318 réponses à ce sujet

[pims]

attention quand même, si on fait trop tourner contre le ST ça va être une boucherie pour les jeunes

[Lima]

attention quand même, si on fait trop tourner contre le ST ça va être une boucherie pour les jeunes

Je suis d'accord.

 

Jamais compris le mythe de "l'apprentissage" pour les jeunes d'aller se faire foudroyer chez un gros du championnat. Incorporé les jeunes oui, mais avec une rotation de haut niveau à côté (Vahaamahina, VTD, Tiberghien etc...).

[Fanchic]

On est a poil a droite mais un arbitre ne prendra pas le risque de trop hacher le jeu en sanctionnant notre jeune
Ils ne le font pas avec Castres et leur water polo dans les rucks par exemple

[el landeno]

L'arrière de Lyon, Davit Niniashvili, nouvelle star du Top 14 Inconnu il y a un an, le jeune arrière géorgien de 20 ans, Davit Niniashvili, a tout explosé avec son talent, son culot et sa fraîcheur au point de devenir incontournable au LOU. Attention, phénomène !

Ça devait arriver. Après un an de vie commune, les inséparables ont fini par se séparer. Ça les fait rire tous les deux. Davit Niniashvili s'émancipe. Sa copine est arrivée à Lyon et le couple partage un appart. Tant pis pour le coloc. Mais Beka Saghinadze ne sera jamais très loin.

 

 

 

Ils n'ont que quatre ans d'écart, pas plus de quatre centimètres de taille, mais à les voir ensemble on ne peut s'empêcher de sourire à la complicité quasi fraternelle qui unit le grand au petit, l'homme au gamin. « Beka a été une chance pour Davit à son arrivée. Tout a été beaucoup plus facile pour lui », estime Kendryck Lynn, l'entraîneur des arrières lyonnais.

Les deux se connaissaient de la sélection géorgienne et leurs arrivées simultanées tombaient à point. Celle du troisième-ligne en provenance d'Aurillac était actée, pas celle de son jeune compatriote.

« Un cadeau venu de nulle part », reconnaît le président, Yann Roubert. Venu de Khvamly plus précisément, un club de Tbilissi où Davit Niniashvili a découvert le rugby à 8 ans. « Petit, j'ai essayé un peu tous les sports, le foot, le basket, la lutte, le judo... Mon père avait fait de la lutte, personne ne jouait au rugby dans la famille, mais j'ai choisi ce sport parce que j'y retrouvais tout ce que j'aimais dans tous les autres. »

 

 

lire aussiLe calendrier et les résultats du Top 14

Une somme où s'épanouissent vite ses qualités naturelles de vitesse, de puissance et d'adresse au point de connaître sa première cape à 18 ans face à l'Irlande en Coupe d'automne des nations en novembre 2020.

Mais Davit rêve d'ailleurs. « À 14-15 ans, je me suis mis à regarder beaucoup de matches, de Super-Rugby, de Top 14. Je voulais venir en France. Je rêvais de gagner le Top 14 et j'en rêve toujours. Je voyais Mamuka Gorgodze (MHR, Toulon), Davit Zirakashsvili (Clermont), Chabal, Dan Carter... Je voulais aller là-bas. Avec mon agent, on a envoyé des vidéos à des clubs de Top 14, à Pau, à Toulon, à Lyon », explique-t-il dans un français encore hésitant.

Mais quand les mots peinent à sortir, Beka est là pour la traduction. Toujours là, Beka. Un premier contact avait été noué avec le RCT, mais l'affaire a traîné et le LOU a conclu la bonne affaire. « Je venais pour jouer en Espoirs, finir ma formation en espérant quelques feuilles de matches. »

Il disputera onze matches dont huit comme titulaires en Championnat, six en Challenge cup chaque fois dans le quinze de départ, y compris lors de la finale. Cette saison, il est le seul Lyonnais à avoir enchaîné toutes les rencontres comme titulaires, à l'aile ou arrière face au Stade Français.

Tout est allé si vite. À peine arrivé, il bascule avec les pros. « J'ai fait l'avant-saison avec les Espoirs, disputé une mi-temps en amical contre une Fédérale 1, mais j'ai vite rejoint les pros. C'était incroyable. J'étais à côté de ceux que je voyais à la télé, avec les stars. Cretin, Tuisova, Couilloud, Bamba, Tao, Lambey, etc. Je les connaissais tous ! »

Un entraînement avec les pros. Juste pour voir. Et ils ont vu. « À la fin de la séance, le staff, les joueurs, beaucoup sont venus me voir pour me demander, qui c'est ce gars ! », se marre Saghinadze.

« Davit est important car il ouvre une porte pour les jeunes (Géorgiens) qui voudraient évoluer à l'arrière. Ils voient que c'est possible, qu'il n'y a pas que les hommes forts qui peuvent s'imposer à l'étranger »

Beka Saghinadze, troisième-ligne du LOU.

 

 

 

Pierre Mignoni ne lui dit pas grand-chose, mais n'en pense pas moins. « Je parlais peu avec Pierre, beaucoup avec Kenny (Lynn), c'est mon professeur. Mais Pierre m'a fait confiance, m'a fait jouer ».

Mignoni connaît trop le rugby pour ne pas déceler un joueur hors norme : « Il n'a pas peur, n'a pas de retenue sur les réceptions, dans les duels. Et en plus de ses aptitudes, c'est quelqu'un qui sent les choses. On voyait le potentiel mais de là à s'affirmer comme il l'a fait ! En plus de ça, c'est un garçon pas réservé, ouvert, avec beaucoup d'humour. Il ne se pose pas de question, son plaisir c'est de jouer. »

Le désormais manager de Toulon ne va pas le brider. « Pierre me donnait beaucoup de liberté. J'ai besoin de ça. Dès que j'ai un petit espace, j'attaque et Pierre me disait d'y aller. C'est la même chose avec Garbajosa ». Même si ses prises de risques et les ballons perdus peuvent donner des sueurs froides au nouveau manager lyonnais. « Après le match à Brive, il m'a juste rappelé le nombre de ballons perdus. Trop. Je dois gommer ça. »

Les risques font partie de son jeu. Pierre Mignoni le savait : « C'est un jeune joueur, qui ose, qui tente, qui ne gère pas toujours comme il faut les temps du match mais si on n'est pas comme ça à 20 ans... » Pour Kendryck Lynn, « il est actuellement le meilleur joueur des moins de 20 ans du monde ». Un diamant à polir, une aubaine pour Lyon, qui a sécurisé son contrat jusqu'en 2025.

C'est en fait tout le club qui a adopté celui dont les modèles sur le terrain sont l'Australien Israel Folau et Merab Kvirikashvili. Les supporters, eux, ont fait du roi des offloads (il en a réalisé 13 depuis le début de saison, loin devant tous les autres) un des chouchous de Gerland.

Ça amuse beaucoup Beka Saghinadze mimant le fan transi : « Davit ! Davit ! C'est la nouvelle star ! » Nini comme on le surnomme. « C'est le prénom de ma soeur, c'est devenu son surnom et ça l'agace », se marre-t-il.

En Géorgie, sa prestation face à l'Italie en juillet n'est pas passée inaperçue. « La victoire (28-19, le 10 juillet, une première de la Géorgie sur une équipe du Tier 1) était historique pour les Lelos, Il avait été énorme, s'emballe Saghinadze. Davit est important, car il ouvre une porte pour les jeunes (Géorgiens) qui voudraient évoluer à l'arrière. Ils voient que c'est possible, qu'il n'y a pas que les hommes forts qui peuvent s'imposer à l'étranger. »

Pic de ce nouveau statut et de sa notoriété, sa sélection avec les Barbarians en juin dernier. « Ça aussi, c'était énorme ! », poursuit Saghinadze. Niniashvili, lui, n'y croyait pas. « Quand mon agent me l'a dit, j'ai cru que c'était une blague ! »Pas plus que le score infligé à l'Angleterre, 52-21, par la sélection de joueurs du Top 14 entraînée par Fabien Galthié avec un Niniashvili à la hauteur de l'événement.

« C'est ça qui est incroyable avec lui, insiste Saghinadze, quel que soit le match, Il est tranquille, il ne se monte pas la tête par l'enjeu, il joue sans pression, tout schuss ! » Pour sa première en 15 face au Stade Français, pas de stress : un essai d'entrée, un second pour assurer le gain du match et entre deux une pénalité de 53 mètres.

L'intéressé nuance : « Avant mon premier match de Top14 contre Perpignan, j'avais été nerveux durant la semaine, je dormais mal. Et le jour du match, plus rien, plus de stress. Pareil pour la finale de Challenge européen face à Toulon (victoire 30-12).C'est naturel, je ne me force pas. La seule chose qui compte, c'est que je vais jouer. »

Kendryck Lynn sourit : « Pour lui, tout cela n'est que du rugby, rien de plus, rien de moins. Davit n'a pas eu une enfance TikTok ou Insta. C'était plus difficile. Ça vous apprend la résilience. »

Il a grandi dans un quartier difficile de Tbilissi avec sa mère et sa soeur, sans son père parti fonder une autre famille. De quoi relativiser hauts et bas d'une carrière tout juste naissante. « Je ne fais que commencer, l'important est à venir. j'aime le ballon, le cueillir en l'air, le porter, fixer, décaler. » Seul compte le plaisir à le faire vivre.

[medoc1836]

Article 15 Mondial : ASM/LOU

Pour cette rencontre, l'entraineur des "Jaunards", Jono Gibbes, pourra compter sur des retours importants dans ses rangs. Le Rugby Championship étant arrivé à son terme, les deux internationaux Argentins Tomas Lavanini et Bautista Delguy sont de nouveaux à disposition du club Auvergnat. Sébastien Vahaamahina, trop juste lors de la précédente journée, devrait être apte. Tout comme Samuel Ezeala, Jaco Van Tonder ou encore Cheick Tiberghien. Quant au troisième ligne Fritz Lee, touché aux côtes contre les Maritimes, il est incertain pour cette rencontre. 

[Corse63]

On parle bcp du match contre le ST, une étape à la fois, là on reçoit Lyon et faut gagner, tourner pour tourner je suis pas sûr, surtout si on change en même temps les deux piliers, un peu de continuité avec une équipe qui est en progression et dans le positif me semble important

[casquette]

Article 15 Mondial : ASM/LOU
Pour cette rencontre, l'entraineur des "Jaunards", Jono Gibbes, pourra compter sur des retours importants dans ses rangs. Le Rugby Championship étant arrivé à son terme, les deux internationaux Argentins Tomas Lavanini et Bautista Delguy sont de nouveaux à disposition du club Auvergnat. Sébastien Vahaamahina, trop juste lors de la précédente journée, devrait être apte. Tout comme Samuel Ezeala, Jaco Van Tonder ou encore Cheick Tiberghien. Quant au troisième ligne Fritz Lee, touché aux côtes contre les Maritimes, il est incertain pour cette rencontre. 

bref un résumé du site of ASM

[Corse63]

bref un résumé du site of ASM

 

Ca fait du bien de pourvoir rentrer du matériel, on verra comment Jono va gérer cela, sûr que dans le forum on saurait comment faire, mais c'est ballot il nous écoute pas Jono

[sly86]

Je n'ai jamais dit que la rotation ne devait pas avoir lieu pour des raisons de qualité de joueurs.

 

On sort d'un match plein de bout en bout, on est qu'à la 5ème journée ce week-end, et notre groupe a besoin de continuité dans la performance. Donc personnellement, je ne changerai rien ou presque (blessures et choix par défaut). Surtout quand on voit l'importance du banc.

 

Le Stade toulousain est dans la continuité depuis plusieurs saisons, ils peuvent faire tourner. Nous non, et pour le moment on ne sait pas si on a de la marge, donc je pense qu'il faut capitaliser. Sauf si mecs rincés, évidemment, mais ça tu le soulignes, on ne peut pas le savoir.

Tu répond pas à ma question: pourquoi serait on moins bon en  tournant? Surtout devant ou les joueurs sont de niveau homogène.

et faut arrêter de croire que les joueurs sont toujours sur un plan physique de durée ou il fatigue en fin de saison, là il sont passer en énergétique à chaque rencontre et sa se gère différemment , avec des repos plus court et plus fréquent….

[modeste]

Ezeala en sera

[Bad Zé]

On parle bcp du match contre le ST, une étape à la fois, là on reçoit Lyon et faut gagner, tourner pour tourner je suis pas sûr, surtout si on change en même temps les deux piliers, un peu de continuité avec une équipe qui est en progression et dans le positif me semble important

En parlant de tourner pour tourner, l'important pour le staff est de jauger si les mêmes joueurs sont susceptibles de réitérer la même perf et si d'autres joueurs sont susceptibles d'être aussi performants. Le tout bien sûr dans une optique de gestion à long terme de l'effectif, avec l'épée de Damocles de blessures dûes à l'usure.
A mon sens on peut se permettre de tourner sur certains postes, pas sur d'autres :
En pilier droit, Oyovan doit faire le match de Lyon. Le jeune géorgien n'est pas assez fiable en mêlée. Faut attendre le match de Toulouse avec sans doute Lavanini au cul pour le mettre titulaire
En talonneur, ça doit être possible de changer. D' autant que Bere vient d'enquiller 3 titus et que les rentrées de Pélissier sont OK.
En pilier gauche, l'homogénéité fait que normalement la rotation s'impose naturellement
En 2eme ligne, on va avoir du renfort de poid. Autant en profiter.
En 3eme ligne, Ituria indispensable sur ce match amha. Pour le reste on a le matos pour tourner d'autant qu'on est obligé de le faire en 8.
En 9, Bezy idem Ituria
En 10 ça pourrait tourner, mais je serais partisan de remettre Plisson.
Les 3/4, je mettrais Moala et Tiber si dispos.

[Rugby ?]

Je n'ai jamais dit que la rotation ne devait pas avoir lieu pour des raisons de qualité de joueurs.

 

On sort d'un match plein de bout en bout, on est qu'à la 5ème journée ce week-end, et notre groupe a besoin de continuité dans la performance. Donc personnellement, je ne changerai rien ou presque (blessures et choix par défaut). Surtout quand on voit l'importance du banc.

 

Le Stade toulousain est dans la continuité depuis plusieurs saisons, ils peuvent faire tourner. Nous non, et pour le moment on ne sait pas si on a de la marge, donc je pense qu'il faut capitaliser. Sauf si mecs rincés, évidemment, mais ça tu le soulignes, on ne peut pas le savoir.

Je comprends tout à fait ton point de vue, il est rationnel.

Mais je pense aussi, que si on fait tourner, les nouveaux entrants voir vouloir se montrer, Ils vont mettre la même rage de vaincre que les gars du dernier match.

En fait 2 points de vue différents: Soit conformer l'équipe, soit impliquer tout le collectif.

Jono, je ne veux pas ta place !

[Very Good Eshvili]

En parlant de tourner pour tourner, l'important pour le staff est de jauger si les mêmes joueurs sont susceptibles de réitérer la même perf et si d'autres joueurs sont susceptibles d'être aussi performants. Le tout bien sûr dans une optique de gestion à long terme de l'effectif, avec l'épée de Damocles de blessures dûes à l'usure.
A mon sens on peut se permettre de tourner sur certains postes, pas sur d'autres :
En pilier droit, Oyovan doit faire le match de Lyon. Le jeune géorgien n'est pas assez fiable en mêlée. Faut attendre le match de Toulouse avec sans doute Lavanini au cul pour le mettre titulaire
En talonneur, ça doit être possible de changer. D' autant que Bere vient d'enquiller 3 titus et que les rentrées de Pélissier sont OK.
En pilier gauche, l'homogénéité fait que normalement la rotation s'impose naturellement
En 2eme ligne, on va avoir du renfort de poid. Autant en profiter.
En 3eme ligne, Ituria indispensable sur ce match amha. Pour le reste on a le matos pour tourner d'autant qu'on est obligé de le faire en 8.
En 9, Bezy idem Ituria
En 10 ça pourrait tourner, mais je serais partisan de remettre Plisson.
Les 3/4, je mettrais Moala et Tiber si dispos.

Bad Zé met Moala

[Bad Zé]

Bad Zé met Moala

Oui mais patience, j'en ai 23 à mettre.

[Lima]

Tu répond pas à ma question: pourquoi serait on moins bon en  tournant? Surtout devant ou les joueurs sont de niveau homogène.

et faut arrêter de croire que les joueurs sont toujours sur un plan physique de durée ou il fatigue en fin de saison, là il sont passer en énergétique à chaque rencontre et sa se gère différemment , avec des repos plus court et plus fréquent….

 

Je comprends tout à fait ton point de vue, il est rationnel.

Mais je pense aussi, que si on fait tourner, les nouveaux entrants voir vouloir se montrer, Ils vont mettre la même rage de vaincre que les gars du dernier match.

En fait 2 points de vue différents: Soit conformer l'équipe, soit impliquer tout le collectif.

Jono, je ne veux pas ta place !

 

Rien n'indique qu'on serait moins bon. Je parle simplement de continuité : je pense que c'est une bonne chose que les mecs qui ont joué et bien joué dimanche puissent enchainer pour capitaliser la dessus, engranger de la confiance et de l'expérience collective. Sauf, évidemment, si certains sont cuits.

 

Faire rentrer les retours importants assez tôt dans le match me parait aussi être une option intéressante, surtout quand on voit la qualité des mecs. On peut aussi considérer que cela pourrait permettre de ne pas envoyer une équipe au feu à Toulouse, mais compétitive, avec un premier tour de chauffe de 30/35 minutes pour certains contre Lyon.

 

Bref, c'est juste un point de vue de ma part.