Quand lASM avait joué en poule contre Northampton et le Leinster javais plus impressionné par le 1er
Oui moi aussi j'avais été impressionné par Bath en poule.
Posted Yesterday, 21:50 PM
Quand lASM avait joué en poule contre Northampton et le Leinster javais plus impressionné par le 1er
Posted Yesterday, 22:08 PM
Posted Yesterday, 22:18 PM
Posted Yesterday, 22:20 PM
NHS = Club qui, s'ils gagnent le titre, j'aurais le plus apprécié des clubs anglais victorieux de la H Cup.
Posted Today, 04:59 AM
ouais enfin pas une raison pour en avoir pris 50 là bas non plus
Pas une raison , je veux bien , mais faut être objectifs nous n 'étions pas invités face à une telle équipe talentueuse avec une ligne de 3/4 excellente qui mêle vitesse justesse technique et talents , actuellement on ne pouvait rivaliser comme à chaque fois que nous ne dominons pas devant et qu'en face ça met vitesse talent rythme , etc on est vite à la rue au bout de qqs temps de jeu !
Après dans les têtes tu lâches plus ou moins et au score ça va vite comme sur le terrain !
Posted Today, 06:08 AM
Décidément, c'est pas l'année de l'Irlande.
Le vent tourne, ils ont eu leur période faste (autant en club qu'en équipe nationale), le pain blanc va rassir !
Posted Today, 07:02 AM
Posted Today, 07:13 AM
Posted Today, 07:16 AM
Pollock meilleur joueur du monde, il renvoie Dupont au vestiaire
Sur le match d'hier il a été impressionnant.
Posted Today, 07:34 AM
Qu'il est fort ce Pollock je l'adore vraiment
Il a trouvé la cape d'invisibilité de MacCaw, deux fautes cyniques flagrantes sur les 5 dernières minutes, il aurait du finir sur le banc. (sans compter le reste du match).
Une parfaite saloperie, archétype du britton insupportable, mais un talent incroyable pour son âge, régulier (il a été aussi bon contre nous et en quart).
Posted Today, 07:48 AM
Soit ils se sont mis d'accord pour faire la ruine des bookmakers qui devront phosphorer pour fixer leurs cotes du jour, soit ils ont cherché à vous offrir un dimanche après-midi de liberté, loin de votre écran de télé ou de votre siège au Matmut Atlantique. Mais à travers le dialogue à distance, entre un Yannick Bru espiègle, mercredi, qui interpelait les médias d'un « si je vous demande de jouer votre maison sur le vainqueur potentiel... », suivi d'un silence tout en maîtrise et conclu d'un tout aussi imparable « Vous allez la mettre sur qui, la maison ? », et la réplique d'un Ugo Mola badin, survenue samedi, qui répondait d'un trait, sans hésiter, « sur Toulouse ! Vous voulez que je la parie sur qui ? ! », c'est tout le suspense et toute la dramaturgie d'une demi-finale de Coupe des champions qui s'évaporent !
Alors on circule, il n'y a rien à voir ce dimanche après-midi du côté de la périphérie nord de Bordeaux, on replie illico les pages de son journal ou on ferme son appli d'un clic décidé, le Stade a déjà gagné et l'UBB a encore été renvoyée à ses chères études ? Mais non, mais non, vous ne ferez pas le plaisir à ces deux maîtres de l'esbrouffe, celle qui anime les veillées de ces matches de phase finale, où on se dispute les étiquettes de « favori » et d' « outsider », de tomber dans le panneau qu'ils vous présentent. Et ne les ignorez pas seulement parce que samedi, Northampton a joyeusement déchiqueté les pages des scénarios écrits d'avance à Dublin.
« On est très amoindris mais on croit en nous »
Ugo Mola, entraîneur de Toulouse
Certes, comme tout bons bonimenteurs, les deux coaches fondent ce discours de posture sur une part de vérité. Bru n'a pas tort de louer le club qui a giflé ses troupes d'un 59-3 en finale du Top 14, il y a moins d'un an, il sait que ses Girondins ont perdu les trois duels de phase finale qu'ils ont livrés au voisin de la Garonne depuis 2021. Et personne ne taxera Mola de fanfaronnade quand il argumente : « On est champions en titre, on sort d'un doublé, on est très amoindris mais on croit en nous. » Oui, ses Toulousains savent si bien collectionner les honneurs que personne ne les jurerait incapables d'aller en chercher un nouveau malgré les coups durs de la semaine, les blessures de Peato Mauvaka et Thomas Ramos, pour ne citer que les plus récentes.
Mais c'est bien dans ces absences que réside le sel de cette demie. Pas parce qu'ils rééquilibrent les débats, non, mais parce qu'ils disent comment Toulouse a étendu son emprise sur le rugby de club et la voie que l'UBB tente de prendre pour la remettre en cause. Au Stade version 2025, quand la tête pensante des Bleus n'est pas là (Ramos), que les compas les plus efficaces de l'Écosse sont coupés (Blair Kinghorn), il reste pour les remplacer la polyvalence ultime d'un Puma (Juan Cruz Mallia) qui, s'il venait à tomber à son tour, verrait surgir les appuis les plus déroutants du rugby italien pour le seconder (Ange Capuozzo).
C'est de la sorcellerie, se décourageraient certains. C'est une formule à décrypter, ont plutôt l'air de se penser les Bordelais. Car depuis qu'ils bâtissent leur club, lancé d'une fusion osée en 2006, ils n'hésitent pas à piocher dans les grimoires du Stade, entre un président qui y a brièvement joué et un staff qui y a été biberonné, et, inexorablement, ils avancent. « La structuration de ce que fait Bordeaux depuis des années est hyper cohérente, a complimenté Mola samedi. Il y a une progression constante, il y a de la stabilité dans les effectifs, dans la formation. C'est un club qui fait son chemin et le chemin est évidemment admirable. »
« Pas de fixette sur l'hégémonie toulousaine »
Mahamadou Diaby, flanker de l'UBB
Qui s'est souvent interrompu depuis 2021, parfois cruellement, comme lors de la demie de Top 14 (21-24), parfois plus brutalement comme à Marseille l'an dernier (3-59) quand il y a croisé Toulouse, mais dans leurs mots cette semaine, les Girondins ont souvent dit que ces leçons faisaient partie de leur « apprentissage ». Ces apprentis ont patiemment bâti un groupe qui, au coup d'envoi, présentera autant d'internationaux titulaires que Toulouse (13), ils ont façonné une ligne de trois-quarts unique, qui a grignoté la coloration rouge et noir de l'attaque des Bleus, ils ont développé un style de jeu où les mains parlent autant que chez leurs voisins.
Il reste le plus dur à réaliser à cette UBB, finalement, surpasser le maître, ne serait-ce que sur une demie, pour finir de se prouver qu'elle est bien en train de décoder l'algorithme toulousain. C'est la quête de bien des clubs français qui s'y sont essayés, puisque le seul à avoir éliminé Toulouse lors d'un match de phase finale européenne, Brive, n'y a réussi qu'après un nul (22-22, 2 essais à 1 en 1998). « On a un bon karma contre les Français », admettait Mola. Voire un ascendant psychologique ? « Peut-être un peu des deux », concédait le technicien.
« On n'a pas fait de fixette sur l'hégémonie toulousaine, c'est une réalité, posait dans la foulée Mahamadou Diaby. Ils dominent leur sujet depuis plusieurs années, ils ont la méthode. » Depuis 2017 qu'il s'y est établi, le solide flanker observe son club développer la sienne avec constance.
Et c'est juste ça, le choc de deux savoir-faire, l'un qui ne demande qu'à éclater au grand jour, l'autre qui lutte avec talent pour préserver sa suprématie, que chaque observateur de la chose ovale voudra contempler dimanche, en envoyant au diable les paris gagnés d'avance ou toute forme de tranquillité dominicale.
Posted Today, 08:06 AM
Il a trouvé la cape d'invisibilité de MacCaw, deux fautes cyniques flagrantes sur les 5 dernières minutes, il aurait du finir sur le banc. (sans compter le reste du match).
Une parfaite saloperie, archétype du britton insupportable, mais un talent incroyable pour son âge, régulier (il a été aussi bon contre nous et en quart).
Ça me fait sourire de lire ces mots de décrire comment le Leinster a perdu par ce genre de geste en repetition dont cette équipe est expert
Posted Today, 09:19 AM
Sur le match d'hier il a été impressionnant.
juste énorme ...
Posted Today, 09:29 AM
Posted Today, 09:46 AM
En plus, Tony Lovelywater ça claque !NORTHAMPTON sera redoutable, surtout si Belleau y va l’an prochain.
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