
FRIER Timéo
#1
Posté aujourd'hui, 07:40
#2
Posté aujourd'hui, 07:53
(Il me semble qu'il n'y a pas de H à son prénom.)
- Ptolémée, Bad Zé et jose5 aiment ceci
#3
Posté aujourd'hui, 08:05
C'est intéressant voire même très plaisant de voir des très jeunes pointer le bout des crampons en équipe pro.
J'ai l'impression que si ces gamins présentent de bonnes dispositions et le potentiel requis, le staff n'est pas frileux à les faire jouer, et ça c'est une très bonne chose.
S'il devait rentrer en cours de jeu souhaitons lui la même réussite que pour Guillaud, ce serait un bon début
- clum63_ et Codorplusàvie aiment ceci
#4
Posté aujourd'hui, 08:36
Du coup je remets l'article dans son topic.
Merci Darkminimouf
"Je ne pensais pas remettre un Frier sur une feuille de match" : après avoir coaché le père, Christophe Urios va lancer le fils en Top 14 Arrivé en début de saison en provenance de Bourgoin pour jouer avec les Espoirs, Timéo Frier est catapulté avec les pros de l’ASM ce samedi après-midi à Bayonne (14 h 30). Pour ce baptême du feu, il pourra compter sur la présence en tribunes de son père, Julien, ancien joueur de Christophe Urios au CSBJ.
Tout le monde a déjà expérimenté ce vilain sentiment qui fait, il faut bien l’avouer, un peu mal à l’ego. Tout le monde, pas tout à fait, mais il arrive souvent bien plus vite qu’on ne le croit. Ce dont il est question ici, c’est le coup de vieux. Christophe Urios l’a pris en pleine face cette semaine lorsqu’il a décidé qu’il allait lancer Timéo Frier dans le grand bain du Top 14 face à Bayonne, ce samedi (14 h 30).
« Quand tu fais jouer le fils d’un mec que tu as entraîné, ça fait flipper ! Ça ne te rajeunit pas », souriait le manager de l’ASM Clermont vendredi matin. Car Timéo est effectivement « un fils de ». Celui de Julien Frier très exactement, ancien troisième ligne de Grenoble, mais surtout de Bourgoin-Jallieu dans les années 2000. Le nom de ce dernier avait même, un temps, circulé à l’ASM pour le poste de directeur sportif, finalement attribué à Didier Retière en décembre 2021.
« Avec Christophe, on s’est fréquenté pendant deux ans (2005-2007, NDLR), confirme l’ex-capitaine du CSBJ. Il y a eu des hauts et des bas, parce que j’ai du caractère et que lui aussi. Mais j’ai été très touché par le texto qu’il m’a envoyé jeudi soir où il me disait qu’il ne pensait pas avoir à remettre un jour un Frier sur une feuille de match. »
Julien Frier
Une véritable fierté pour ce papa, avant tout, qui n’a pas hésité à sauter dans un avion avec sa femme et un ami, ce vendredi, depuis Genève pour rallier le Pays basque et assister à cette grande première. « J’ai remercié Christophe pour la confiance qu’il accorde à Timéo, mais aussi de pouvoir me permettre de vivre des émotions comme je vais sûrement en traverser ce week-end. Après une carrière, quand on reprend le chemin de la vie active, ces émotions-là, on ne les retrouve pas. Alors quand on peut les revivre à travers ses enfants… »
Si ce n’est pas vraiment une surprise pour Julien Frier de voir son fils toucher le monde professionnel - « je le sentais, je voyais bien que ce gosse avait des qualités » - il faut bien avouer que tout est allé très vite pour le centre de 19 ans, capable d’évoluer à l’aile. « Il y a encore cinq mois, il jouait en Crabos avec Bourgoin, se baladait dans un fourgon huit places avec un repas tiré du sac, rigole son père. Et là, il se retrouve dans un avion pour aller disputer un match de Top 14. »
"Timéo rêvait de jouer pour l'ASM"
Membre de l’équipe des U18 Nationaux de Bourgoin champions de France, il y a deux ans, avec un certain Axel Guillaud, Timéo Frier n'a, en revanche, pas mis longtemps à prendre sa décision lorsque l’ASM est venue le solliciter l’an dernier. « Il a commencé à jouer au rugby vers 5-6 ans, mais très vite, il a supporté l’ASM. Il rêvait de jouer pour ce club, poursuit son père. Des clubs de Pro D2 et de Top 14 sont bien venus aux renseignements, mais il n’a même pas réfléchi. »
Un choix que le paternel a accompagné. « Je suis là pour le conseiller, pas pour prendre des décisions, explique-t-il. J’essaie surtout de ne pas trop m’immiscer dans tout ça, parce que j’en ai moi-même parfois souffert. Mais je reste vigilant. » Notamment à ce que son garçon reste fidèle aux valeurs de travail et d’humilité. Comme il le fait, aussi, avec son fils aîné, Gabin, arrière au CSBJ (Nationale). « J’ai fait deux trois-quarts. Ils jouent là où j’aurais aimé jouer. Mais je n’avais pas les jambes qu’ils ont. »
- twiX, sékito sancy, Jicé et 3 autres aiment ceci
#5
Posté aujourd'hui, 08:55
- Polochon aime ceci
#6
Posté aujourd'hui, 10:19

#7
Posté aujourd'hui, 11:54
impatient de le voir débuter
#8
Posté aujourd'hui, 11:56
#9
Posté aujourd'hui, 12:03
#10
Posté aujourd'hui, 12:09
On a Frier, Urios a tout compris !
Clair qu'il n’est pas le genre à laisser faire, gare au carton orange
#11
Posté aujourd'hui, 12:10
Sympa tout ça 🙂
#12
Posté aujourd'hui, 12:45
#13
Posté aujourd'hui, 13:22
Entrainement du 10 septembre (Photos Twix)
le petit gars qui a les chaussures orange et qui veut taper Ackaladze... ?
Un essai avec le jeune Timéo Frier 18 ans (dans 10 jours) qui nous arrive de Bourgoin (10-Centre) ?
C'est bien Timéo Frier mercredi à l'entrainement des pros
Vu cet aprem, grand, rentré au centre, avec les mêmes chaussures oranges
Et une belle coupe moine...
Une belle action à 4'35 sur la 2eme mi-temps
Petite Photo de l'entrainement de mardi 14 Octobre
Marquet (19 ans) Frier (18 ans en septembre) Brosset (je ne trouve pas sa date de naissance mais il a encore 17 ans)
Frier, je pense que ça va donner un physique à la Deporteere
#14
Posté aujourd'hui, 15:25
Jolie grattage
#15
Posté aujourd'hui, 15:56
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