251 réponses à ce sujet

[nain jaune]

parce qu'on joue le haut du tableau ? 

Ben oui.

C'est notre génie qui l'a dit.

[Nathou]

Ce qui leur manque c'est un 10 de niveau international .

Excellent !

[Silhouette]

C'est bon serieux...

J'allais régulièrement sur les Capitouls (moins maintenant) et je ne me faisais pas jeter des cailloux quand je postais.

Franchement le sectarisme sportif sur un forum...

Non mais les supporters toulousains c'est sympa. Par contre j'avoue que moi aussi, les faux montages juste pour provoquer et foutre la merde, je comprends pas trop l'interet. On serait dans une periode hyper sereine ou tout roule et tout se passe bien, je dis pas, mais la .. 

[Alex chocolatines]

Non mais les supporters toulousains c'est sympa. Par contre j'avoue que moi aussi, les faux montages juste pour provoquer et foutre la merde, je comprends pas trop l'interet. On serait dans une periode hyper sereine ou tout roule et tout se passe bien, je dis pas, mais la .. 

Quand la ficelle est grosse, faut pas gober. Et puis la vie est parfois triste et compliquée, un peu de déconne dans ce monde morose redonne quelques instants de sourire.

[Eria]

Ratuva associé avec Ceyte Tolo en huit, Raka a l'aile,un banc cotaud et une charnière intéressante, ça va le faire et Haut Gara s'égara...

[Codorplusàvie]

Ce serait mal calculer que de croire qu'en les tenant devant, ça devrait passer.
Ils sont aussi très bons derrière.
Il ne va pas falloir les laisser galoper.
Les prendre haut et vite sera primordial.

[Mammoth]

 

 

 

Après, je suis content de revoir Dessaigne ça commençait à faire long (surtout pour lui je pense), étonné de l'absence de Fainga'a.

oui mais de là à le prendre en photo pendant qu'il est aux toilettes c'est un peu déplacé

[darkminimouf]

Les supporters, peu importe leur club, sont tous les bienvenus à condition quil respectent la charte du forum.

On reste sur le sujet ?

[frednirom]

Non mais les supporters toulousains c'est sympa. Par contre j'avoue que moi aussi, les faux montages juste pour provoquer et foutre la merde, je comprends pas trop l'interet. On serait dans une periode hyper sereine ou tout roule et tout se passe bien, je dis pas, mais la .. 

mais pête un coup !

[peewee]

Notre banc est meilleur que le leur. Je dirais pas bien meilleur, mais pas loin.
À nous dêtre dans le match à la 60eme. Si cest le cas, on gagnera.
Si non, match de la peur face à Pau

[Patator]

Quand la ficelle est grosse, faut pas gober. Et puis la vie est parfois triste et compliquée, un peu de déconne dans ce monde morose redonne quelques instants de sourire.

Faudrait que ce soit drôle. Ce serait un bon début.

[Babé03]

Cohésion, valeurs, conseil des sages... Qui sont les leaders du vestiaire de l'ASM Clermont ? Avant la rencontre de l’ASM Clermont à la Rochelle ce samedi (16 h 35), nous avons décrypté le fonctionnement des leaders dans le vestiaire clermontois.

« Un leader est une personne qui, à l’intérieur d’un groupe, prend la plupart des initiatives, mène les autres membres du groupe et détient le commandement. » Telle est la définition donnée par le Larousse.

Dans le vestiaire clermontois, cette description se vérifie également. Mais, dans la fiche de poste imaginée par Christophe Urios – et telle que l’exige le manager –, plusieurs autres critères entrent en considération.

« Ce qui va permettre de faire le pont entre le staff et les joueurs, c’est le travail des leaders, tranche l’entraîneur principal de l'ASM. Nous avons fait le choix de mettre des jeunes et des personnes nouvelles. Pour insuffler une nouvelle énergie, cela passe par des gens différents. Ce n’est pas simple. Nous allons les accompagner encore davantage, mais il faut qu’ils prennent plus de responsabilités. » Comment le staff a-t-il mis en place cette nouvelle organisation ? Décryptage.

Baptiste Jauneau et Killian Tixeront, les têtes de pont

Comme les saisons précédentes, Baptiste Jauneau a été nommé capitaine de l’équipe. Par son poste sur le terrain et, surtout, par ce qu’il représente pour l’avenir du club, le demi de mêlée était le candidat tout désigné. Nouveauté : il sera épaulé cette saison par Killian Tixeront. Le troisième ligne est, pour l’heure, le seul vice-capitaine de l’effectif. « Je ne suis pas trop fan de cela habituellement. Je préfère avoir deux vice-capitaines, avoue Christophe Urios. Mais, pour l’instant, nous n’avons pas su trouver un deuxième nom. »

Face à Toulouse, on a vu Killian Tixeront prendre ses responsabilités, notamment en échangeant longuement avec l’arbitre, M. Rousselet, au sujet de la décision concernant l’essai refusé au Toulousain Thomas Lacombre.

Thomas Ceyte et Pierre Fouyssac, des leaders de vie

Là, il s’agit davantage de cohésion. Thomas Ceyte et Pierre Fouyssac doivent être les garants du fameux adage selon lequel un vestiaire qui vit bien est un vestiaire qui performe. « Il faut essayer de faire vivre le groupe en planifiant des moments avec le staff, mais aussi des moments uniquement entre nous, les joueurs. Que l’on essaie de se voir en dehors. C’est un peu le B.A.-BA du rugby pour moi. C’est en dehors du terrain que l’on crée les performances en matchs. Avec mon expérience, je sais ce qu’il faut mettre en place à divers moments de la saison », explique Thomas Ceyte.

Alivereti Raka et Thibaud Lanen, les leaders "valeurs"

La culture du club est un élément essentiel du projet de Christophe Urios. Pour le manager, il est important de mettre en avant des joueurs présents depuis de longues saisons. Alivereti Raka (à l’ASM depuis 11 ans) et Thibaud Lanen (au club depuis 2013) étaient deux candidats naturels.   

Un conseil des sages de huit joueurs

Chaque semaine, Christophe Urios et son staff se réunissent avec le conseil des sages. « Il faut que les joueurs leaders viennent dans mon bureau. Ils doivent savoir ce que l’on va faire et comment on doit le faire. C’est important, car c’est cela qui permet de faire le pont avec le staff. »

Ce conseil des sages incarne cette volonté. Ce groupe de huit joueurs (quatre avants et quatre arrières) est composé de Régis Montagne, Marcos Kremer, Thomas Ceyte, Selevasio Tolofua, Sébastien Bézy, Harry Plummer, Léon Darricarrère et Alex Newsome. 

[el landeno]

Au Stade Rochelais, Jonathan Danty recommence à faire parler de lui

À Bordeaux, le centre maritime a souvent fait jouer derrière lui. © Crédit photo : GUILLAUME BONNAUD / SO

Par Benjamin Deudon

12 septembre 2025  Mis à jour le 12/09/2025 à 19h19.

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Auteur d’une dernière saison sans saveur, le trois-quarts rochelais a signé un premier match percutant à Bordeaux. L’illustration d’une fraîcheur mentale et d’une mise en route nouvelles

Il lui a fallu moins d’une minute pour qu’on se souvienne de sa puissance, et une mi-temps pour rappeler que son jeu ne se limite pas à des charges frontales. Face à l’Union Bordeaux-Bègles, samedi 6 septembre, Jonathan Danty a été au-dessus du lot. Outre un énorme plaquage offensif sur le solide Janse van Rensburg à la 52e seconde, il a été tranchant, préférant souvent la passe avant ou après contact et la prise d’intervalle à la collision – même s’il a fait les trois sur un franchissement, à la 58e minute, pour servir Antoine Hastoy.

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Stade Rochelais - Clermont : les Maritimes s’attendent à un tout autre combat qu’en Gironde

Alors que face à l’UBB, l’intensité avait été élevée en matière de déplacements, le choc contre l’ASM promet une bataille frontale, ce samedi (16 h 35). De quoi jauger la capacité des Jaune et Noir à être complets

Rien d’extraordinaire, au regard du CV du n° 12 international (1,81 m, 110 kg, 29 sélections) ? Oui, mais cela faisait plus d’un an qu’il n’avait laissé pareille impression. Disparu des radars, ou pas loin. S’il était cité, c’était plus comme potentiel 3e ligne qu’en tant que possible titulaire au centre. « Je reste sur une saison quasi-blanche (19 matchs, NDLR) : j’ai joué, j’ai été blessé, j’ai joué, je n’ai pas été bon, j’ai été blessé… Au meilleur de ta forme, on parle de toi positivement ; quand tu es moins bon, un peu absent, on ne parle quasiment plus de toi. Ou en mal. Ça ne m’a jamais dérangé », nous dit-il le 20 août.

« J’ai beaucoup d’appétit »

« Je me concentre sur le groupe, sur la confiance des coaches. Si je suis bon, je sais que j’aurai 150 000 supporters. Sinon, je n’en aurai peut-être qu’une, et ça sera ma mère, sourit-il. Je travaille au maximum pour être meilleur, c’est le plus important. » Or, à 32 ans et 11 mois, Danty apprend encore. Notamment qu’il aurait pu apprendre plus vite : « Brice (Dulin) me disait souvent : « plus tu vieillis, plus tu dois prendre soin de ton corps, te préparer avant de t’entraîner ». Ceux qui avaient arrêté m’avaient toujours prévenu. On ne les croit jamais, c’est la légende du vieux (rires) mais non, c’est la réalité. Quand tout allait bien, je ne me posais pas forcément la question. Mais la saison dernière a été délicate. »

« Si je suis bon, je sais que j’aurai 150 000 supporters. Sinon, je n’en aurai peut-être qu’une, et ça sera ma mère »

« Des blessures qui ne posaient aucun problème il y a cinq ou six ans sont plus dures. Je paie peut-être aussi les pots cassés du manque de discipline de préparation d’avant-entraînement, d’avant-match… », estime le centre. Désormais, il applique la routine du « vieux », donc, « chauffer le genou, faire deux, trois exercices, arriver 20 minutes avant… Pour l’instant, tout va bien. Je n’ai pas raté un entraînement de la présaison. Je n’ai pas le sourire tous les matins (rires) mais je fais en sorte de revenir. »

« Une histoire de confiance »

Cela s’est vu à Bordeaux. « Jo » Danty, qui espère que 2024-2025 l’a un peu plus forgé, n’y aura pas vu une revanche. « Par contre, j’ai beaucoup d’appétit, de fraîcheur mentale. » Du recul, également, avec un genou à gérer au jour le jour. « J’essaie d’être plus à l’écoute de mon ressenti. J’ai dit aux coaches que j’allais jouer le jeu à 100 %, et qu’à 100 %, sans gêne, je serai sur le terrain. Il faut aussi que le staff joue le jeu ; lorsque je lui dis que je suis moyen, ce n’est pas parce que j’ai la flemme. C’est une histoire de confiance. »

« Ceux qui avaient arrêté m’avaient toujours prévenu. On ne les croit jamais, c’est la légende du vieux »

Confiant, il l’est quant à la capacité de réaction rochelaise après un gros échec collectif. « Notre système n’a pas énormément changé mais on essaie de le faire évoluer. On a des joueurs qui se déplacent bien, dans un groupe homogène. On veut pratiquer un jeu qui fonctionne, qui fait gagner : des porteurs qui avancent, avec des libérations rapides pour être en surnombre. »

Ce, avec des renforts jeunes et rapides, manieurs de ballon et avaleurs d’espaces, tels Davit Niniashvili ou Semi Lagivala. De quoi lui mettre la pression ? « Non, on a des qualités différentes, répond le trentenaire en riant. Mais c’est vrai qu’on n’avait pas ces profils à ces postes-là. Ça va amener un peu de variété, d’équilibre. Dans l’évolution du club, c’est hyper important de renouveler les lignes arrière. Peut-être, en effet, qu’on n’avait pas la vitesse nécessaire pour franchir. » Quand bien même, depuis quelques mois, Danty accélère de nouveau. « Je m’accroche. Ça me prend un peu plus d’énergie qu’eux, mais je m’accroche », s’éclaire-t-il dans un grand sourire.

 

 

 

 

[Make ASM Great Again]

Compo sympa. Urios me fait plaisir en ce début de saison.

 

Bon, sur le match, j'y croive pas une seconde. Même le bonus défensif ça me semble un peu trop optimiste, mais heureusement qu'on a la glorieuse incertitude du sport, et aussi au fait qu'on doit s'attendre à + de bonnes surprises de la part d'une équipe moribonde en phase de reconstruction théoriquement ascendante...

En est on vraiment à ce stade ?

[Bart Simpson]

Notre première ligne remplaçante fait peur

Latu: a dû travailler chez dominos pizzas.
Sorin : revient de prêt en pro D2 mais ne m'a jamais convaincu
Luaki: Espoir qui fait sa première feuille

Ils nous manque Wardi/Penverne et Uini/Sclavi

Les absents de la ligne arrière c'est moins grave (seuteni, Leyds et Nowell)

On va découvrir notre nouveau stade sous la pluie.

Bon match