Une bonne chose c'est certain. Ca en soulagera certains, mais le mal est si profond............................
quel mal? Passer à autre chose dans la (vraie) vie??
Posté 22 mars 2025 - 07:21
Une bonne chose c'est certain. Ca en soulagera certains, mais le mal est si profond............................
quel mal? Passer à autre chose dans la (vraie) vie??
Posté 22 mars 2025 - 07:23
quel mal? Passer à autre chose dans la (vraie) vie??
Oui, mais je ne parlais pas exclusivement de reconversion.
Posté 22 mars 2025 - 07:27
Oui, mais je ne parlais pas exclusivement de reconversion.
L’article en question ne parle de rien d’autre…
Posté 22 mars 2025 - 13:52
L’article en question ne parle de rien d’autre…
J'ai donc "généralisé" à tord !
Posté hier, 13:29
Le soleil va bientôt se coucher sur les grandes vacances et on se demandait ce qu'était devenu le « préavis » de grève des joueurs de Top 14, relayé début juillet, à voix basse, par leur syndicat Provale. Les 6 et 7 juillet, nous apprenions que les acteurs de l'autoproclamé plus grand Championnat du monde pourraient débrayer deux mois plus tard, au moment de la reprise, le premier week-end de septembre.
Nous sommes deux mois plus tard, et ? Et rien du tout. La menace de grève semble s'être rétractée aussi vite qu'elle avait enflé, façon muffin. « Nous avons écrit à la Ligue qui nous a répondu, informe Malik Hamadache, président de Provale. On avait envie d'être entendus et les discussions existent. Elles avancent surtout dans le bon sens. »
Pour en arriver à se mettre en grève, il fallait que la grogne ou l'inquiétude ait atteint une limite. Et cette limite concernait l'une des évolutions dans le règlement du salary-cap adoptées par le comité directeur de la Ligue (LNR), fin juin, en réponse à l'affaire Jaminet-Stade Toulousain, révélée par L'Équipe en janvier dernier. En plus des amendes, il a été décidé qu'un retrait de 1 à 15 points pourrait être appliqué par la commission disciplinaire du salary-cap, selon le montant du dépassement du plafond de masse salariale. Une ponction pouvant aller de 1 à 10 points a été retenue en cas de manquement aux obligations de transparence et de coopération.
«On ne peut pas ouvrir une fenêtre de contrôle trop grande. Regarder dans les comptes bancaires des joueurs, ça va trop loin »
Malik Hamadache, président de Provale, syndicat des joueurs
Mais le point de friction était ailleurs, dans l'élargissement des pouvoirs d'enquête accordés aux contrôleurs salary-cap sur les sources de revenus des joueurs de Top 14. « Pour nous, il y a une limite, insiste Hamadache. On ne peut pas donner tous les droits au salary-cap contrôleur. On a confiance dans le professionnalisme des personnes en place mais demain, si d'autres personnes moins bien intentionnées les remplacent ? On doit protéger le salarié, en l'occurrence protéger sa vie privée. On ne peut pas ouvrir une fenêtre de contrôle trop grande. Regarder dans les comptes bancaires des joueurs, ça va trop loin. Dans leurs déclarations d'impôts, ça, ils n'en ont pas le droit. Et demain on saura ce que tel joueur achète au supermarché, combien il dépense dans les bars. Les quatorze représentants de Provale dans les clubs sont unanimes contre ce texte. Le projet de départ va être retouché. »
À écouter le son de cloche de la Ligue, il y a de quoi se demander si ce « préavis » de grève n'est pas né d'une crise de parano. Car il n'a jamais été question d'autoriser les contrôleurs salary-cap à obtenir les liasses fiscales des joueurs ou leurs relevés bancaires, au contraire de l'Angleterre où la chose est permise sans que cela n'ait déclenché de mouvement de grève à notre connaissance.
De notre côté de la Manche, la LNR et les présidents de club ont voulu concentrer leurs rayons sur les droits d'image pour faire en sorte que le contrôleur puisse désormais accéder à tous les contrats de ce type et vérifier si le contrat est suivi de contreparties réelles (l'affaire Jaminet a de nouveau démontré que les droits d'image pouvaient servir à contourner le salary-cap). Un moyen aussi de vérifier si le payeur n'est pas une partie associée au club, même éloignée (comme Pacific Heart avec le Stade Toulousain dans l'affaire Jaminet). Tout ça part donc de cas concrets, et récents.
Selon nos informations, la Ligue devrait accepter de ne pas systématiser les déclarations globales de tous les droits d'image pour chaque joueur mais permettre aux contrôleurs de les réclamer dans le cadre de recherches plus ciblées. Rappelons que l'article L 132-2 du Code du sport prévoit la faculté pour le salary-cap manager de « demander à toute personne physique ou morale ayant un lien juridique quelconque avec l'association ou la société sportive de lui communiquer toute information ou de tout document nécessaire à l'accomplissement de ses missions. »
0 members, 2 guests, 0 anonymous users