388 replies to this topic

[Pilou]

Slimani pourra couvrir droite et gauche peut être.

[Alligator427]

Ça va faire du bien ces retours.

J'aimerais bien :

Beria Faingaa ojovan
Lanen lavanini
Kremer sowakula tixeront
Bezy Urda
Raka moala Darricarrere jurand
Newsome

Remp : biziwu Fourcade Slimani jedrasiak lee jauneau plisson fouyssac

Pas Plisson, Giral !

[xdderf63]

Slimani pourra couvrir droite et gauche peut être.

C'est obligatoire d'avoir 6 joueurs de 1ere ligne sur la feuille de match

[Toorop]

Giral sur le banc ! qu'est ce qu'on risque ?
De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace

[Gourine63]

Giral sur le banc ! qu'est ce qu'on risque ?
De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace

Totalement ! J'avais même en tête une version utopique avec Giral titu en 10 dans une grosse équipe avec toute la bande (Faingaa, Kremer, Moala, Bézy, Lanen et compagnie) et Urda sur le banc pour gérer une éventuelle fin de match serré grâce à son expérience.

[Fanchic]

Totalement ! J'avais même en tête une version utopique avec Giral titu en 10 dans une grosse équipe avec toute la bande (Faingaa, Kremer, Moala, Bézy, Lanen et compagnie) et Urda sur le banc pour gérer une éventuelle fin de match serré grâce à son expérience.

On a déjà mis PLISSON titulaire alors on peut mettre GIRAL

[ELSAZOAM]

La saison de l'Aviron, Jean-Dauger, son regard sur l'ASM... Entretien avec Arthur Iturria avant Bayonne - Clermont

 

Arthur Iturria à la lutte avec Alex Newsome, son ancien partenaire à l’ASM. Le joueur de Bayonne garde un mauvais souvenir de son retour au Michelin e

 

Aujourd’hui joueur de l’Aviron après onze ans passés à l’ASM, Arthur Iturria n’a pas oublié la raclée reçue (46-14) à l’aller au Michelin comme il n’élude pas la situation sportive de son club. Entretien avant un Bayonne - Clermont qui promet, ce samedi (21 h 05).

Jean-Dauger est son nouveau jardin, là où l’Aviron, qui accueille l'ASM Clermont ce samedi (21 h 05), est si difficile à dompter. Malgré cela, Arthur Iturria reste méfiant, sachant très bien qu’un jour ou l’autre, la pièce tombera du mauvais côté pour les Bayonnais sur leur pelouse.

 

Quel est l’état d’esprit de l’Aviron avant la reprise du championnat ?

« On travaille, comme tout le monde (sourire). Sportivement, on sait que la lutte pour le maintien est compliquée. Vu les matchs que l’on fait, la marche est haute pour prétendre au top 6. On n’est pas bête, nos prestations à Perpignan ou face à Oyonnax éclairent tout le monde sur le championnat que l’on joue. On n’est pas dupe sur notre niveau. »

 

L’invincibilité de Bayonne à domicile est-elle une garantie ?

A deux ou trois reprises, c’est quand même passé tout près. Un jour arrivera un scénario différent, on le sait. Après, on ne parle pas trop de cette invincibilité à Jean-Dauger, même si c’est un moteur pour tout le monde. C’est dans le cœur de chacun de garder notre pelouse vierge de défaite et c’est une façon de marquer aussi l’histoire du club. »

 

Comment est vécue quand même cette saison, moins brillante et aboutie, pour l’instant, que la dernière ?

« Il ne faut pas oublier que la remontée de Pro D2 est récente (2022) pour Bayonne. On est encore une équipe en construction. Bien sûr, il y a des clubs qui réussissent plus vite mais il ne faut pas oublier d’où vient l’Aviron. Et puis, j’y reviens, mais la saison est très compliquée avec Perpignan qui réalise un super championnat, Montpellier et Lyon qui sont pour moi des "faux derniers". »

« Il faut bien avoir conscience, en ce qui nous concerne, que les saisons se suivent mais ne se ressemblent pas. Aujourd’hui, l’essentiel est de rester concentré sur nous, notre rugby, s’appuyer aussi sur nos performances à domicile. Sans oublier de chercher à progresser à l’extérieur. »

Que vous inspire votre ancien club, l’ASM, que vous allez affronter ?

« Je sens que ça monte en puissance. Leur pack est vraiment solide, personne n’a oublié que l’on avait été martyrisé au match aller. Et puis, je connais un peu Christophe Urios, je sais comment il va préparer ce déplacement important pour eux. Je m’attends à un beau combat et on va se battre avec nos armes. »

 

Christophe Buron (LM - 15/02/24)

[jm12]

On a déjà mis PLISSON titulaire alors on peut mettre GIRAL

J 'ai peur que vous ne soyez déçus...je mets un kopeck sur Plisson ....ce n 'est pas mon choix mais je pense que ce sera celui d'Urios  !

[steph]

Vivement la première défaite à domicile, c'est là que l'interview d'Iturria sera intéressante : "il va falloir se dire les choses, arrêter de se mentir, et être de grands garçons".

[Rugby ?]

"... cette invincibilité à Jean-Dauger, même si c’est un moteur pour tout le monde. C’est dans le cœur de chacun de garder notre pelouse vierge de défaite..."

A Bayonne ou ailleurs, c'est d'abord avant tout de la seule raison d'exister dans le Top14.

Les grands sentiments, c'est beau, ça fait de jolis records dont on parle dans les chaumières, mais l'important c'est le pragmatisme. Tu peux perdre un match à domicile, mais si après tu gagne un match de plus que prévu à l'extérieur, c'est kif-kif.

[el landeno]

Top 14 : la connexion clermontoise de l’Aviron Bayonnais

  Lecture 3 min

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De gauche à droite et de haut en bas : Camille Lopez, Arthur Iturria, Bastien Pourailly et Cheikh Tiberghien. © Crédit photo : Émilie Drouinaud et Bertrand Lapègue

 

Lopez, Iturria, Tiberghien et Pourailly. Depuis deux saisons, l’Aviron a récupéré les joueurs « made in 64 » développés par l’ASM. Avant l’opposition de ce samedi (21 h 05), leur ancien manager Franck Azéma, aujourd’hui à Perpignan, les décrypte

Le titre perché ci-dessus aurait pu être inversé, on l’avoue. La connexion clermontoise de l’Aviron Bayonnais fonctionne à plein depuis deux saisons, avec les arrivées de Camille Lopez et Bastien Pourailly à l’été 2022, suivies un an plus tard de celles d’Arthur Iturria et Cheikh Tiberghien. C’est presque un juste retour des choses. Les quatre joueurs originaires des Pyrénées-Atlantiques ont longtemps formé une connexion basco-béarnaise en Auvergne. Alors que les bleu et blanc reçoivent l’ASM, ce samedi à 21 h 05, leur ancien manager Franck Azéma (2010-2021), aujourd’hui à Perpignan, décrypte « ces quatre bons mecs », choisis aussi bien « pour leur bonne éducation » que pour « leur formation rugbystique, tournée vers le jeu, avec Pierre Perez (ex-patron du pôle Espoirs de Bayonne) » : « Aucun ne m’a jamais déçu ».

 

Camille Lopez et Franck Azéma, le 3 juin 2017, la veille de soulever le bouclier avec Clermont face à Toulon.

PHOTOPQR/NICE MATIN/MAXPPP

1 Camille Lopez « contamine les autres »

Le demi d’ouverture de 34 ans est toujours la pièce maîtresse du club, sans réelle concurrence (14 matches, 14 titularisations). Buteur attitré depuis la blessure de Gaëtan Germain la saison passée, il facture 130 points (2e de Top 14).

Camille Lopez.

Bertrand Lapègue

L’avis de Franck Azéma : « C’était mon leader de jeu avec Morgan Parra pendant des années (2014-2021). C’est une très belle rencontre, pour l’entraîneur et pour l’homme. C’est rare de trouver un gars avec qui on partage une telle fibre rugby. Son parcours, en dehors des centres de formation, m’avait plu. Camille est vraiment un relais sur le terrain. Il maîtrise la construction du jeu, et la diffuse. Il contamine les autres. J’aime sa vitesse d’exécution pied, main et tête. Il a une générosité sur le terrain et en dehors, un vrai altruisme. Aujourd’hui, il reste frais mentalement. Tu vois que la passion se dégage encore en lui. Il faut le prendre comme il est, mais ce n’est vraiment pas un gars difficile à manœuvrer. On n’était pas toujours d’accord, mais c’est une bonne chose. Il sait s’affirmer. Et il est résilient, persévérant. C’est comme ça qu’il s’est relevé de blessures. C’est là qu’on voit les gars costauds. Et en plus, c’est un super mec, capable de déconner en dehors du terrain. »

2 Arthur Iturria, « ils ne se sont pas trompés »

Six fois en troisième ligne, quatre fois en deuxième : Arthur Iturria (29 ans) varie les plaisirs depuis son arrivée cet été. Huit fois titulaire en dix matches, il est un vrai leader de touche, en plus d’un couteau suisse idéal.

Arthur Iturria.

Émilie Drouinaud

L’avis de Franck Azéma : « Il est arrivé jeune à Clermont (en 2012 à 18 ans, en provenance des jeunes de l’Aviron) avec un bagage technique très complet. Il est très fort dans le jeu aérien et il combat, il aime ça ! Ils ne se sont pas trop trompés avec lui à Bayonne. C’est un garçon qui nous a tenu la baraque pendant des années. Il faut être costaud pour entrer dans un groupe avec des Bonnaire, Cudmore, Privat, Hines, Lapandry, Fritz Lee… Il a pompé beaucoup de ces garçons-là. C’est une valeur sûre, avec une identité, un tempérament, une grosse volonté. Il ne s’affole jamais. C’est un mec honnête, franc du collier. Quand il aime, il aime. Quand il n’aime pas, il n’aime pas. Je le préfère en troisième ligne mais je m’en suis aussi servi sur les deux postes. Il ne faut pas le cantonner. »

3 Cheikh Tiberghien, « doué avec du tempérament »

Formé à Bayonne mais parti à Clermont en 2019 pour y passer pro la saison suivante, le polyvalent trois-quarts (arrière, centre, ailier) de 24 ans s’est imposé comme un titulaire depuis son retour en bord de Nive cet été (12 matches, 10 titularisations, 1 essai).

Cheikh Tiberghien.

Émilie Drouinaud

L’avis de Franck Azéma : « Je l’ai moins connu (2019-2021) mais c’est aussi quelqu’un avec beaucoup de tempérament. Un mec doué, qui vient du foot. Il n’était pas mature au départ et il a pourtant joué avec Clermont. Il n’était pas encore prêt, physiquement et mentalement. Mais il avait la volonté, il me plaisait. Il a poussé toute une génération devant lui parce qu’il aime la bagarre et la compétition. Il a un bon pied et de la vitesse, il est costaud et courageux. Au début, il ne pigeait pas tous les incontournables d’un professionnel. Mais on sent qu’il a évolué. Je suis content de le voir aujourd’hui. »

4 Bastien Pourailly « ne déçoit jamais »

Quatre matches, trois titularisations, championnat et Coupe d’Europe cumulés. Maigre. Après deux ans en Auvergne (2020-2022), l’ailier de 29 ans n’en fera pas plus à Bayonne. Il ne sera pas conservé en juin prochain. Apprécié du groupe, il répond toujours présent quand on lui offre sa chance. Ce ne sera pas le cas ce samedi.

Bastien Pourailly.

Bertrand Lapègue

[bazooka]

Giral sur le banc ! qu'est ce qu'on risque ?
De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace

 

Ça va dépendre de l'option choisi, si le boss opte pour un 6+2...

J 'ai peur que vous soyez déçus...je met un kopeck sur Plisson ....ce n 'est pas mon choix mais je pense que ce sera celui d'Urios  !

 

D'autant qu'il ^peut couvrir 10 et 15

Vivement la première défaite à domicile, c'est là que l'interview d'Iturria sera intéressante : "il va falloir se dire les choses, arrêter de se mentir, et être de grands garçons".

 

Chaque fois qu'il a donné une interview sous nos couleurs en amont d'un match, ça s'est soldé par une défaite, pourvu que ça dure.

[Ptolémée]

un ptain de match d'homme en perspective ..

[Arverne03]

On va prendre

 

Peut être pas, mais de là à s'imposer..............heu.............je ne le sens pas trop ! 

[wallis]

Pitaing ! je le sens bien ce match ... tous aux abris