Ça fait du bien un peu de valeurs du foot avec l'arbitre qui se fait pourrir à 10cm au milieu de toutes ces valeurs des JO.
Ils devraient être 7 sur le terrain les pharaons avec la façon dont ils parlent et regardent l'arbitre.
Posté 05 août 2024 - 22:26
Ça fait du bien un peu de valeurs du foot avec l'arbitre qui se fait pourrir à 10cm au milieu de toutes ces valeurs des JO.
Posté 05 août 2024 - 22:28
Posté 05 août 2024 - 22:28
Posté 05 août 2024 - 22:31
Il en rate un non ?
Posté 05 août 2024 - 22:32
Pour un Givors Bourgoin avec après match sur le parking de la pataterie ça passe, mais aux JO c'est pas possible.L arbitre est vraiment adorable avec les égyptiens, truqueurs depuis qu ils ont le score, agressifs de façon déplacée et surtout a son encontre très irrespectueux.
Posté 05 août 2024 - 22:32
Posté 05 août 2024 - 22:34
2 ratés, 1 par 2 joueurs différents...
Posté 06 août 2024 - 01:52
Eh ben, médaille de bronze chez les femmes, médaille d'or chez les hommes. Belle soirée pour le surf.
Bon par contre, c'est vraiment pas le plus passionnant à suivre. 20mn sans vague correcte.
Posté 06 août 2024 - 05:34
Posté 06 août 2024 - 06:04
Mondo Duplantis a grimacé, la bouche de travers, assis sur le tapis de réception de la perche aux couleurs de Paris 2024. Cela faisait deux fois qu'il manquait nettement la barre posée là-haut, à 6,25 m. Tout le monde se disait un peu que c'était cuit, presque triste alors que le phénomène avait déjà régalé l'assistance en effaçant 6,10 m, record olympique, quand rien ne l'y obligeait. Duplantis était déjà sacré pour la deuxième fois aux JO depuis son saut à 6 m, l'altitude où l'oxygène commence à se faire rare pour les meilleurs. Sauf pour lui.
Il nous disait, peu avant ses JO que Paris serait presque sa première expérience olympique tant son titre à Tokyo, il y a trois ans, dans un contexte pesant d'un stade covidé et vidé, ne correspondait en rien à l'image qu'il s'en était faite petit. Alors il tenait à ce que la fête soit à la hauteur de sa propre démesure.
Quand il est retourné en bout de piste, petit point jaune vu des grandes tribunes, escorté de son essaim de photographes et caméramen pour mieux le repérer, tout le monde pensait donc que c'était mort. Mais pas Mondo. Et comme il commence à se savoir que ce jeune homme n'est pas très humain et que les places n'étaient pas données lundi pour tout le monde, personne n'a songé à partir pour rejoindre le RER avant la foule. Le compteur affichait six minutes pour sauter. C'est largement suffisant pour raconter une histoire.
« De toute façon, mes parents n'ont pas besoin de me pousser à sauter »
Mondo Duplantis
Dans les gradins, ses parents Greg l'Américain, ancien bon perchiste, et Helena, ancienne heptathlonienne suédoise partie jeune étudier en Louisiane, avaient déjà en main le drapeau suédois, puisque Mondo a choisi sa mère. Elle s'occupe de toute sa préparation physique. Mais pour les sauts, il se tourne évidemment vers son père, son coach. On ne sait pas ce qu'il lui a dit, Greg, peut-être pas grand-chose, tant il n'y a plus rien à apprendre dans son domaine à un génie absolu. De toute façon, leur petite entreprise familiale fonctionne comme ça, sans prise de tête. « En fait, à la maison, évidemment le sujet de la perche revient souvent sur la table au dîner, sourit Duplantis. Mais en fait, c'est juste parce que c'est une passion. Mon père me parle de tas d'histoires de perche qui ne me concernent pas, le plus souvent. De toute façon, mes parents n'ont pas besoin de me pousser à sauter. »
Eux avaient seulement créé les conditions, autour de leur maison de Lafayette. Le voilà le secret : un sautoir de perche, des cordes à monter, une cage pour taper des balles de baseball... Et leurs quatre enfants sont tous très sportifs. Faut croire que c'était avant les écrans en Louisiane. Cela dit, ils n'ont qu'un Mondo, surnom donné par un pote italien de Greg à l'enfant, il y a longtemps, quand il s'appelait encore Armand.
Pendant toute la soirée, on a suivi Duplantis des yeux pour tenter de comprendre comment il pouvait gérer une telle pression quand d'autres disent se liquéfier au seul énoncé de leur nom. Il avait pris avec lui son rouleau de massage de mousse noire, qu'il posait régulièrement au sol, pendant que les autres s'échinaient à sauter des barres, et il le faisait rouler sous son dos tout en parlant, le plus souvent avec Sam Kendricks, son grand rival, enfin plutôt son ami américain. Et il blaguait et il riait.
Et puis, de temps en temps, parce qu'il le faut bien, il se levait pour aller en bout de piste, prendre une perche et courir. Vite, très vite. On repensait à ce que nous avait dit un jour Usain Bolt : « Courir, c'est le seul truc que je fasse vite. » Il y a un peu de la nonchalance du Jamaïquain chez ce Suédois aux grands yeux bleus toujours un peu étonnés. Sa mère Helena dit qu'elle se fie beaucoup aux expressions de son visage, surtout celles qu'elle semble la seule à voir. Et à son regard, aussi : « Vous pouvez dire par le feu de ses yeux qu'il va battre un record du monde. » Là, on était trop loin pour voir.
Mondo avait confié peu avant ses JO qu'il ne pense au record qu'une fois le titre acquis. Il connaît l'attente du public de l'athlétisme dont il est, à 24 ans, la plus grande figure. Il n'a pourtant qu'une discipline pour briller, puisqu'il n'y a pas de perche brassée ou crawlée. Il n'y a qu'une seule façon de sauter à la perche. Quoique non, il y a les sauts de Mondo et ceux des autres.
Le public ne s'y trompait pas au Stade de France, qui se pâmait d'un « Ohhhh » sonore et puissant à chaque fois que l'oiseau jaune s'envolait au-dessus de la barre avec l'insolence de l'aisance, avec cette curieuse impression laissée qu'un temps de suspension arrête fugitivement les horloges quand il est là-haut, avant de redescendre, comme s'il hésitait avant de revenir parmi nous.
Les 80 000 spectateurs du Stade de France, qui avaient débuté leur soirée avec lui trois heures plus tôt, la finissaient donc avec lui, avec ses tentatives de record du monde à 6,25 m, comme si tout le reste, entre-temps, n'avait été qu'une parenthèse. Mondo n'a pas attendu que les six minutes du chrono ne se soient écoulées.
Il s'est élancé, si prestement que l'énergie ainsi générée lui a permis de tordre sa perche dure comme un tronc. Il va si vite, à près de 37 km/h, malgré ce truc encombrant de plus de 5 mètres de long dans les mains, qu'il pourrait plier des réverbères sur les boulevards parisiens. Il s'est envolé, il n'a rien touché, le temps s'est arrêté, il est retombé, il a hurlé et on a tous hurlé.
Posté 06 août 2024 - 06:09
Posté 06 août 2024 - 07:57
Les Chinois devraient avoir 2,01 fois plus de medailles que l'UE...
Faudrait compter le nombre de médailles de l'UE pour voir où on en est, si ça te dit vas-y !
Allez, fais le compte : Chine 52 rondelles - UE 195 (environ) rondelles...
On est plus fort qu'eux, c'est évident !
Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk
Attention avec vos chiffres... de population
Le règlement des conditions d'engagements des JO ne convient pas pour faire cette comparaison
Quand la Chine peut aligner dans une compétition Olympique 2 à 3 concurrents, l'UE peut en aligner 27 * 2 ou 27 * 3 voir 27* 4 en cyclisme par exemple : plus de 50...
En tennis de Table, 4 chinois sur les 4 premiers du classement mondial, seul 2 aux JO selon le règlement
Posté 06 août 2024 - 08:08
Pourquoi faire attention...?
Attention avec vos chiffres... de population
Le règlement des conditions d'engagements des JO ne convient pas pour faire cette comparaison
Quand la Chine peut aligner dans une compétition Olympique 2 à 3 concurrents, l'UE peut en aligner 27 * 2 ou 27 * 3 voir 27* 4 en cyclisme par exemple : plus de 50...
En tennis de Table, 4 chinois sur les 4 premiers du classement mondial, seul 2 aux JO selon le règlement
Posté 06 août 2024 - 08:42
0 members, 2 guests, 0 anonymous users