
Champions et Challenge Coupes 2024/25
#3301
Posted Yesterday, 19:39 PM
#3302
Posted Yesterday, 19:39 PM
Qu'il est fort ce Pollock je l'adore vraiment
- jm12 likes this
#3304
Posted Yesterday, 19:47 PM
#3305
Posted Yesterday, 19:51 PM
Si ça se trouve on aura été éliminé par le champion, classe !
#3306
Posted Yesterday, 20:00 PM
Prendecast à été très mauvais, dune lenteur terrible
Il est aussi vraiment feignant en défense et dans tous les autres secteurs du jeu sans ballon.
Il a une sacrée passe quand-même et un jeu au pied raisonnable mais son style m'agace.
Finn Smith c'est du beau joueur de rugby !
- Eastern Outpost likes this
#3307
Posted Yesterday, 20:02 PM
NonSi ça se trouve on aura été éliminé par le champion, classe !
Urios est nul. Point barre
#3308
Posted Yesterday, 20:18 PM
Je ne sais pas vous , mais perso, je me suis régalé , pas seulement du scénario à la A Hitchcock et de la victoire des Saints , mais quel match !
Rabah a bien failli en se sacrifiant pour le Leinster faire basculer ce match en faveur des siens , mais ,il était écrit .....
Belle équipe que celle de Northampton avec un jeu enlevé un récital de 3/4 , que le rugby est beau quand il est joué comme ça !
Le Leinster échoue de peu mais ce n 'est au final que justice pour Northampton talentueux parfois téméraire avec ce jeu de passes et de vitesse bien léché !
- Jesus Hans Hubert Vorme, isitolo31, Le Marseillais and 2 others like this
#3309
Posted Yesterday, 20:35 PM
#3310
Posted Yesterday, 20:35 PM
Si ça se trouve on aura été éliminé par le champion, classe !
ouais enfin pas une raison pour en avoir pris 50 là bas non plus
#3311
Posted Yesterday, 21:15 PM
Quand lASM avait joué en poule contre Northampton et le Leinster javais plus impressionné par le 1er
Le beau jeu contre un jeu ennuyant
#3312
Posted Yesterday, 21:21 PM
Dans la cascade de blessés qui a refroidi le Stade Toulousain ces derniers jours, le club haut-garonnais aura tout fait pour éviter d'être éclaboussé par un pépin supplémentaire, qui aurait touché Romain Ntamack. Le demi d'ouverture est un des rares « pilotes de jeu », comme les appelle Ugo Mola, à encore être debout, quand deux autres de ces poissons rares, Antoine Dupont (rupture du ligament croisé antérieur du genou droit) et Thomas Ramos (mollet), manqueront à l'appel, mais sa santé, ces derniers mois, a nécessité bien des précautions pour qu'il soit présent contre Bordeaux-Bègles dimanche.
Depuis son retour du Tournoi des Six Nations, le dix n'enfile le maillot rouge et noir que pour la Coupe des champions. Le Top 14 ne l'a plus vu à l'oeuvre depuis fin décembre. Le staff ménage son temps de jeu et aménage ses semaines d'entraînement, avec un programme adapté et, parfois, des séances en marge du groupe. Ntamack a même repassé une tête au CERS de Capbreton à la sortie du Tournoi.
À 26 ans, qu'il a fêtés vendredi, sobrement, on imagine, le corps grince. Le genou surtout, le gauche, bandé d'un énorme strap noir, samedi, lors de l'entraînement du capitaine, cette articulation qui l'a trahi juste avant la Coupe du monde 2023. Il serre les dents, mais il a déjà prévu de repasser sur le billard en fin de saison pour nettoyer quelques bouts de cartilage et « repartir sur de bonnes bases la prochaine saison ».
Il se projetait ainsi, face aux abonnés de L'Équipe, fin mars, et leur décrivait sans fard ses limites actuelles : « Je me suis renforcé, mais je sens que je ne suis pas encore revenu à mon potentiel maximum. Parfois, je sens que ça bloque derrière le genou, que ça ne coulisse pas aussi bien que je le voudrais. »
Alors, quand le Stade Toulousain le lance sur la pelouse, il s'adapte. « Je fais des choses simples, mais qui sont efficaces sur le terrain. Je sais que je peux faire beaucoup mieux. Ces petits pépins me frustrent. » Ils l'empêchent notamment d'exploiter ses talents de buteur, pour ne pas solliciter son genou d'un appui trop prononcé au moment de la frappe. Et semblent limiter son rayonnement dans le jeu, peut-être parce qu'il n'enchaîne pas assez les matches pour retrouver son rythme.
« Quelques imprécisions techniques inhabituelles, un manque de réactivité et des choix discutables », avait-on ainsi noté de son match de reprise contre l'Irlande (27-42), après cinq semaines sans jouer, où Ntamack avait aussi dû digérer le carton rouge de son retour avec les Bleus.
Car en plus de ce genou récalcitrant, il lui a fallu surmonter cette expulsion contre le pays de Galles (43-0) alors qu'il retrouvait une équipe de France qu'il n'avait plus fréquentée depuis août 2023. Une blessure au mollet, mi-octobre, avait déjà repoussé ces retrouvailles qui lui tardaient, le privant de la tournée d'automne et d'un de ces matches de gala où il sait briller, contre les All Blacks (30-29).
C'est sans doute parce qu'il le sait capable de telles fulgurances, même dans ses moments les plus délicats, rappelez-vous la finale du Top 14 en 2023 contre La Rochelle (29-26), que le staff d'Ugo Mola n'hésite pas une seconde à l'aligner pour le rendez-vous d'une demi-finale de Coupe des champions. Ntamack est un des visages de ce Stade Toulousain qui chasse tous les titres et veut marquer l'histoire du club.
« Chaque saison, on a la peur et la crainte de voir quelqu'un d'autre soulever les trophées, avouait-il dans nos colonnes fin mars. On sait l'adrénaline que ça procure. » Et, pour se sublimer contre l'UBB, quoi de mieux que de pomper sur cet afflux d'émotions fortes ?
#3313
Posted Yesterday, 21:27 PM
Chapeau à Pierre Brousset pour son match sur Dublin cet aprèm.
Un spectacle et il avait raison avec ses choix et decisions.
#3314
Posted Yesterday, 21:29 PM
Mercredi, il a déjà livré une première bataille de ces semaines de matches décisifs, un passage devant les médias où les joueurs ont appris à maintenir un équilibre subtil entre l'affirmation des propres ambitions de leur club et le respect des qualités de l'adversaire à venir, pour n'alimenter aucune animosité d'un mot un peu trop haut.
Matthieu Jalibert a suivi ce fil ténu sans souci dans les locaux béglais de l'UBB, louant, sans les flagorner, des Toulousains « habitués aux phases finales et tenants du titre », promettant aussi que son équipe vendrait « chèrement sa peau », parce qu'elle a « des qualités qui permettent de trouver des solutions et de les mettre en difficulté », imaginant enfin dimanche après-midi « un gros combat sur la ligne d'avantage et dans les rucks », mais aussi « un match assez ouvert ».
Ça, on ne le pronostiquerait pas avec autant de certitude que le demi d'ouverture bordelais, tant ces matches de phases finales savent se transformer en guerres d'usure, même entre les équipes les plus joueuses, mais on peut comprendre que lui le souhaite. Ça conviendrait tellement mieux à son tempérament offensif, son style intuitif, son goût du risque. Sur le début de saison de l'UBB, Jalibert les faisait rayonner comme jamais, tout en plénitude, et l'entraîneur de l'attaque girondine, Noel McNamara, complimentait son talent rare dans la prise de décision sur la ligne d'avantage.
Mais quelque chose s'est grippé chez le dix au coeur de l'automne, dans son histoire contrariée avec l'équipe de France, un départ en plein rassemblement des Bleus avant un match contre la Nouvelle-Zélande, sur fond d'insatisfaction et d'incompréhension de son rôle en sélection.
L'épisode a été commenté, interprété, avec sa part d'ombre et ses tentatives d'explication, voire de réconciliation, puisque Fabien Galthié a rappelé Jalibert pour le Tournoi des Six Nations. Une convocation qui n'aura pas dissipé toutes les questions, car, après une titularisation lors de la défaite en Angleterre (26-25), il était ressorti de la rotation en Italie et avait suivi le sacre du quinze de France de loin.
Depuis, sans être non plus dans l'indigence, loin de là, son influence se fait plus neutre sur le jeu des siens. Il est toujours capable de fulgurances, bien sûr, comme il l'a encore montré la semaine dernière en étant à l'origine d'un essai contre La Rochelle (10-21) en jouant vite une pénalité à la main, une action agrémentée de sa spéciale, le petit coup de pied par-dessus récupéré par lui-même.
Mais il est sans doute moins constant. Et Jalibert doit être aussi contrarié par son taux de réussite face aux perches, un faible 70,8 %, depuis le début de la saison, loin des standards internationaux, dans un domaine qui peut tant compter lors d'un rendez-vous comme celui de ce dimanche après-midi contre le Stade Toulousain.
« On a juste envie d'être sur le terrain et de montrer ce qu'on vaut, avoir la sensation de donner 100 % de nous-mêmes pour ne pas avoir de regrets à la fin du match »
Matthieu Jalibert
L'identité de l'adversaire et la nature du rendez-vous doivent pourtant titiller le compétiteur en lui, surtout quelques mois après une finale de Top 14 contre le même Toulouse (59-3) qu'il avait traversée comme une ombre, pas totalement remis d'une blessure qu'il avait essayé de surmonter tant l'occasion était grande.
Mercredi, il souriait en évoquant la demi-finale. « On est juste excités à l'idée de ce défi. Très peu de gens nous voient passer, on est clairement challengers, évaluait-il. Mais on a juste envie d'être sur le terrain et de montrer ce qu'on vaut, avoir la sensation de donner 100 % de nous-mêmes pour ne pas avoir de regrets à la fin du match. »
#3315
Posted Yesterday, 21:37 PM
Deux 50-22 en 5 minutes, soit autant que nous sur toute la saison, mais bon ce n'est pas notre jeu
Loupé ! On en a fait 50% de plus !!
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