Les compo. probables.
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Raka, c'est une commotion du doigt du coup ?
Espérons qu'il réussisse le protocole de fin de semaine.
Posté 02 mai 2024 - 22:11
Les compo. probables.
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Posté 02 mai 2024 - 22:12
C'est n'importe quoi ce truc.
Raka est blessé, Tixeront sera titulaire, Dessaigne pas sur la feuille de match, etc etc...
Posté 02 mai 2024 - 22:19
C'est n'importe quoi ce truc.
Raka est blessé, Tixeront sera titulaire, Dessaigne pas sur la feuille de match, etc etc...
Posté 02 mai 2024 - 22:34
on y va pour gagner , les difficultés pour y parvenir ça fait partie du deal
Posté 02 mai 2024 - 22:45
on y va pour gagner , les difficultés pour y parvenir ça fait partie du deal
Voilà, on donne tout (sauf les points) et surtout qu'on n'ait pas l'air ridicule sur cette demi-finale. Parce que ça m'agace toute la com de l'EPCR sur les réseaux axée +++ sur les Sharks.
Allez, demain 13h c'est la compo officielle.
Posté 02 mai 2024 - 22:55
Posté 03 mai 2024 - 05:02
Jamais deux sans trois ? Voilà un adage que les Clermontois voudront faire mentir ce samedi, à partir de 13 h 30 (heure française), au Stoop de Twickenham lors de leur demi-finale de Challenge Cup face aux Skarks.
Les Sud-Africains de Durban restent en effet sur deux larges succès contre des clubs français lors de la phase de poules de cette campagne de Challenge Cup : contre Pau (45-5) le 9 décembre, puis contre Oyonnax (38-7), le 13 janvier. Les deux rencontres avaient eu lieu en Afrique du Sud.
Un pack en mode « rouleau compresseur »Charlie Cassang, le demi de mêlée d’Oyonnax, garde un souvenir mitigé de ce long déplacement. « Nous étions restés près d’une semaine là-bas. Sur le plan humain et de la découverte, cela avait été une belle expérience », se souvient l’ancien Clermontois dont c’était la première visite en Afrique du Sud.
En revanche, sur le plan purement sportif, ce match lui a laissé pas mal de regrets. « Le score est un peu lourd par rapport à l’opposition que nous avions offerte », relate Charlie Cassang, impressionné aussi par le rouleau compresseur du pack sud-africain avec notamment le pilier gauche Ox Nché, auteur de deux essais lors de cette rencontre, ou encore le deuxième ligne Eben Etzebeth, entré en jeu en seconde période.
« Il n’y a pas de surprise avec eux : ils pratiquent un jeu typiquement sud-africain avec des avants puissants qui te rentrent dedans et qui t’usent. Ils sont aussi costauds en mêlée fermée. Mais Clermont est bien armé dans ce domaine », commente Vincent Debaty, entraîneur des avants d’Oyonnax, qui se souvient aussi de leurs fulgurances.
« Dans des conditions rendues compliquées par un vent violent et la chaleur, nous avions concédé des essais trop faciles sur des turnovers, poursuit Charlie Cassang. J’avais été impressionné par la vitesse de l’international Makazole Mapimpi, la puissance de l’autre ailier Werner Kok et de la paire de centres Lukhanyo Am et François Venter. » Et l'ancien Auvergnat d'ajouter : « Mais si Clermont évolue sur les mêmes bases que contre l’Ulster ou le Stade Français, ils ont de bonnes chances. »
« L’ASM devra se montrer patiente, précise dans la conservation et efficace dans les rucks », confie de son côté Vincent Debaty, qui sera également devant son écran de télévision pour supporter son ancien club.
Fin de saison pour Charlie Cassang :
Charlie Cassang ne rejouera plus cette saison. Le demi de mêlée souffrait d’une hernie discale depuis plusieurs mois. En accord avec son club, il a décidé de mettre un terme à sa saison afin de se consacrer à des soins qui, il l’espère, lui éviteront l’intervention chirurgicale.
Posté 03 mai 2024 - 07:19
merci barnabé03
Posté 03 mai 2024 - 07:27
Les piliers gauches et les piliers droits. Deux dénominations qui pourraient laisser penser que les deux postes se ressemblent peu ou prou. Pour les ailiers par exemple, il n’y a pas beaucoup de différences lorsqu’on évolue d’un côté ou de l’autre du terrain.
Ce n’est pas du tout la même limonade pour les hommes forts de la mêlée. Les gauchers et les droitiers ne font tout simplement pas le même boulot.
Ces mecs-là (les droitiers), ils font vraiment un autre métier.
« Personnellement, je ne voudrai jamais plus jouer à droite. Ces mecs-là, ils font vraiment un autre métier », en plaisante même le pilier de l’ASM Giorgi Beria. Cette petite boutade résume pourtant bien les hétérogénéités entre les deux postes.
Que l’on porte le numéro 1 ou le numéro 3, l’exercice de la poussée demeure effectivement totalement différent. À droite, un pilier est calé des deux côtés en prenant la pression de deux adversaires (le gaucher d’en face sur l’épaule droite et le talon sur la gauche). Le numéro 1 ne l’est que d’un côté et doit donc beaucoup compenser avec du gainage pour ne pas être déstabilisé sur ses entrées en mêlée.
« Bien souvent, quand on met un droitier à gauche, il passe sous la mêlée sur les cinq premières. Il se jette pareil qu’à droite mais il a cette épaule dans le vide et cela l’emmène au sol. C’est très difficile de pouvoir faire les deux », expliquait d’ailleurs Jefferson Poirot sur les ondes de la radio bordelaise ARL.
Pourtant, du côté de l’ASM Clermont, le staff n’a actuellement guère le choix. Avec un seul pilier gauche valide dans l’effectif en la personne de Giorgi Beria, les droitiers doivent travailler pour éventuellement dépanner. C’est le cas de Rabah Slimani. Mais l'ancien Parisien avait commencé sa carrière avec le n° 1 dans le dos, et cela facilite pas mal de choses concernant un éventuel dépassement de fonction.
Des appuis différents
« Bien sûr, ce sont des techniques et des positions différentes. J’ai eu la chance de commencer à gauche chez les pros. C’est Jacques Delmas (au Stade Français, ndlr) qui voulait absolument me faire passer à droite et je l’en remercie (rires). De cette période, j’ai tout de même conservé quelques rudiments. Et c’est pour cela que je peux jouer les deux. »
Il s’agit effectivement d’un net avantage tant les efforts ne sont pas les mêmes. « Ce ne sont pas les mêmes jambes qui sont sollicitées, explique Rabah Slimani. Et donc pas les mêmes appuis. Si un pilier gauche pousse un peu trop sur la droite, il va partir sur l’extérieur. S’il fait l’inverse, il va rentrer. Alors que nous, les droitiers, nous pouvons pousser avec les deux jambes pour exercer une pression rectiligne. »
Est-ce que les exercices de musculation changent énormément que l’on soit gaucher ou droitier ? Pas fondamentalement, même si les muscles utilisés varient. « S’il y a quelque chose à travailler spécifiquement, c’est le verrouillage des bras. Le gaucher doit le lever et moi, à l’inverse, je dois le fermer pour garder le pilier d’en face avec moi », détaille l’ancien Parisien.
Le droitier, il faut qu’il soit lourd. Et quand tu es lourd, tu dois trimballer la carcasse. Entre courir et pousser, ce n’est pas évident d’enchaîner les tâches.
« Le droitier, il faut qu’il soit lourd, poursuit Giorgi Beria. Et quand tu es lourd, tu dois trimballer la carcasse. Entre courir et pousser, ce n’est pas évident d’enchaîner les tâches. Nous, à gauche, on doit être un peu plus gainé. Eux, ils doivent transférer un peu plus de puissance. Ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent. Vous pouvez demander à Rabah (Slimani) ou à Giorgi (Dzamanashvili), quand ils passent à gauche, ils ont des courbatures au début. »
Depuis la blessure de Daniel Bibi Biziwu à Bordeaux (coude), les piliers droits se sont donc mis au travail via des petits ateliers techniques, des « deux contre un » ou des « un contre un ». Tout en croisant les doigts pour que Giorgi Beria puisse enchaîner les matchs à gauche en attendant le retour d’Etienne Falgoux probablement contre Castres, dans deux semaines.
Arnaud Clergue (LM - 03/05/24)
Posté 03 mai 2024 - 07:41
On va en faire du petit, les désosser. Puis on repartira avec 8 blessés.
Posté 03 mai 2024 - 07:44
On va en faire du petit, les désosser. Puis on repartira avec 8 blessés.
Défaite contre les Sharks avec 5 ou 6 blessés sérieux, défaite à suivre à Perpignan, remise en cause (encore une fois), tension avant de recevoir Castres qui voudra se venger du match aller.
Posté 03 mai 2024 - 07:46
Défaite contre les Sharks avec 5 ou 6 blessés sérieux, défaite à suivre à Perpignan, remise en cause (encore une fois), tension avant de recevoir Castres qui voudra se venger du match aller.
Et victoire au forceps contre les sud af puis une perf à l'USAP dans la foulée ... ça non on l'envisage pas ?
Posté 03 mai 2024 - 07:54
Trop de défaitistes mais bon sang il faut garder l'espoir bordel de M... !
Posté 03 mai 2024 - 07:54
Défaite contre les Sharks avec 5 ou 6 blessés sérieux, défaite à suivre à Perpignan, remise en cause (encore une fois), tension avant de recevoir Castres qui voudra se venger du match aller.
Posté 03 mai 2024 - 08:00
Les compo. probables.
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c'est le texte pour le match du SF qui a été recopié... joli travail journalistique
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