Il cause bien le Dridri quand même.
Ça m'arrive des fois
Bon en revanche je suis désolé, on a définitevement perdu RCV avec mon message
Posté 03 octobre 2024 - 12:01
Ça s'épuise pas puisqu'on est toujours au taquet du SC et qu'on ne prend pas de joker médicaux
ça devrait quand même finir par s'épuiser ça non ? sur les joeurs moyens cher payés il resterait qui ( même si on a pas les feuilles de paye donc difficile à deviner) ... Urda et Belleau ça sera fini la saison prochaine.
Posté 03 octobre 2024 - 13:03
Pas tout à fait d'accord concernant le ST. Ils ont leur base, très très solide, garantie par le fait que le boss est issu de sérail mais ils intègrent des éléments extérieurs. Quand Kaino intègre le staff pour s'occuper des skills des pro et des espoirs, ce n'est pas pour autre chose que d'apporter ce qu'il a connu et vu chez les NZ. C'est exactement ce que tu dis dans ta seconde phrase. Lorsque je parle d'aller chercher des mecs ailleurs, ce n'est pas nécessairement faire venir des mecs qui n'ont jamais connu l'ASM (à part dans des éléments très spécifiques comme la préparation physique et l'arrivée de Giacobbi cette année par exemple), mais c'est ne pas s'appuyer que sur des joueurs du sérail qui n'ont connu QUE l'ASM. Ce côté consanguin n'est pas bon. Hines est un parfait exemple de ce qu'il faut essayer de faire : garder des mecs de très haut niveau, qui connaissent le club mais qui ont connu autre chose.
Je pense qu'on dit la même chose
Justement quand tu cites Kaino c'est exactement à ca que je pense. Des mecs qui sont passés par chez nous mais qui ont connu l'excellence ailleurs. C'est en pensant à Kaino que je me disais par exemple qu'un profil à la Hines nous ferait du bien. Sur le papier, car je ne sais pas s'il coach toujours aujourd'hui après avoir rejoint Cotter au MHR et en Ecosse.
Mais un mec qui connait la culture et le moule ASM, mais qui a connu des grandes saisons au Leinster en sachant ce qu'il faut pour atteindre l'excellence d'un champion d'europe, et en équipe nationale. Le bon mix des deux.
Posté 03 octobre 2024 - 13:18
Le chiffre d'affaire est de 35M
La masse salariale joueur est de 11.5
A quoi ça servirait de faire l'économie de 1M sur les joueurs si c'est pour perdre 3M sur les recettes car les gens viendront moins au stade à cause des résultats, du jeu, ou du manque d'ambition. Sans parler du désengagement des partenaires
Il y a d'autres postes de dépense à optimiser
Et d'autres postes de rentrées d'argent à faire pour équilibrer avant de tailler dans l'effectif
Moi perso je maintiens qu'on paye toujours très cher des joueurs moyens
c'est pour cela qu'ils viennent à Clermont ,c'est pour la plage et le soleil et la douceur de vivre ...
On a gardé Urda, on lâche Fainga....
Ça me suffit pour envoyer sa lettre de licenciement à Urios
on lâche Fainga ?notre pépite, on est complément en déconstruction ,Audiard disait c'est même a cela....
Posté 03 octobre 2024 - 13:23
Bon, généralement, je n'ai pas le temps d'un retraité, mais ce matin, je prends le temps de te répondre correctement, profites-en
Je ne t'apprends rien en disant qu'on prend souvent des décisions qui s'avèrent être des erreurs, et qu'on les prend à travers des biais cognitifs. Pour éviter cela, on apprend, que ce soit en école, en formation de management, en conférence, en discutant avec des professionnels ou simplement en s'intéressant au sujet, à éliminer autant que possible ces biais. Il est également important de prendre du recul afin d'être plus objectif sur la situation et de ne pas baser ses décisions sur des impressions, mais sur des faits.
Je te conseille, sur ce sujet, les livres d'Olivier Sibony, ancien de chez McKinsey (oui oui, je sais, mais ils font aussi de bonnes choses), aujourd'hui professeur en école, notamment à HEC. Très sympa et ouvert au dialogue au demeurant.
Revenons au vif du sujet. Une personne comme Pats, pas le président qui connaît le mieux le rugby, mais un grand dirigeant d'une grande entreprise, qui plus est DRH, se doit de prendre du recul, de baser sa décision sur des faits, et non simplement sur la "confiance" ou la bonne bouille de son interlocuteur (sans parler de l'utilisation de toutes les matrices mises en avant par les études). Précisons que ces études et matrices concernant le recrutement datent d'environ 40 ans et continuent d'être vérifiées aujourd'hui, sans pour autant être la norme dans les PME et ETI, mais elles le sont dans les grandes entreprises faisant appel à des cabinets comme McKinsey (du moins pour les postes à haut niveau de responsabilité).
Ce que disent ces études, c'est que recruter sur la base de la confiance sans indicateurs quantifiables est une erreur. La "confiance" et les "relations humaines" ne sont pas quantifiables. Bien sûr, le fit culturel et relationnel est important, mais il doit être secondaire dans ce genre de décision stratégique. Dans ce que tu as détaillé de ce que représente pour toi la confiance :
- Compétences communes : C'est quantifiable. Pats doit donc se poser la question : quelles sont les compétences que doit avoir mon entraîneur principal ? Et non pas quelles sont celles que j'apprécie chez Urios.
- Discours commun : Plus difficile à quantifier. La communication est adaptable. Si un entraîneur est recruté, il adaptera son discours à celui du président. Cela relève soit des compétences (facilité à communiquer avec les médias, les supporters), soit de la catégorie suivante.
- Vision commune : Quantifiable. Il faut savoir ce que l'on veut, mais aussi quelles concessions on est prêt à faire sur cette vision.
- Congruence : Totalement quantifiable.
- Affinité : L'ennemi du recrutement d'après ces études. Le biais le plus important qui peut effacer tous les éléments quantifiables précédemment cités.
- Soutien : Trop vague pour dire si c'est quantifiable ou non. J'aurais tendance à dire non, mais je peux me tromper.
Si les deux parties se font confiance sur la base de bons indicateurs, cela pourra avoir un effet positif sur toutes les parties prenantes. Sinon…
Concernant le travail accompli par Urios depuis qu'il est là : il a su "faire le ménage", écarter les éléments réfractaires au changement, rapprocher les espoirs du groupe pro. Ceci est quantifiable à l'instant T et c'est, je pense, réussi.
Pour savoir s'il a réussi à avoir un staff médical plus adapté, structuré un groupe de recrutement, c'est quantifiable, mais il faudra du temps pour juger si c'est bien fait ou non. Il a fait les changements qu'il jugeait nécessaires, mais il est encore trop tôt pour dire s'ils sont réussis ou non.
Le constat ici est qu'Urios a réussi les missions qui lui ont été confiées jusqu'à présent. Mais réussir des missions ne signifie pas nécessairement qu'il réussira les suivantes. Et c'est là que la "confiance", si elle n'est pas basée sur des indicateurs de ce que l'on attend pour l'avenir, mais seulement sur des éléments du passé et des sentiments, peut être dangereuse. Je ne dis pas qu'il faut occulter le passé, mais qu'il faut savoir l'analyser de manière factuelle.
D'après moi, la question de la prolongation d'Urios ou non ne devrait donc pas être "est-ce que j'aime Urios ou non", "a-t-il réussi jusqu'à présent ou non", "fait-il mieux que Gibbes ou non", mais plutôt de constituer le portrait-robot de l'entraîneur parfait pour les étapes futures du projet "marcher de nouveau sur la lune". À partir de ce portrait-robot, défini à partir d'éléments quantifiables, Pats devrait regarder dans quelle mesure Urios correspond à ce profil. Si Urios est dans ce que Pats considère comme acceptable, il sera prolongé, sinon non.
En d'autres termes, mon sentiment, mais cela n'engage que moi, est qu'au-delà de savoir si Urios a été l'homme de la situation jusqu'à présent (je pense personnellement que ce fut le cas), Pats, en tant que DRH d'une multinationale et président du club va se demander si Urios est l'homme de la situation pour la suite. Et ça, seul lui peut le savoir, puisque seul lui, en tant que président, sait ce qu'il veut pour l'avenir. Avoir posé les fondations (ce qu'Urios a très bien fait) n'implique pas automatiquement que l'on doive poursuivre avec lui.
Ici, avec mes messages, je ne dis pas qu'il faut ou non prolonger Urios, PERSONNE ici n'a suffisamment d'éléments pour être affirmatif sur le sujet. En revanche, nous partageons nos sentiments, nos impressions, notre passion, notre tristesse de voir notre club dans cet état. Et à travers tous mes messages, je dis que je n'aime pas la personnalité d'Urios, le jeu qu'il "développe" et ce qu'il fait du club. Mais si je devais réfléchir à une prolongation, je prendrais plus de recul en utilisant la méthode que je viens de détailler. En faisant cet exercice rapidement par rapport à ce que je voudrais pour l'avenir, je ne le prolongerais pas. Mais je ne suis pas président. C'est d'ailleurs ce qui m'inquiète pour l'avenir de ce club
Ho putain manquait plus que ça, on a un zebdomes 2.
Vous voulez vraiment m achever avec vos romans
Posté 03 octobre 2024 - 13:47
Bon, généralement, je n'ai pas le temps d'un retraité, mais ce matin, je prends le temps de te répondre correctement, profites-en
Je ne t'apprends rien en disant qu'on prend souvent des décisions qui s'avèrent être des erreurs, et qu'on les prend à travers des biais cognitifs. Pour éviter cela, on apprend, que ce soit en école, en formation de management, en conférence, en discutant avec des professionnels ou simplement en s'intéressant au sujet, à éliminer autant que possible ces biais. Il est également important de prendre du recul afin d'être plus objectif sur la situation et de ne pas baser ses décisions sur des impressions, mais sur des faits.
Je te conseille, sur ce sujet, les livres d'Olivier Sibony, ancien de chez McKinsey (oui oui, je sais, mais ils font aussi de bonnes choses), aujourd'hui professeur en école, notamment à HEC. Très sympa et ouvert au dialogue au demeurant.
Revenons au vif du sujet. Une personne comme Pats, pas le président qui connaît le mieux le rugby, mais un grand dirigeant d'une grande entreprise, qui plus est DRH, se doit de prendre du recul, de baser sa décision sur des faits, et non simplement sur la "confiance" ou la bonne bouille de son interlocuteur (sans parler de l'utilisation de toutes les matrices mises en avant par les études). Précisons que ces études et matrices concernant le recrutement datent d'environ 40 ans et continuent d'être vérifiées aujourd'hui, sans pour autant être la norme dans les PME et ETI, mais elles le sont dans les grandes entreprises faisant appel à des cabinets comme McKinsey (du moins pour les postes à haut niveau de responsabilité).
Ce que disent ces études, c'est que recruter sur la base de la confiance sans indicateurs quantifiables est une erreur. La "confiance" et les "relations humaines" ne sont pas quantifiables. Bien sûr, le fit culturel et relationnel est important, mais il doit être secondaire dans ce genre de décision stratégique. Dans ce que tu as détaillé de ce que représente pour toi la confiance :
- Compétences communes : C'est quantifiable. Pats doit donc se poser la question : quelles sont les compétences que doit avoir mon entraîneur principal ? Et non pas quelles sont celles que j'apprécie chez Urios.
- Discours commun : Plus difficile à quantifier. La communication est adaptable. Si un entraîneur est recruté, il adaptera son discours à celui du président. Cela relève soit des compétences (facilité à communiquer avec les médias, les supporters), soit de la catégorie suivante.
- Vision commune : Quantifiable. Il faut savoir ce que l'on veut, mais aussi quelles concessions on est prêt à faire sur cette vision.
- Congruence : Totalement quantifiable.
- Affinité : L'ennemi du recrutement d'après ces études. Le biais le plus important qui peut effacer tous les éléments quantifiables précédemment cités.
- Soutien : Trop vague pour dire si c'est quantifiable ou non. J'aurais tendance à dire non, mais je peux me tromper.
Si les deux parties se font confiance sur la base de bons indicateurs, cela pourra avoir un effet positif sur toutes les parties prenantes. Sinon…
Concernant le travail accompli par Urios depuis qu'il est là : il a su "faire le ménage", écarter les éléments réfractaires au changement, rapprocher les espoirs du groupe pro. Ceci est quantifiable à l'instant T et c'est, je pense, réussi.
Pour savoir s'il a réussi à avoir un staff médical plus adapté, structuré un groupe de recrutement, c'est quantifiable, mais il faudra du temps pour juger si c'est bien fait ou non. Il a fait les changements qu'il jugeait nécessaires, mais il est encore trop tôt pour dire s'ils sont réussis ou non.
Le constat ici est qu'Urios a réussi les missions qui lui ont été confiées jusqu'à présent. Mais réussir des missions ne signifie pas nécessairement qu'il réussira les suivantes. Et c'est là que la "confiance", si elle n'est pas basée sur des indicateurs de ce que l'on attend pour l'avenir, mais seulement sur des éléments du passé et des sentiments, peut être dangereuse. Je ne dis pas qu'il faut occulter le passé, mais qu'il faut savoir l'analyser de manière factuelle.
D'après moi, la question de la prolongation d'Urios ou non ne devrait donc pas être "est-ce que j'aime Urios ou non", "a-t-il réussi jusqu'à présent ou non", "fait-il mieux que Gibbes ou non", mais plutôt de constituer le portrait-robot de l'entraîneur parfait pour les étapes futures du projet "marcher de nouveau sur la lune". À partir de ce portrait-robot, défini à partir d'éléments quantifiables, Pats devrait regarder dans quelle mesure Urios correspond à ce profil. Si Urios est dans ce que Pats considère comme acceptable, il sera prolongé, sinon non.
En d'autres termes, mon sentiment, mais cela n'engage que moi, est qu'au-delà de savoir si Urios a été l'homme de la situation jusqu'à présent (je pense personnellement que ce fut le cas), Pats, en tant que DRH d'une multinationale et président du club va se demander si Urios est l'homme de la situation pour la suite. Et ça, seul lui peut le savoir, puisque seul lui, en tant que président, sait ce qu'il veut pour l'avenir. Avoir posé les fondations (ce qu'Urios a très bien fait) n'implique pas automatiquement que l'on doive poursuivre avec lui.
Ici, avec mes messages, je ne dis pas qu'il faut ou non prolonger Urios, PERSONNE ici n'a suffisamment d'éléments pour être affirmatif sur le sujet. En revanche, nous partageons nos sentiments, nos impressions, notre passion, notre tristesse de voir notre club dans cet état. Et à travers tous mes messages, je dis que je n'aime pas la personnalité d'Urios, le jeu qu'il "développe" et ce qu'il fait du club. Mais si je devais réfléchir à une prolongation, je prendrais plus de recul en utilisant la méthode que je viens de détailler. En faisant cet exercice rapidement par rapport à ce que je voudrais pour l'avenir, je ne le prolongerais pas. Mais je ne suis pas président. C'est d'ailleurs ce qui m'inquiète pour l'avenir de ce club
Voilà, quand tu parles comme ça, je dis oui. Totalement en phase avec toi.
Posté 03 octobre 2024 - 14:55
Débrouillez vous comme vous voulez avec Urios, mais même si nous terminons 6e à la fin de la saison, si cela passe par des branlées à l'extérieur, 2 ou 3 défaites à domicile et aucune identité de jeu, ça me fait ch... (suer) d'avance.
Voilà ma contribution au débat.
Posté 03 octobre 2024 - 15:05
Débrouillez vous comme vous voulez avec Urios, mais même si nous terminons 6e à la fin de la saison, si cela passe par des branlées à l'extérieur, 2 ou 3 défaites à domicile et aucune identité de jeu, ça me fait ch... (suer) d'avance.
Voilà ma contribution au débat.
Posté 03 octobre 2024 - 15:14
Voilà, quand tu parles comme ça, je dis oui. Totalement en phase avec toi.
Sur le fond ou sur la forme ?
Posté 03 octobre 2024 - 15:34
Sur le fond ou sur la forme ?
Les deux mon capitaine, les romans ne me dérangent pas tu le sais...
Posté 03 octobre 2024 - 15:39
Oui mais pensez un peu à RCV c'est trop long 😂😂😂Les deux mon capitaine, les romans ne me dérangent pas tu le sais...
Posté 03 octobre 2024 - 16:03
Il y aura un gros arbitrage à faire effectivement avec toutes les fins de contrat
PA
Parfois une annonce ou un arbitrage Faingaa / Latterade peut donner la tendance à ceux qui veulent prolonger et mettre la pression pour le nouveau contrat (attention on peut pas faire aussi haut car il faut du rab pour les "scoreurs")
L'exercice n'est en effet pas simple avec d'un coté les Fin de contrats et un choix à faire dessus ( on prolonge pas, on prolonge à salaire équivalent ou on prolonge à salaire supérieur) et de l'autre coté des besoins clairement identifiés ( 2 numéro 10 par exemple) ,les remplacements à faire (fin de contrat ou non prolongé) ....Le tout avec une enveloppe globale qui n'est pas extensible.
Ils pourraient quand même nous filer le classeur EXCEL avec tous les montants des contrats on pourrait s'amuser à faire des propositions
Posté 03 octobre 2024 - 16:07
https://x.com/Bouche...850947309355241
Pour ceux qui ne peuvent pas voir :
Salut Bastien (Chalureau) ça te dirait de rejoindre les bougn...
- JAMAIS !
- Les bougnats, les bougnats.
Posté 03 octobre 2024 - 16:14
Il cause bien le Dridri quand même.
Ah ben c'est plus argumenté que les vidéos du mec qui nous met une marmotte qui gueule sur chaque topic hein
Posté 03 octobre 2024 - 16:54
https://x.com/Bouche...850947309355241
Pour ceux qui ne peuvent pas voir :
Salut Bastien (Chalureau) ça te dirait de rejoindre les bougn...
- JAMAIS !
- Les bougnats, les bougnats.
On œuvre pour le territoire
Un pote à Brice.H
L'exercice n'est en effet pas simple avec d'un coté les Fin de contrats et un choix à faire dessus ( on prolonge pas, on prolonge à salaire équivalent ou on prolonge à salaire supérieur) et de l'autre coté des besoins clairement identifiés ( 2 numéro 10 par exemple) ,les remplacements à faire (fin de contrat ou non prolongé) ....Le tout avec une enveloppe globale qui n'est pas extensible.
Ils pourraient quand même nous filer le classeur EXCEL avec tous les montants des contrats on pourrait s'amuser à faire des propositions
Je l'ai récupéré lors d'une soirée supporters...
Mais c'est dur à lire...
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