1690 réponses à ce sujet

[nain jaune]

ralala ce CSP Limoges avec les le Dac, Brooks, Bilba, Don Collins, M'Bahia, Forte... et le sorcier Bozidar je regardais tous leurs matchs, j'écoutais même la coupe Korac à la radio !

Moi je me souviens de Ed Murphy.

[zebdomes]

Je trouve que Durant fait également un très bon match, tout en justesse. James est impressionnant mais fait également des bourdes et beaucoup de fautes.

Lebron fait un match de merde, mauvais esprit, pas exceptionnel dans le jeu ni à l'adresse, rouspète tout le temps contre l'arbitre. Je croyais voir un seigneur, j'ai vu limite une petite frappe. Globalement, j'ai trouvé l'image laissée par ces mecs, à part Durant, bien loin de celles des Magic Johnson, Jordan, Pipen et compagnie. L'évolution de la mentalité NBA ne semble pas des plus positives et pourtant la ligue est très à cheval sur l'étiquette.

[Néophyte]

"Des petits mecs" aurait dit Urios en tartant Curry.

[zone et beu]

Eh ben mon Kevin, pas gentil.............

 

https://www.ouest-fr...f3-0c0c6f085b89

[twiX]

Le drapeau palestinien je sais pas si c'était une bonne idée.

peut être pas, mais en même temps ce n'est pas porter ce drapeau qui est un problème c'est ce qui se passe là bas (problème n'étant pas le terme approprié)

[el landeno]

Pour conserver leur titre olympique, les Bleus ont vécu les JO à l'isolement Autodisciplinée, l'équipe de France s'est appuyée sur l'isolement dans lequel le Covid l'avait plongée à Tokyo pour reproduire les conditions qui l'avaient menée à son premier titre suprême.

 

La deuxième Marseillaise de la journée a brouillé quelques pupilles. Sans la concentration indispensable d'avant la bataille, les émotions prenaient le dessus, tension relâchée, alors que leur cou venait de s'alourdir d'or.

 

 

« La Marseillaise chantée avec douze mille personnes, c'est dingue, soufflait le central Quentin Jouffroy, sourire lumineux. Déjà, avant le match, ça me donnait des frissons... Sur le podium, ça m'a fait pleurer, c'est tout. J'étais tellement heureux ! »

 

Bien qu'âgé de 31 ans, l'un des hommes-clés de la finale n'était pas encore membre du groupe France à Tokyo, il y a trois ans. Il n'avait pas connu, comme dix des joueurs titrés samedi, l'Ariake Arena silencieuse, ni le village olympique masqué.

lire aussiIncroyable performance de l'équipe de France de volley qui écrase la Pologne et conserve son titre olympique

 

 

Ni le stage sur l'île d'Okinawa, où faire trois pas sur une plage demandait une autorisation triplement tamponnée. Ni la Ligue des nations, au bord de l'Adriatique, à Rimini, quand les Bleus avaient trompé l'ennui de la bulle sanitaire italienne, un mois avant les Jeux, en aménageant leur étage de l'hôtel à leur goût, plutôt festif.

« Boubou », comme l'appellent affectueusement ses coéquipiers, sait en revanche à quoi ressemble la ferveur populaire, la folie des tribunes métalliques qui grondent et font trembler le parquet. Cette ambiance colorée de bleu, blanc et rouge qui vous empêche de lâcher un match quand vous êtes malmené.

 

Andrea Gini, le sélectionneur des Bleus, au milieu de ses joueurs. (A.Mounic/L'Euiqpe)

« Dès l'échauffement, il y a presque autant de monde que pour le match. C'est sûr, ça met un truc en plus », s'extasiait le central Nicolas Le Goff après le premier match, gagné au tie-break face à la Serbie. « À la première entrée sur le terrain, on a pris un coup. Je pense que ça s'est vu, se souvenait samedi le passeur Antoine Brizard. À 0-2 contre l'Allemagne (en quarts de finale), personnellement je me disais que ce n'était pas possible que ce soit la fin, qu'on gâche toute cette fête. »

lire aussiEarvin Ngapeth sur la deuxième médaille d'or olympique des Bleus : « Une émotion encore plus grande »

« À Tokyo, c'était l'insouciance. Là, c'est de l'abnégation »

Pascal Foussard, manager des Bleus

 

 

 

La médaille, que les premiers champions olympiques français s'étaient passée les uns les autres autour du cou à Tokyo, quand le serrage de mains officiel était interdit, a la même couleur qu'il y a trois ans. Elle n'a évidemment pas la même histoire quand elle est glanée devant son public, ses amis, sa famille, au terme d'un tournoi beaucoup plus maîtrisé.

« À Tokyo, c'était l'insouciance. Là, c'est de l'abnégation, confiait Pascal Foussard, manager des Bleus doublement champions olympiques, à la veille de la finale. Ils savent ce que c'est de gagner. Ils sont à 100 % dedans. »

lire aussi« Il nous a sorti des points de l'espace » : Jean Patry a guidé les Bleus en attaque vers un deuxième titre aux JO

Échaudé par la saison passée et la quatrième place à l'Euro, en septembre dernier, dans des conditions loin d'être optimales, le staff n'a pas lâché les joueurs de la saison. Puis de la préparation.

« J'étais quotidiennement sur leur dos, raconte Laurent Lecina, leur préparateur physique. Jusqu'au jour où ils sont entrés au village olympique (le 23 juillet). À partir de là ils étaient autonomes. J'ai eu l'impression d'avoir des enfants qui entrent à la fac et se débrouillent d'un coup. Mais le travail avait été fait avant. »

 

La joie des Bleus, qui ont réussi l'exploit de conserver leur titre olympique samedi. (A.Mounic/L'Equipe)

Ce qu'ils ont montré sur le terrain ne relève pas de la magie, comme on avait pu le croire lors de leur épopée dantesque au Japon. Comme en 2021, où ils avaient glané le bronze en Ligue des nations (VNL), les Bleus ont énormément travaillé depuis trois mois. Le bloc, le service, les fameuses « balles hautes », chères à leur sélectionneur Andrea Giani, les séances quasi quotidiennes d'analyse vidéo, les questionnaires sur leur état de forme...

Rien n'a été laissé au hasard. Pas même le nombre de friandises énergétiques mises à disposition à chaque entraînement par le doc, Frédéric Guyomarc'h, contraint de surveiller ses troupes comme un père avec ses enfants au moment du goûter. Une montée en puissance qui les a menés, de la Turquie à la Pologne, en passant par le Canada et les Philippines, au titre en VNL, à Lodz, le 30 juin. Mais la médaille (carrée, celle-là), a vite été rangée. Il y avait plus important.

Ils n'ont vu leur famille qu'une heure sur la quinzaine

Dès leur premier rassemblement à Cannes, début mai, ils avaient réfléchi à ce qui les avait amenés au sommet. Comment refaire Tokyo à Paris, en somme. Puis ils ont appliqué leur décision à la lettre, en menant une vie d'ascètes, du stage de Saint-Nazaire, débuté le 5 juillet, jusqu'au terme des Jeux. « Ça fait partie de la réussite, affirme le pointu Jean Patry. C'est ce qui nous avait réussi à Tokyo, on était dans les appart', concentrés. Et même si, sans le Covid, on avait la possibilité de sortir, on est restés entre nous. »

Les Bleus ont vu les Italiens se rendre au pied de la Tour Eiffel, au beach volley. « On voulait aller voir Julien (Lyneel, leur ancien coéquipier, reconverti sur le sable), mais on n'a pas pu, avec le timing des jours de repos, raconte Yacine Louati. C'est dommage, mais on a bien fait, même si ce sont des sacrifices, car on ne vit pas les Jeux complètement. »

lire aussiLes tops-flops de France-Pologne : Patry génial, Clévenot impeccable, Leon neutralisé

Ils n'ont presque jamais croisé les Américains, mués en touristes mais médaillés de bronze, juste aperçu les Slovènes (éliminés en quarts de finale), éparpillés, profitant de chaque recoin du village. « On espérait que ça nous porte chance, sourit le réceptionneur-attaquant Kévin Tillie. On voyait toutes les autres équipes qui amenaient leur famille, allaient dans Paris... Et nous, on restait dans le village. »

Les handballeurs sont partis vers Lille, le village s'est vidé petit à petit, mais les volleyeurs n'ont pas bronché. Ils n'ont vu leur famille « qu'une fois, une heure » pendant les Jeux, compte Barthélémy Chinenyeze, en dehors d'une furtive embrassade avec les parents en tribune, ou d'un rapide câlin avec compagne et enfants à la sortie de la zone mixte, après les matches.

lire aussi« Une pure dinguerie » : rien n'a résisté aux volleyeurs de l'équipe de France

Que faisaient-ils de leur temps libre ? « On s'amusait, assure Chinenyeze. Même si c'est pour "chiller" (paresser) tous ensemble sur un balcon, jouer à des jeux à la con sur notre téléphone, ou des jeux de société, écouter de la musique, regarder des films, des séries... On ne se lâche pas ! » Ils ont aussi regardé les Jeux à la télé, bu quelques cafés... Et se sont beaucoup ennuyés. « On s'est dit que c'était important qu'on se fasse chier, parce qu'on s'est vraiment fait chier à Tokyo, se marre Brizard. C'était important de se faire chier ensemble. »

L'ennui, moteur de performance ? « Ça avait du bon, parce qu'en arrivant ici (à la salle), ça décuplait l'envie de s'amuser, de prendre du plaisir, et de communier avec le public », observe Patry. Il y a finalement bien plus que de l'or et un petit bout de Tour Eiffel, dans cette médaille.

 

[Pottok]

Volley quel match ! Et quel résultat! 3 à 0 contre les polonais! Cette équipe dégage l'aura de ces groupes qui marquent l'histoire de votre sport, pas les meilleurs joueurs, pas les plus fort, mais indéniablement une force de groupe qui renverse tout.

Taekwondo, une super médaille en or pour battre le record et une première médaille olympique pour la discipline. A 22 ans en plus.

Basket, à la fois si près et si loin... Team usa a tjs était devant au score, a semblé maîtrisé son match, mais a toute de même dus parfois s'en remettre à leurs meilleurs joueurs. Les français ont fait leur match, tout n'a pas été parfait mais franchement, il peuvent sortir la tête haute.

Enfin une médaille pour l'athlé, il était temps. Le débriefing dans certaines fédé va être important et necessaire, même si le résultat est plutôt positif au général.

[Pottok]

Le drapeau palestinien je sais pas si c'était une bonne idée.

C'est le drapeau de la Martinique. Celui de la Palestine a du blanc en plus.

[RCV06]

C'est le drapeau de la Martinique. Celui de la Palestine a du blanc en plus.

OK, je me suis bien planté sur ce coup, mais ils se ressemblent étrangement.

peut être pas, mais en même temps ce n'est pas porter ce drapeau qui est un problème c'est ce qui se passe là bas (problème n'étant pas le terme approprié)

Finalement je me suis planté c'est le drapeau de la Martinique.

[Pottok]

OK, je me suis bien planté sur ce coup, mais ils se ressemblent étrangement.

Finalement je me suis planté c'est le drapeau de la Martinique.

Pour ta défense, je crois qu'il est assez récent. 

[Boulard]

Entendu ce matin sur RMC à propos de la performance des athlètes d'Afrique de l'est au marathon.

"Et nous, on pourrait pas en naturaliser une éthiopienne ou kenyanne ? On n'aurait pas quelque chose de sympa à leur proposer ?"

Classe très classe.

Je veux bien que les mecs soient fatigués eux aussi après 15j quasi non stop mais quand même...

[Rugby ?]

Sont devenues très musclées les touchette pour être sifflées aujourd'hui. C'est devenu un sport très très très physique.

C'est marrant comme le basket semble générer de la violence.  Anecdote perso, au bahut en sport, on jouait au hand, au rugby, au basket et bien c'est au basket qu'on finissait par se foutre sur la gueule. Je crois que la trop grande rigueur sur les contacts génère de la frustration, ...et bing !

[Mammoth]

Ce sprint de dingue lors du final du marathon féminin, impressionnant.

[twiX]

OK, je me suis bien planté sur ce coup, mais ils se ressemblent étrangement.

Finalement je me suis planté c'est le drapeau de la Martinique.

arf ! j'ai fait pareil

Entendu ce matin sur RMC


Classe très classe.

ça me parait logique

[zebdomes]

Les Ricains sont médaillés dans 33 sports !!! Ahurissant ! Les Chinois, c'est juste 23, 10 sports de moins alors qu'ils sont 3 fois plus nombreux. Et nous, en toute simplicité, nous sommes médaillés dans 25 sports ! Même si les résultats en athlétisme et en cyclisme sur piste sont décevants, c'est quand même une sacrée performance !