
Merci TiNTiN !


Posted 25 February 2025 - 18:43 PM
Posted 25 February 2025 - 18:53 PM
Bon. Un cierge brûle à léglise Saint Paul à Paris ! Je dis pas devant quel autel sinon Bart Simpson ira souffler dessus.
Merci TiNTiN ! :flowers:Ooooooh
Une église Sainte Rita n'aurait-elle pas mieux convenu ???
Posted 25 February 2025 - 19:11 PM
Merci Tintin, membre éminent du triumvirat des indispensables du forum avec Sowip et Cricri.
Posted 25 February 2025 - 19:55 PM
Monsieur est connaisseur. En effet. Un beau cierge à Sainte Rita simpose !Une église Sainte Rita n'aurait-elle pas mieux convenu ???
Posted 25 February 2025 - 20:06 PM
Bon. Un cierge brûle à léglise Saint Paul à Paris ! Je dis pas devant quel autel sinon Bart Simpson ira souffler dessus.
Merci TiNTiN !Oooooooh
Tu invites à allumer des cierges ?
Posted 25 February 2025 - 20:08 PM
Tu invites à allumer des cierges ?
Il prend les cierges à vie
Posted 25 February 2025 - 20:08 PM
Un contrepet digne d Elsazoam !Tu invites à allumer des cierges ?
Posted 26 February 2025 - 14:15 PM
Et Xderf pour les pronos ? Ingrat.
Posted 26 February 2025 - 14:51 PM
Un tricheur et un jocrisse !
Posted 26 February 2025 - 15:21 PM
Perso je rajouterais Elsa pour la presse et Musky pour les rapports d'entrainements....
En tout cas merci Tintin !
Posted 28 February 2025 - 13:17 PM
Rugbyrama nous donne...perdants ! C'est sans espoir !
Posted 28 February 2025 - 18:28 PM
Rugbyrama nous donne...perdants !
C'est sans espoir !
Pas toujours aux Clermontois de relancer les équipes au fond du seau, faut participer un peu
Posted 01 March 2025 - 07:37 AM
Après un début de saison compliqué, où il a davantage visé le maintien que le haut du tableau, le Lou (8e) s'est relancé jusqu'à tenter de rallier le top 6. Mais en face, les Toulonnais (2es), bien calés entre les deux finalistes de la saison dernière, veulent continuer leur série de victoires (quatre, dont une à l'extérieur contre Montpellier) et consolider leur place dans ce confortable trio de tête. Un beau duel en perspective, mené par deux Baptiste à un niveau d'international, mais aux profils différents. Alors qui semble prendre l'avantage ?
Le point fort de Couilloud. Le Lyonnais de toujours excelle lorsqu'il tire profit de ses qualités physiques (1,76 m pour 83 kg). Avec son profil de puncheur, il accélère et provoque ballon en mains. « Couilloud se démarque par son punch, comme un neuvième avant, avec des pénalités jouées très rapidement, beaucoup de vitesse et d'explosivité, affirme le demi de mêlée Jean-Baptiste Élissalde (35 sélections). Il est musculeux, n'a pas peur de prendre des contacts et n'hésite pas à rentrer dans le tas. »
« Un profil à la Dupont », résume l'ancien bordelais Guy Accoceberry (19 sélections). Un profil qui met en danger constamment la défense adverse puisqu'il peut casser la ligne à chaque instant. « Il profite de l'avancée de ses avants pour jouer seul » et marquer - 17 fois la saison passée - faisant de lui le meilleur marqueur de l'exercice devant le Bordelais Damian Penaud (14 essais). Plus longiligne (1,82 m pour 83 kg), Serin évite les avants adverses et s'appuie davantage sur la deuxième passe ou « provoque la défense avec du jeu au pied (il l'utilise deux fois plus que son homologue lyonnais) juste devant l'adversaire pour l'obliger à ne pas le plaquer », analyse le manager de Grenoble, Aubin Hueber (23 sélections).
De la malice. C'est ce que ressent Hueber « sur son visage, sur sa façon d'être. Serin est plutôt un 9 coquin, davantage axé sur la stratégie comme les demis de mêlée d'avant. Il opte pour des gestes qui sortent de l'ordinaire, un coup de pied rasant, une chistera... Alors que Couilloud est moins fantasque, un peu plus ordonné. » L'ancien bordelais aux 46 sélections est toujours la tête en l'air à chercher une occasion qui sort du cadre et à éclairer le jeu. « Son style est basé sur la prise d'initiative, mais surtout sur l'organisation et le fait de garder le ballon et de multiplier les temps de jeu », rapporte Accoceberry.
Le Toulonnais de 30 ans est également un véritable créateur d'occasions, capable de fulgurances à l'image de la semaine dernière et de son coup de génie, une feinte de passe combinée à un coup de pied rasant, contre le Stade Français, permettant à Jiuta Wainiqolo d'aplatir (24-6). Une palette technique élargie qui lui viendrait également de son expérience à l'ouverture, selon Élissalde.
« Quand Serin est bon, Toulon gagne, et quand Couilloud est bon, le Lou gagne. Le fonctionnement de leur équipe tourne vraiment autour d'eux », résume Accoceberry. Alors forcément, les deux demis de mêlée sont très utilisés par leur club respectif avec une moyenne de 61 minutes de temps de jeu par match et 14 titularisations en 18 journées de Top 14 pour Couilloud, 12 pour Serin. Les internationaux sont installés dans leur groupe depuis plusieurs saisons (2015 pour Couilloud, 2019 pour Serin) et ont su se faire une place au sein du vestiaire au point de devenir capitaine pour le Lyonnais, qui a d'ailleurs renouvelé son contrat avec son club formateur jusqu'en 2030. « Ce n'est pas permis à tous les 9 dans le Top 14 d'avoir ce type d'influence sur son équipe, assure un analyste vidéo de l'élite française. Un leader doit être en capacité de mobiliser son équipe sur les temps forts et les temps faibles, d'avoir une bonne stratégie et d'assumer la pression, et les deux sont complètement là-dedans. »
Proche de son niveau avec les Bleus, porté par son expérience et par la bonne dynamique de son club, Baptiste Serin semble prendre l'avantage. Mais, à l'extérieur et contre une équipe qui doit rattraper son retard, il devra utiliser toutes ses qualités pour surpasser la puissance de son homologue lyonnais.
Posted 01 March 2025 - 08:53 AM
Le Stade Français et Stade Rochelais ont vécu une semaine quasi similaire. Les Parisiens sortent d'une défaite à Toulon samedi dernier (24-6), avec à la clé la place de lanterne rouge du Top 14. Comme évoqué dans nos colonnes, dès le lendemain, après plusieurs réunionites, il a été décidé que Laurent Labit prenne du recul avec le terrain, mais reste directeur sportif, alors que ce dernier avait proposé sa démission si cela pouvait aider à régler les maux actuels. Paul Gustard, entraîneur en chef depuis l'éviction de Karim Ghezal fin septembre, a été chargé, avec ses deux adjoints Julien Tastet et Morgan Parra, de préparer la venue des Rochelais. La semaine a ensuite été rythmée par deux principales rumeurs : bagarre dans les vestiaires à Toulon et signature de Labit au Racing 92 pour la saison prochaine. Infondée pour la première, démentie fermement pour la seconde.
Du côté Rochelais, la défaite à domicile face au Racing 92 consommée (21-26), le retour au vestiaire a été animé. Pas de bagarre, mais une vive altercation verbale entre un joueur du pack et un membre du staff, avant que le président Vincent Merling ne prenne la parole pour remobiliser les troupes. Sur les bords de l'Atlantique, l'option réunionite a également été choisie, mais sans fumée blanche. Quelques rumeurs ont aussi fusé comme le remplacement avec effet immédiat du manager sportif Ronan O'Gara par Romain Sazy, celui des Espoirs, ou la mise à l'écart de certains adjoints... Sans fondement ou presque.
Si la direction a effectué quelques simulations comptables, l'intégralité du staff technique a été conforté. L'éventuelle réorganisation attendra. Lundi, à la reprise des entraînements, « c'était comme si de rien n'était », glissait un joueur. Pourtant, samedi soir, Ronan O'Gara semblait accuser le coup : « C'est la honte, c'est inadmissible de jouer comme ça. Je suis conscient de notre niveau, j'en suis le premier responsable. Si on continue comme ça, la fin devient évidente pour tout le monde (...) Peut-être que le message ne passe pas. C'est une vraie option si le message ne passe pas que c'est mieux sans moi (...) C'est une crise, il faut l'accepter. Pour moi, c'est important de l'accepter. Ou alors on peut mourir lentement durant les quatre prochains mois. On est en crise, on se bat pour le maintien. » Il parlait de « déconnexion » plutôt que de « fracture » entre ses joueurs et lui. Quarante-huit plus tard, selon plusieurs témoins, « ROG » s'était de nouveau transformé en chef de meute pour préparer le déplacement au Stade Français et retrouver le goût de la victoire après cinq revers de rang toutes compétitions confondues.
« Les joueurs ont pris conscience des choses. Ils ont aussi pris leurs responsabilités. On va trouver les solutions ensemble »
Morgan Parra, entraîneur adoint du Stade Français
Au Stade Français, la pseudo réorganisation a pu se constater lors de l'entraînement ouvert aux médias, jeudi en fin de matinée, au camp des loges, l'ancien centre d'entraînement du PSG. Comme annoncé, pas de trace de Labit sur le terrain. Si Paul Gustard était bien présent, c'est Morgan Parra, l'entraîneur de l'attaque, qui a animé la séance. Et c'est encore ce dernier qui s'est présenté devant les médias moins de deux heures plus tard. « Il y a plus de monde que d'habitude » a lancé l'ex-demi de mêlée dans un sourire avant de s'exprimer sur la situation du club : « On n'a plus le choix. On s'était déjà mis en mission maintien. Il fallait se le dire et surtout l'absorber. Les joueurs ont pris conscience des choses. Ils ont aussi pris leurs responsabilités. On va trouver les solutions ensemble. Parfois on a peut-être été un peu éparpillés. Il n'y a plus d'excuse. L'objectif est de sauver le club. » Léo Barré a reconnu que ça faisait « bizarre de ne plus voir Laurent (Labit) sur les retours de match et les réunions », mais que « c'était « un choix pris par le club et par lui, qu'il faut donc le respecter ». Et l'arrière d'ajouter : « Des choix ont été faits, mais les réponses, il faut les donner sur le terrain. Aux joueurs de prendre leurs responsabilités pour maintenir le club. »
A La Rochelle, si O'Gara avait d'abord déclaré : « on doit accepter la réalité, on se bat pour le maintien », cette semaine, le discours du manager sportif était un brin différent : « Ça ne sert à rien de parler, ce sont les actes maintenant. Nous avons une grande opportunité de montrer notre caractère, notre fierté et que tout est encore possible cette saison. » Sous-entendu : la qualification pour la phase finale. Les Rochelais en sont plus proches (à deux points de la sixième place) que d'une éventuelle relégation (neuf points d'avance sur le 13e et le 14e).
« Beaucoup d'équipes ou de mecs qui connaissent le rugby pensent que c'est fini pour cette équipe, pour ces joueurs, mais c'est loin d'être le cas a insisté l'ailier Dillyn Leyds. Samedi, ça ne sera pas du rugby mais quelque chose de complètement différent. Ce sera vraiment notre attitude, notre envie, notre volonté. » Pour les amoureux des stats, depuis la remontée de La Rochelle en Top 14, à partir de la saison 2014-2015 (date du dernier titre de champion du Stade Français), les Rochelais n'ont gagné qu'une fois à Jean-Bouin (12-14, saison 2018-2019) pour neuf revers (le score moyen étant de 28-17). Sacré test de caractère en effet qui enfoncera encore un peu plus le vaincu dans la crise...
Posted 01 March 2025 - 14:31 PM
Allez La Rochelle (sic) pour aider Vannes
0 members, 1 guests, 0 anonymous users