440 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

Son prénom c'est Régis ?

A une certaine époque et avec des gars comme Estève ou Palmié en face, un gugus comme Chalureau aurait surement hésité à revenir sur le terrain où il a fauté gravement 

[RCV06]

A une certaine époque et avec des gars comme Estève ou Palmié en face, un gugus comme Chalureau aurait surement hésité à revenir sur le terrain où il a fauté gravement 

Il n y avait pas de joueurs noirs ou magrébins a cette époque, et pour Palmié je sais pas, mais Estéve c'était pas un premier prix de vertu niveau langage, pas sur qu il n aurait pas usé de ce type de mots pour faire dégoupiller un mec.

Chalureau par contre il aurait surement fermé sa gueule face a Benazzi ou Betsen sous peine de sanctions immédiates.

[layathollah]

Si LM ne s'est pas trompée je suis un peu inquiet pour la conquête en touche (et notre quota jiff)

[RCV06]

Si LM ne s'est pas trompée je suis un peu inquiet pour la conquête en touche (et notre quota jiff)

Pour la touche, Simmons et Kremer, pour les jiffs par contre j ai pas de solution

[exilé-sud-ouest]

Pour la touche, Simmons et Kremer, pour les jiffs par contre j ai pas de solution

Ensuite réception du RCT, ça sent de plus en plus les 23 JIFFS à Toulouse... 😉

[XV63]

Pour la touche, Simmons et Kremer, pour les jiffs par contre j ai pas de solution

On fera jouer
jedraziak/lanen
tixeront/Yato/dessaigne
à Toulouse pour équilibrer
Darricarere/Jurand/roziere en bonus

[Eria]

Sûrement Kremer et Sowa comme remplaçant, et en titulaires Tixe Lee Yato...

[TH69]

Sûrement Kremer et Sowa comme remplaçant, et en titulaires Tixe Lee Yato...

Je vois cela aussi.

[el landeno]

Benoit Paillaugue (Montpellier) : « C'était une putain de vie »

 

Benoit Paillaugue sous le maillot de Montpellier en 2022. (A. Martin/L'Équipe)

Revenu en ce début de saison comme joker Coupe du monde à Montpellier, son club de (presque) toujours, Benoit Paillaugue va vivre son dernier match au GGL Stadium samedi face à Clermont. Avant de basculer dans le staff des Espoirs du MHR.

À bientôt 36 ans (il les aura le 17 novembre), Benoit Paillaugue va arrêter sa carrière à la fin de son contrat de joker Coupe du monde à Montpellier. Il va jouer samedi (17 heures) contre Clermont son dernier match au GGL Stadium. Un moment forcément particulier pour le demi de mêlée qui a passé treize de ses saisons professionnelles au MHR (2009-2022), avant de revenir pour une dernière pige après un passage à Toulon la saison dernière. En conférence de presse ce jeudi, il a abordé ce moment riche en émotions qui s'annonce avant de basculer sur une carrière d'entraîneur des Espoirs du MHR, avec lesquels il a commencé à travailler ces dernières semaines.

 

 

« Vous allez vivre votre dernier match à domicile samedi face à Clermont...
(Il rigole) Je pense que j'ai saisi l'idée parce que j'ai commencé à mettre un pied dans l'après (il a déjà commencé à travailler dans le staff des Espoirs du MHR). Mais disons qu'on s'y prépare sans être vraiment préparé. À la fin du match et dans les jours qui suivent, je me ferai à l'idée que je ne vais plus me lever pour aller mettre les crampons et aller à l'entraînement. Je vais passer de l'autre côté, ce sera un nouveau challenge mais il me reste une dernière marche et j'aimerais qu'elle soit aussi belle que ma carrière.

Vous aviez déjà fait vos adieux au GGL au printemps 2022, vous étiez parti à Toulon puis revenu cette saison. Cette fois, c'est la bonne ?
Je pense qu'ils vont en avoir ras le bol que je fasse des discours (rires). Je serai très bref, promis. Là, ce sera différent parce que j'arrête ma carrière, ma passion. Je vais la vivre autrement mais je vais repenser aux sacrifices que je fais depuis l'âge de quinze ans quand je me suis mis en tête que je voulais faire ce métier. Il y a eu des embûches, des galères, mais aussi des moments inoubliables, des rencontres. Plein de choses qui vont me traverser la tête à la fin du match samedi.

On imagine que vous recevez pas mal de messages cette semaine... Vous essayez de faire abstraction ?
Je n'ai jamais été un joueur qui met les choses de côté ou qui veut éviter les émotions avant les matches. Au contraire, j'ai toujours aimé ça. Il faut des émotions pour jouer, moi ça ne me freine pas. Dans tous les gros matches que j'ai pu jouer, j'ai laissé parler mes émotions, sans problème. Je vais encore le faire sans retenue pour ce week-end.

« J'aurais aimé chanter la Marseillaise »

 

 

 

 

 

 

Montpellier vit un début de saison compliqué. Vous avez envie de partir sur une bonne note, on suppose, en tant que joueur...
J'étais parti sur une très très bonne note (rires) (le titre de champion de France en 2022). C'est un peu plus compliqué aujourd'hui mais c'est à l'image du club où c'est un peu plus en dents de scie. C'est ce qui a fait la beauté de ce club et peut-être aussi pour ça que j'y suis resté aussi longtemps. Mon objectif, c'est qu'on gagne samedi, qu'on puisse savourer et boire quelques bières.

Vous la trouvez comment, votre carrière ?
Je la trouve belle. Je me suis rongé tellement d'années sur pas mal de choses, je me suis toujours remis en question, on m'a souvent remis en question aussi (sourire) mais ça a fait le joueur que j'ai été. Si ça avait été platonique, je n'aurais peut-être pas atteint ce que j'ai pu atteindre. Ma carrière aurait pu être plus belle peut-être. J'ai gagné la plus belle chose que j'avais à gagner avec un club (le Brennus en 2022).

« Je suis un fou amoureux de ce sport et j'ai hâte de former les jeunes »

 

 

 

 

C'était un rêve de gamin, je l'ai eu. Tard, mais je l'ai eu. Ce qui m'a enlevé un poids énorme. Bien sûr que j'ai eu quelques regrets, des choix différents, des discours différents, mais ça fait partie de moi. J'aurais aimé chanter la Marseillaise, je ne suis pas passé loin à un moment mais on dira que c'était mon destin. Et finalement, vivre mon dernier match pro avec ce club, c'est la meilleure chose qui puisse m'arriver. J'aurai eu le luxe de choisir ma fin, sans aucun regret. Maintenant, je veux bien finir.

Si vous deviez garder une image, ce serait laquelle ?
Champion de France. Parce que je suis resté pour ça tellement de temps, j'avais tellement cette envie de faire partie de l'équipe qui allait remporter le premier Brennus ici (à Montpellier). C'était fantastique. Je savais que je partais en plus donc j'ai profité de l'instant, j'ai vécu ça avec mes proches, c'était fort. C'est une vie particulière, mais c'était une putain de vie. Je sais que ça va me manquer mais je vais essayer de trouver d'autres émotions autre part et transmettre aux plus jeunes. Je suis un fou amoureux de ce sport et j'ai hâte de former les jeunes.

lire aussiBenoit Paillaugue, champion de France avec Montpellier : « On s'est fait cracher dessus... »

Comment s'est faite la bascule vers le rôle d'entraîneur ?
Ça fait des années qu'on m'en parle, que je ferais peut-être un bon entraîneur. Mais attention, aujourd'hui, ce sont des grands points d'interrogation. Je le tente, parce que j'en ai envie. Si ça marche, tant mieux, sinon, tant pis... Comme dans ma carrière de joueur finalement. J'ai foncé vers mes objectifs et je ne me suis pas trop trompé. J'ai fait seize ans au plus haut niveau, c'est quand même pas mal. Je vais me lancer dans cette aventure à 100 % et on verra bien. Je commence doucement, avec les Espoirs, car je n'ai pas envie de me brûler les ailes. Ce sera mon rôle de les former vers le plus haut niveau et de les y accompagner car je sais la difficulté pour y arriver. Entraîner directement en première, ça aurait été une erreur de ma part.

Est-ce que le rugby vous a lassé à un moment ?
J'ai été par moments lassé, lésé, déçu... Car le monde professionnel peut vite vous décevoir. Mais quand vous êtes amoureux de ce sport, ça revient vite. Les grosses blessures ont été des moments difficiles. La dernière, au genou (en septembre 2021), ça a été difficile car je renégociais mon contrat, on aurait dû resigner une semaine après et ça s'est compliqué. Là, j'étais un peu dégoûté et en colère. Plus contre le milieu professionnel que contre ce jeu que j'adore. Le ballon va me manquer. D'ailleurs, je le garderai toujours pas loin en entraînant (rires). »

 

 

[Caplan]

Vu l'equipe annoncée on a pas le droit de se planter a Montpellier, une defaite a zero serait une catastrophe pour le club

[DOUDOU63]

Vu l'equipe annoncée on a pas le droit de se planter a Montpellier, une defaite a zero serait une catastrophe pour le club

Je te rejoins, je pense comme toi...Du matos de gros calibre, jiffs de côté, un fusil à un coup.....Faut pas rater sa cible samedi....D'accord avec toi...

[lecoon]

Vu l'equipe annoncée on a pas le droit de se planter a Montpellier, une defaite a zero serait une catastrophe pour le club

 

Tu peux faire la meme phrase pour le MHR

[Vynce]

Selon la montagne on pourrait avoir
Falgoux Faingaa Ojovan
Yato Simmons
Sowakula Lee Kremer
☺️😇

Ça donne envie. Surtout avec la nouvelle philosophie de Yato : foncer dans le tas !

[obewan]

il faut gagner à MONTPELLIER............................................ that's all..........

[julien RAUCHE]

Ah mais pour moi c'est presque ca le pire, les autres points sont plus pertinents, donc qui s'est dit "on va commencer par cette stat qui en fait ne veut pas dire grand chose clairement, mais on va le mettre en point numero 1".. ?! Bref c'est pas tres important mais des fois je me demande si les mecs prennent deux minutes pour reflechir et se relire, ou s'ils pondent juste du papier n'importe comment. Ce qui me permet de placer mom meme prefere (parce qu'il s'applique tres bien au monde actuel je trouve):

 

 

Merci de placer la grande autrice de BD Anouk Ricard!!