Et Romeu.
Ce n'est pas non plus le point fort de Gabin Lorre pourtant tant désiré.
On touche pas au vieux gaulois, et puis a son époque les 10 n avaient pas besoin de défendre les 3eme lignes faisaient le boulot
Posté 08 juin 2025 - 21:49
Et Romeu.
Ce n'est pas non plus le point fort de Gabin Lorre pourtant tant désiré.
On touche pas au vieux gaulois, et puis a son époque les 10 n avaient pas besoin de défendre les 3eme lignes faisaient le boulot
Posté 08 juin 2025 - 21:51
carbonel va s imposer quelque part ?
Posté 08 juin 2025 - 21:52
Le Stade Français et Toulon vers un échange entre Louis Carbonel et Enzo Hervé ?
L'avenir des deux ouvreurs est à l'étude (L'Equipe)Alors que le Stade Français a assuré son maintien en Top 14, l'avenir de Louis Carbonel à Paris pourrait connaitre un nouveau tournant. Un échange avec Enzo Hervé (Toulon) est à l'étude.Maxime RAULIN (avec J.-F.P.)publié le 8 juin 2025 à 14h58mis à jour le 8 juin 2025 à 15h17ma listeécoutercommenterréagirpartagerLe Stade Français s'est sauvé lors de la dernière journée du Top 14 à la faveur de sa victoire sur le Castres Olympique (21-10) samedi. Mais avant même de connaître l'issue définitive de cette saison, les dirigeants parisiens travaillent depuis plusieurs semaines sur les contours de l'effectif pour la saison prochaine. Si le staff est désormais au complet autour de l'Anglais Paul Gustard qui a été conforté (il vient de prolonger pour deux saisons), le recrutement est à l'arrêt.
La faute au salary cap. Le club de la capitale n'a aucune de marge de manoeuvre. À l'instant T, seul le demi de mêlée Tawera Kerr-Barlow et le pilier Thierry Paiva, tous deux en provenance du Stade Rochelais, ont été recrutés. Sans oublier le retour de prêt du centre Noah Nene (Dax). Les dirigeants parisiens étudient donc plusieurs pistes pour tenter de libérer de la masse salariale.
Selon nos informations, un échange entre les ouvreurs Louis Carbonel et Enzo Hervé (Toulon) est à l'étude dans ce sens. Carbonel (26 ans), arrivé l'été dernier en provenance de Montpellier, à prix d'or (rachat de contrat + contrat supérieur à 35 000 euros mensuels) ne s'est pas imposé au Stade Français. En fin de saison, l'ancien champion du monde des moins de 20 ans (2018) s'est même retrouvé en tribunes.
Celui qui avait été recruté par l'ancien directeur du rugby Laurent Labit, parti en mars, n'était pas sur la feuille de match lors des trois dernières journées. Au regard de son salaire, le Stade Français verrait d'un bon oeil son possible départ. La solution pourrait venir de Toulon qui perdra cet été le Gallois Dan Biggar (retraite) mais qui comptera encore sur l'Italien Paolo Garbisi ainsi que le recrutement de Mateo Garcia (UBB).
Si Enzo Hervé (790 minutes de jeu cette année avec le RCT) a récemment déclaré à Rugbyrama qu'il allait honorer sa dernière année optionnelle de contrat au RCT, la donne pourrait finalement changer. D'autant que Louis Carbonel connait très bien le Rugby Club Toulonnais. Club où il a été formé, mais qu'il a quitté en 2022 pour rejoindre Montpellier, sous fond de brouille avec Patrice Collazo, l'entraîneur de l'époque, et où il est encore très apprécié par les supporters de la Rade mais aussi par le staff varois.
« Si on a l'opportunité, un jour, de le récupérer, on le fera, disait ainsi le manager Pierre Mignoni l'année passée avant la signature de Carbonel à Paris. Louis est un très bon joueur, c'est un joueur dont Toulon peut envisager le retour dans les années à venir. » Depuis, l'ouvreur international (5 sélections), pas vraiment épanoui ces derniers mois, n'a jamais réussi à s'imposer et retrouver son meilleur niveau. Si l'échange est dans les tuyaux, il reste néanmoins plusieurs étapes à valider. À savoir l'aval des deux joueurs, celui des dirigeants dont le président toulonnais Bernard Lemaitre puis un accord entre les deux clubs.
Carbonnel c'est une vraie girouette
Posté 08 juin 2025 - 21:53
Le Stade Français et Toulon vers un échange entre Louis Carbonel et Enzo Hervé ?
L'avenir des deux ouvreurs est à l'étude (L'Equipe)
Alors que le Stade Français a assuré son maintien en Top 14, l'avenir de Louis Carbonel à Paris pourrait connaitre un nouveau tournant. Un échange avec Enzo Hervé (Toulon) est à l'étude.
Maxime RAULIN (avec J.-F.P.)publié le 8 juin 2025 à 14h58mis à jour le 8 juin 2025 à 15h17
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Le Stade Français s'est sauvé lors de la dernière journée du Top 14 à la faveur de sa victoire sur le Castres Olympique (21-10) samedi. Mais avant même de connaître l'issue définitive de cette saison, les dirigeants parisiens travaillent depuis plusieurs semaines sur les contours de l'effectif pour la saison prochaine. Si le staff est désormais au complet autour de l'Anglais Paul Gustard qui a été conforté (il vient de prolonger pour deux saisons), le recrutement est à l'arrêt.
La faute au salary cap. Le club de la capitale n'a aucune de marge de manoeuvre. À l'instant T, seul le demi de mêlée Tawera Kerr-Barlow et le pilier Thierry Paiva, tous deux en provenance du Stade Rochelais, ont été recrutés. Sans oublier le retour de prêt du centre Noah Nene (Dax). Les dirigeants parisiens étudient donc plusieurs pistes pour tenter de libérer de la masse salariale.
lire aussiHans-Peter Wild cherche toujours un « partenaire français »
Selon nos informations, un échange entre les ouvreurs Louis Carbonel et Enzo Hervé (Toulon) est à l'étude dans ce sens. Carbonel (26 ans), arrivé l'été dernier en provenance de Montpellier, à prix d'or (rachat de contrat + contrat supérieur à 35 000 euros mensuels) ne s'est pas imposé au Stade Français. En fin de saison, l'ancien champion du monde des moins de 20 ans (2018) s'est même retrouvé en tribunes.
Celui qui avait été recruté par l'ancien directeur du rugby Laurent Labit, parti en mars, n'était pas sur la feuille de match lors des trois dernières journées. Au regard de son salaire, le Stade Français verrait d'un bon oeil son possible départ. La solution pourrait venir de Toulon qui perdra cet été le Gallois Dan Biggar (retraite) mais qui comptera encore sur l'Italien Paolo Garbisi ainsi que le recrutement de Mateo Garcia (UBB).
lire aussiLe Stade Français maintenu en Top 14 après sa victoire à domicile face à Castres
Si Enzo Hervé (790 minutes de jeu cette année avec le RCT) a récemment déclaré à Rugbyrama qu'il allait honorer sa dernière année optionnelle de contrat au RCT, la donne pourrait finalement changer. D'autant que Louis Carbonel connait très bien le Rugby Club Toulonnais. Club où il a été formé, mais qu'il a quitté en 2022 pour rejoindre Montpellier, sous fond de brouille avec Patrice Collazo, l'entraîneur de l'époque, et où il est encore très apprécié par les supporters de la Rade mais aussi par le staff varois.
« Si on a l'opportunité, un jour, de le récupérer, on le fera, disait ainsi le manager Pierre Mignoni l'année passée avant la signature de Carbonel à Paris. Louis est un très bon joueur, c'est un joueur dont Toulon peut envisager le retour dans les années à venir. » Depuis, l'ouvreur international (5 sélections), pas vraiment épanoui ces derniers mois, n'a jamais réussi à s'imposer et retrouver son meilleur niveau. Si l'échange est dans les tuyaux, il reste néanmoins plusieurs étapes à valider. À savoir l'aval des deux joueurs, celui des dirigeants dont le président toulonnais Bernard Lemaitre puis un accord entre les deux clubs.
Posté 09 juin 2025 - 04:35
carbonel va s imposer quelque part ?
Non, pour moi il a toujours été surcoté comme un autre Toulonnais Méric
Posté 09 juin 2025 - 08:22
C'est fou quand ce type d'arrangements...pas étonnant après que les clubs cherchent à s'en sortir par tous les moyens...
Posté 09 juin 2025 - 16:52
On touche pas au vieux gaulois, et puis a son époque les 10 n avaient pas besoin de défendre les 3eme lignes faisaient le boulot
![]()
Posté 09 juin 2025 - 22:09
Oui, mais vu que le Vieux s'en vantait...
Mais comme tu dis, non seulement ils faisaient le boulot mais personne n'osait toucher le 10 ni même pensait à le chambrer.
Maintenant on a des troisièmes lignes qui font le boulot des deuxièmes lignes qui eux, se prennent pour des 9.
Tiens ça me fait penser qu'il faut que j'aille en mettre une couche au grand vioque vu que personne n'en parle.
Merceron revient, y'a des tartes à balancer à tous ces tire-au-flanc.
J ai vu une vidéo cet après midi, c'est un des mecs du moscato show qui dit a Imbernon que l USAP est un bon club pour la D2, et l autre lui répond, qui s est ce grand couillon, si je le croise il va s'en souvenir.
Faut encore pas l emmerder le grand
Posté 09 juin 2025 - 22:48
J ai vu une vidéo cet après midi, c'est un des mecs du moscato show qui dit a Imbernon que l USAP est un bon club pour la D2, et l autre lui répond, qui s est ce grand couillon, si je le croise il va s'en souvenir.
Faut encore pas l emmerder le grand![]()
Posté 10 juin 2025 - 08:05
J ai vu une vidéo cet après midi, c'est un des mecs du moscato show qui dit a Imbernon que l USAP est un bon club pour la D2, et l autre lui répond, qui s est ce grand couillon, si je le croise il va s'en souvenir.
Faut encore pas l emmerder le grand![]()
Posté 10 juin 2025 - 08:31
J'ai écouté la séquence. Imbernon ne semblait pas super étanche...
Il a quoi ? 75 ans ? C'est normal d'avoir des fuites à cet âge.
Et puis, ça a au moins le mérite d'exciter Gourine.
Posté hier, 17:40
Il a quoi ? 75 ans ? C'est normal d'avoir des fuites à cet âge.
Et puis, ça a au moins le mérite d'exciter Gourine.
Posté hier, 20:07
Non, pour moi il a toujours été surcoté comme un autre Toulonnais Méric
Assez de cet avis, c'est un bon 10 mais pour moi je te rejoins il est sur côté et sa difficulté à s'imposer , l 'illustre parfaitement !
Posté hier, 21:07
j'espère que Gelez va suivre son évolution en ProD2, dans la lignée des recrues Tyrossaises antérieures
L’ouvreur et buteur tyrossais de 20 ans, recruté par le Stade Montois, jouera ce dimanche 15 juin 2025 son dernier match sous ses couleurs d’origine. Ses proches dressent son portrait avant la finale de Fédérale 1
Il avance sur le terrain comme il parle dans la vie. Sans précipitation mais avec assurance. Âgé de 20 ans seulement, Iban Laclau fait partie de ces joueurs de rugby qu’on écoute autant qu’on les regarde. Il porte le maillot de l’US Tyrosse floqué du numéro 10 mais, chez lui, c’est plus qu’un poste : c’est une manière d’être.
Sous son allure de Grand Duduche, le filiforme personnage de Cabu, le garçon s’avère être un meneur d’hommes sans fioriture, qui parle de rugby avec lucidité et passion. Chez lui, l’envie n’a rien d’un vacarme. Le plaisir du jeu prévaut au plan de carrière. « Devenir professionnel, c’était un rêve, pas un objectif », explique celui qui s’apprête, ce dimanche 15 juin, à jouer son 52e et dernier match avec l’équipe fanion de l’US Tyrosse. La finale de Fédérale 1 face à Drancy-Saint-Denis, à Cognac.
« C’est difficile de le voir partir du club, mais c’est une opportunité qu’il se doit de saisir », pointe Paul Dubert. Entraîneur de l’US Tyrosse, après en avoir été le demi de mêlée et le capitaine, il fait partie de ces quadragénaires qui ont « vu naître » ce blond aux yeux clairs qui portera la saison prochaine les couleurs du Stade Montois. Bien avant qu’il assume un rôle stratégique au sein de l’équipe tyrossaise, par l’orchestration de ses offensives et par ses buts, Iban Laclau a été « le petit qui nous renvoyait les ballons aux entraînements et venait nous embêter dans les vestiaires ».
Iban et son frère, Yon, ont été élevés dans le village voisin de Saubion. Mais le stade de la Fougère a été leur second jardin, comme le rappelle l’aîné des frères Laclau. « Iban avait beau supporter Biarritz, avec Dimitri Yachvili et Damien Traille, notre idole restaient les Tyrossais, Paul Dubert le premier. Notre mère râlait quand on rentrait trop tard des entraînements ou du repas du vendredi soir auxquels nous amenait notre père. »
« Iban, c’est un compétiteur. Il est insupportable quand il perd et peut même être agaçant quand il gagne »
Connu sous le surnom de « Popo », Christian Laclau reste l’un des dirigeants emblématiques du club tyrossais, quelques saisons après en avoir cédé la coprésidence. Autant que Yon, l’un des arrières de l’effectif de l’UST âgé de 25 ans, Iban a su creuser son sillon dans la constance. Sans tenir compte du qu’en-dira-t-on, de l’école de rugby jusqu’à l’équipe fanion. « Cela n’a pas forcément dû être facile pour eux, surtout l’année où François (Gelez, NDLR) a commencé à les faire jouer tous les deux », pointe Popo.
À l’US Tyrosse, club formateur et ancré dans son terroir, l’histoire d’Iban Laclau s’inscrit comme une suite logique de celle naguère vécue par François Gelez. « Son père était l’entraîneur qui m’a fait débuter en première. J’en ai fait de même avec son fils, quand j’ai compris qu’avec son potentiel, le faire jouer au plus tôt avec les seniors lui permettrait de passer un cap », se souvient l’ancien ouvreur international tyrossais, aujourd’hui membre du staff de l’ASM Clermont Auvergne.
Sa « force de caractère » en fait son moteur selon son actuel coach, Paul Dubert. L’ancien manager tyrossais, François Gelez, tient un discours du même ton : « Son meilleur entraîneur, c’est lui-même. Iban est aussi exigeant envers lui-même qu’envers les autres. Il peut être excessif, parce que passionné par le rugby. » Son frère aîné confirme d’un sourire. « Iban, c’est un compétiteur. Il est insupportable quand il perd et peut même être agaçant quand il gagne. »
Depuis ses 18 ans, Iban assume ainsi le rôle stratégique que lui impose son positionnement sur les terrains. En trois saisons, il est devenu le maître du tempo de la formation rouge et bleu. Il orchestre les attaques sans ostentation. Et si l’équipe tyrossaise joue cette saison les tout premiers rôles en Fédérale 1, après avoir obtenu sa montée en Nationale 1, Iban Laclau incarne l’équilibre d’une génération qui conjugue instinct et rigueur.
Parmi ses atouts majeurs, le numéro 10 tyrossais peut aussi compter sur son pied droit. « Depuis qu’il est gamin, il a toujours tapé dans un ballon. Les descentes d’eau de la maison en portent encore les marques », relève son père. Avec sa longueur lui permettant d’expédier le jeu dans le champ profond, quand la marée adverse monte et que le ballon est trop glissant pour le distribuer, le pied de Laclau est un remède.
BoussoleSa précision a également fait du garçon un buteur à l’efficacité certaine. Boussole de l’US Tyrosse, avec 338 points inscrits depuis le début de cette saison, Iban Laclau aligne les pénalités comme des balises sur une route vers un titre.
Alors que Tyrosse cherche à être sacré champion de Fédérale 1, quarante-quatre ans après son dernier succès, tous les regards se tournent vers lui. Pas parce qu’il les réclame mais parce qu’il les attire, malgré lui.
En finale, chaque occasion de marquer peut valoir un bouclier. Le sort du match pourrait bien tenir sur un tee. Un cadeau d’au revoir que le numéro 10 tyrossais rêve d’offrir à son club.
Posté hier, 22:27
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