
PRO D2 SAISON 2023/2024
#1171
Posté 07 juin 2024 - 17:16
Y'a presque de quoi ne pas être ridicule en D2.
1. Xavier Chiocci (34 ans, Perpignan)
2. Jérémie Maurouard (31 ans, Rouen)
3. Cedate Gomes Sa (30 ans, Racing 92)
4. Steve Mafi (34 ans, Oyonnax)
5. Piula Faasalele (36 ans, Toulouse)
6. Martin Puech (35 ans, Pau)
7. Steve Blanc-Mappaz (33 ans, Grenoble)
8. Kélian Galletier (32 ans, Perpignan)
9. Théo Nanette (31 ans, Bordeaux)
10. Ben Volavola (33 ans, Agen)
11. Juan Imhoff (36 ans, Racing 92)
12. Francis Saili (33 ans, Racing 92)
13. Julien Hériteau (29 ans, Clermont)
14. Ben Lam (33 ans, Montpellier)
15. Tim Nanai-Williams (35 ans, Béziers)
#1172
Posté 07 juin 2024 - 17:52
#1173
Posté 07 juin 2024 - 17:57
Nos 3 futures recrues grenobloises dans le XV de départ.
https://www.rugbyram...nt-12001563.php
Montagne, Massa, et ?
#1174
Posté 07 juin 2024 - 18:08
Montagne, Massa, et ?
Je l'ai déjà proposé à plusieurs reprises en 5.
C'est mon Laclayat mais en meilleur.
Et comme il paraît qu'Urios lit le forum pour faire ses compos, peut-être serait-il inspiré pour le recruter.
#1175
Posté 07 juin 2024 - 18:12
Je l'ai déjà proposé à plusieurs reprises en 5.
C'est mon Laclayat mais en meilleur.
Et comme il paraît qu'Urios lit le forum pour faire ses compos, peut-être serait-il inspiré pour le recruter.
Javakhia ? (je ne connais pas du tout le groupe de Grenoble, et ne suis pas la Pro D2). Tu essaies encore de nous refourguer un romano-tchètchène ?
#1176
Posté 07 juin 2024 - 18:18
Javakhia ? (je ne connais pas du tout le groupe de Grenoble, et ne suis pas la Pro D2). Tu essaies encore de nous refourguer un romano-tchètchène ?
Un tracteur internationnal jiffo-adroit des cuisses et des mains qui a bien aidé Massa et Montagne à éclore.
Pour moi, de loin, le meilleur seconde ligne de pro D2.
#1177
Posté 08 juin 2024 - 08:58
Grenoble, ses quatre massifs, son gratin, sa pollution dans la cuvette, son quartier Championnet et le Quai d'Orsay, sa Tour Perret, et ce dicton cher à Stendhal : « Au bout de chaque rue, une montagne ». Au bout de chaque rue, une emmerde, ont ajusté cette saison les joueurs du FC Grenoble.
Il y a un an, ils avaient perdu la finale de Pro D2 face à Oyonnax (3-14), déjà à Toulouse, puis le barrage d'accession face à Perpignan la semaine suivante (19-33). Trois jours après cet échec au Stade des Alpes face aux Catalans, ils avaient appris, le 3 juin, via une alerte L'Équipe sur leur téléphone, qu'ils allaient être rétrogradés administrativement en Nationale en raison de manquements financiers trop importants pour que l'Autorité de régulation de la LNR ne passe l'éponge. Le début des soubresauts. « On n'a pas l'impression d'avoir coupé entre les deux saisons, se remémore le troisième-ligne Antonin Berruyer. On a passé l'été le qui-vive, les vacances étaient compliquées, un peu gâchées. »
Le FCG est finalement maintenu en Pro D2 le 6 juillet mais les joueurs reprennent le chemin de l'entraînement en sachant qu'ils devront démarrer la saison avec six points de pénalité. Compliqué. Le jeudi 14 décembre, six nouveaux points sont encore retirés au club isérois, toujours pour incohérence budgétaire et manque de transparence. Le trou est estimé à trois millions d'euros environ. La défiance s'installe vis-à-vis de la direction, les joueurs n'en peuvent plus.
« Ce coup de massue arrive à un moment où on vient d'enchaîner quatre victoires. Entre nous, on se demande à qui on peut faire confiance, ce qui fait qu'on peut encore croire notre direction. C'était très dur », se rappelle le capitaine Steeve Blanc-Mappaz. Sans les douze points retirés (6+6), Grenoble serait à ce moment-là 4e de Pro D2. Au lendemain de cette annonce, il s'incline à domicile face à Nevers (27-37) et s'installe au 13e rang du classement. Une réunion de crise s'improvise alors au Stade des Alpes, entre les joueurs, seulement les joueurs, qui sont remontés contre la terre entière. « On s'est moqués de nous depuis des mois alors qu'on donne tout sur le terrain pour refaire notre retard », fulmine alors un joueur par SMS. Les bières tombent les unes après les autres, les langues se délient et la volonté de se reprendre en main émerge.
« Je suis parti en vacances avec ma copine, j'ai passé une semaine à ruminer, je ne parlais pas, j'avais le regard dans le vide. À partir de là, entre joueurs, on a décidé de se resserrer comme on pouvait », témoigne Blanc-Mappaz. Dans ce marasme et même si le FCG a récupéré quatre points de pénalité au classement, les joueurs vont jusqu'à demander la mise à l'écart de leur entraîneur, Aubin Hueber, avec qui le courant n'est jamais passé. Le 12 février, les cadres font irruption dans le bureau du président, Patrick Goffi, à qui ils ne parlent presque plus. Goffi accepte que Hueber prenne du recul. Les adjoints Nicolas Nadau et Patrick Pezery sont toujours impliqués, mais l'autogestion n'est pas loin. Hueber ne s'exprime plus et les joueurs ne veulent pas de lui dans le vestiaire.
« On a pris des coups dans la gueule, de la part des gens autour de nous, mais sur le terrain c'était autre chose qui se jouait »
Un Grenoblois
« Tous les mecs ont assumé cette demande. Il fallait ensuite se regarder dans un miroir et assumer sur le terrain », reconnaît Blanc-Mappaz. « L'histoire de cette saison est plus déglingo que ce que les gens voient et croient, raconte un intime du vestiaire. Les joueurs en voulaient au club, au président, ils ont peut-être agi comme des sales merdeux mais derrière ils ont eu à assumer ces choses. C'était un accord tacite entre eux, ils devaient aller loin. »
Les joueurs construisent alors une bulle de protection, leur histoire devient un lien et personne n'a le droit de se mettre entre eux. Début mars, dans leurs échanges, autour d'une table de restaurant et sur le groupe WhatsApp, ils décrètent viser le titre de champion de France. Une foi qui va les pousser à réaliser un printemps en boulet de canon (dix victoires en onze matches).
« On a pris des coups dans la gueule, de la part des gens autour de nous, mais sur le terrain c'était autre chose qui se jouait, confie un Grenoblois. On a joué pour nous. C'est tout. » La promesse, faite au coeur de l'hiver, d'aller en finale a été tenue. Ne manque plus que le Bouclier et la montée en Top 14. Un joueur, qui avait prévu de longue date d'aller bringuer à Barcelone pour un enterrement de vie de garçon a même dû rapatrier en urgence toute sa bande à Toulouse et organiser les festivités dans la Ville rose. Ça promet.
#1178
Posté 08 juin 2024 - 08:59
N’oubliez jamais 1993. jamais.
#1179
Posté 08 juin 2024 - 16:02
Sérieux ? Même la Pro D2 est en crypté sur Canal maintenant ?
#1180
Guest_Lavande50_*
Posté 08 juin 2024 - 16:07
Allez Vannes !
#1181
Posté 08 juin 2024 - 16:13
Je serai également pour Vannes. Et puis, je crois que Grenoble est mieux équipé pour recevoir le MHR, donc l'idéal, c'est Vannes champion, et Grenoble qui passe en barrages.
- steph aime ceci
#1182
Posté 08 juin 2024 - 16:16
Grenoble va gagner allez je me lance 31 a 20
#1183
Posté 08 juin 2024 - 16:16
Sérieux ? Même la Pro D2 est en crypté sur Canal maintenant ?
Y a pas de p'tites économie
Je pensais que France 2 / France3 feraient un petit effort, mais ils sont trop occupés à Roland-Garros
#1184
Posté 08 juin 2024 - 16:18
Y a pas de p'tites économie
Je pensais que France 2 / France3 feraient un petit effort, mais ils sont trop occupés à Roland-Garros
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Faut regarder les filles de ROMAGNAT sur FRANCE 4 !
- Baba Yaga et lecoon aiment ceci
#1185
Posté 08 juin 2024 - 16:20
Allez Grenoble, j ai pas envie de voir des drapeaux Bretons toute la saison prochaine.
Et puis on a de futurs joueurs et un ancien comme entraineur a nous à Grenoble, autant qu ils arrivent vainqueurs
- Codorplusàvie aime ceci
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