. » Rassuré, valorisé, le jeune homme redouble d'efforts à l'entraînement. « Sa condition physique était minable. Lors des tests athlétiques, les autres piliers repoussaient leurs limites jusqu'à s'effondrer ou vomir. Wilfrid capitulait vite. Ils ne comprenaient pas que je l'aligne sur mes feuilles de match. Mais une fois que le travail de Wilfrid a payé, il est devenu une pièce majeure de l'équipe. Il tenait la mêlée, faisait des dégâts, portant le ballon comme personne. Rapide, puissant. » Mais il était cuit au bout de 30 minutes de jeu.

« T'es un peu un gitan, toi, j'aime ton parcours atypique. T'es costaud, rapide. T'avances avec trois mecs sur ton dos. Mais ça va être très dur »

Christophe Urios, ex-entraîneur de Castres, à Wilfrid Hounkpatin

 

 

 

Christophe Urios, alors manager du Castres Olympique, entend parler de ce pilier explosif. Il visionne des vidéos, rencontre le joueur. Puis incite Pierre-Yves Revol, son président, à le recruter. « Le discours cash d'Urios m'a plu, reconnaît Hounkpatin. Droit dans les yeux, il m'a dit : "T'es un peu un gitan toi, j'aime ton parcours atypique. T'es costaud, rapide. T'avances avec trois mecs sur ton dos. Mais ça va être très dur. Tu ne vas peut-être pas jouer. Si tu t'en donnes les moyens, on pourra arriver à quelque chose." » Hounkpatin a 26 ans. En Fédérale, il attendait qu'on lui file le ballon pour foncer. À Castres, il découvre le rythme du Top 14. « Wilfrid s'est dépouillé, se souvient Urios. Il est reparti de zéro, a bouffé du cardio. »

lire aussiHounkpatin, un OVNI de l'ovalie (décembre 2019)

À l'été 2020, Pierre-Henry Broncan succède à Urios aux commandes du CO. « Wilfrid est passé de la marche à pied à l'équipe de France, balance Broncan, avec ce ton d'ancien demi de mêlée content de mettre une boîte à son pilier. Il n'y a pas de hasard, il a bossé. L'explosivité et la vitesse, il les a toujours eues. Mais il avait du mal à enchaîner les tâches. » Dès juillet 2020, Broncan a assuré à Hounkpatin qu'il pouvait prétendre aux Bleus. « Wilfrid ne me connaissait pas, il a dû se dire : il est fou lui. Il n'y croyait pas trop. Aujourd'hui, s'il n'est pas sélectionné, il est déçu. » À Castres, il a appris à raffiner l'essence de sa colère en combativité. A trouvé sa pleine mesure, inscrit quatre essais. Avec sa compagne, Justine, il est devenu père d'Adam et Isaiah, a trouvé ses repères et vient même de resigner pour quatre ans au CO.

Début janvier, après une victoire au couteau de Castres contre La Rochelle (31-30), spontané et plein de vie, il avait récupéré une grosse caisse auprès des supporters. Et s'était mis à battre le tempo face aux tribunes en liesse. On aurait dit son père dans la fanfare de la Légion étrangère. « J'essaie de garder le lien avec lui, confie Hounkpatin. Mais il y a tant de trucs en suspens, des choses qu'on ne s'est pas dites. Petit, j'avais peur de lui parler. »

« Je partais tout le temps. Les dégagements, les missions... Je pensais Légion-Légion. J'ai tout donné là, perdu le reste. Je le regrette »

Gaston Hounkpatin, père de Wilfrid

 

 

 

Le paternel n'est pas simple à joindre. Après de multiples sollicitations, il finira par répondre. Gaston Hounkpatin avoue qu'il a vu son fils à la télévision pendant la Marseillaise. Il était 20 heures à Melbourne, midi en région parisienne, où il est désormais installé. « Voir mon fils jouer pour la France a été une fierté incommensurable », assure l'ex sergent-chef. Ancien instructeur commando, il concède avec ses mots : « La source m'est montée à l'oeil. » Wilfrid Hounkpatin l'ignore, mais son père ne rate jamais un de ses matches.

Et avoue bien des regrets aussi. « Si c'était à refaire, je serais un papa plus présent. Je partais tout le temps. Je pensais Légion-Légion. J'ai tout donné là, perdu le reste. Je le regrette. Françoise était une femme bien. Je n'ai pas su gérer. C'est le côté sombre de ma vie. Une grande cicatrice. Hélas ! le temps n'attend personne. En tout cas, nos ancêtres, quelque part dans leur tombe, doivent être fiers que Wilfrid honore ainsi le nom des Hounkpatin. »

Un dynastie qui vient de loin

L'arrière grand-père de Wilfrid, Djedjelaye Hounkpatin, était administrateur civil au Dahomey, l'ancien nom du Bénin, petit pays d'Afrique de l'ouest. « C'était un colosse qui mesurait 2,14 m et chaussait du 59, raconte Gaston Hounkpatin. Il avait dix-sept épouses et près d'une centaine d'enfants. Un patriarche. Nous sommes les descendants d'une grande lignée royale, les Igbo originaires du Nigéria. Au Bénin, un cousin Hounkpatin (Benjamin) est ministre de la Santé. »

[Gourine63]

« T'es un peu un gitan, toi, j'aime ton parcours atypique. T'es costaud, rapide. T'avances avec trois mecs sur ton dos. Mais ça va être très dur »... Je vois pas le rapport mais bon... ça revient un peu au "les îliens sont agiles à force de marcher sur les coquillages pieds nus" cher à Villepreux.

Sinon interview sympa, un mec qui a vécu à Nîmes, qui aime un peu trop la bouffe et qui a de larges épaules ne peut pas être mauvais.

[jm12]

Tiens , pour mettre un peu de piment  si tant est que ce soit nécessaire...le forum du CO prévoit une victoire avec BO de leurs favoris sur des scores sans appel...

 

37-22...27-19....38-17....36-18...avec une armada ultra prête et un moment d'émotion ,l'hommage à Rodrigo Capo Ortega....

 

Faut dire que les stats et nos lignes arrières décimées vont dans ce sens....3 faméliques victoires de l 'A S M à P/A  Fabre....en 47 rencontres....

 

 

[Rugby ?]

« T'es un peu un gitan, toi, j'aime ton parcours atypique. T'es costaud, rapide. T'avances avec trois mecs sur ton dos. Mais ça va être très dur »... Je vois pas le rapport mais bon... ça revient un peu au "les îliens sont agiles à force de marcher sur les coquillages pieds nus" cher à Villepreux.

Sinon interview sympa, un mec qui a vécu à Nîmes, qui aime un peu trop la bouffe et qui a de larges épaules ne peut pas être mauvais.

"Nous sommes deux drôles

Aux larges épaules"         VH