J'avais dis dans la semaine que ce serait les leaders qui nous ferait gagner ou perdre
On sent que ça bouge dans le bon sens
Quand le coach semble perdu et sans solution, pas le choix...
Après il peut y avoir des dommages collatéraux, irrémédiables ou bien la relation de confiance peut revenir
Et c'est intelligent de la part de Urios d'avoir ouvert la porte
Pas trop le choix mais il ne semble pas s'être braqué... et c'est tant mieux car ça semblait mal barrée l'histoire
L'article de L'Equipe que je n'ai pas lu aurait sa place ici
Pris sur le blog RCT, hier
Ce samedi après-midi, Clermont accueille Pau au Stade Marcel-Michelin dans le cadre de la 19ème journée du Top 14.
Les Clermontois se retrouvent dans une situation très délicate à l’approche de cette rencontre.
Une défaite contre Pau et les Auvergnats pourraient se rapprocher de la zone rouge et de la 13ème place de barragiste.
Le troisième ligne Clermontois Fritz Lee s’est confié.
« C’est comme dans toutes les équipes, quand on traverse des moments difficiles, les vraies conversations arrivent. Avant la réunion avec Christophe, on a discuté entre leaders de ce qu’on voulait lui dire. C’était important qu’il connaisse notre position, pour trouver un terrain d’entente. »
Julien Laïrle s’est également exprimé.
« On avait tous besoin de parler, parce qu’on n’était pas sur la même longueur d’onde. C’était parfois un peu tendu, mais ça a été franc et droit. On a demandé aux joueurs ce qu’ils attendaient du staff. »
Benjamin Urdapilleta a également pris la parole.
« Mais ce n’est pas que Christophe ne nous laissait pas ces responsabilités, à nous les leaders. C’était plutôt que c’était à nous de prendre conscience qu’on devait en assumer plus !
Jusque-là, on attendait trop que Christophe et son staff prennent tout en main. Il faut être plus acteurs de tout, du match comme de l’entraînement, ou dans l’échange avec les joueurs, à la vidéo. On ne peut pas toujours tout attendre du staff. »
Christophe Urios a indiqué qu’une engueulade entre joueurs s’est produite cette semaine.
C’est au cours d’une réunion entre joueurs qu’un joueur, vexé, a claqué la porte.
Christophe Urios « Ce n’était pas arrivé depuis le début de la saison ! Il y en a même un qui a quitté la salle en claquant la porte… »
Le joueur qui a claqué la porte, c’est l’ouvreur Benjamin Urdapilleta.
L’Argentin « C’est moi… Je suis parti, ciao ! C’est comme ça, hein, à Castres, ça m’est arrivé mille fois et là, quinze minutes après, je parlais au portable avec ceux avec lesquels je m’étais fâché. Et parfois, ça marche, ça a un effet sur les mecs ! »