Et nous, on n'était pas affaiblis contre les roses ? Essaie pas de nous emboucaner
Oui mais j'ai pas trouvé de calembour immonde avec Willis. ![]()
Posted Yesterday, 15:30 PM
Et nous, on n'était pas affaiblis contre les roses ? Essaie pas de nous emboucaner
Oui mais j'ai pas trouvé de calembour immonde avec Willis. ![]()
Posted Yesterday, 15:35 PM
Pour jouer dix minutes par match derrière l'homme le plus fort du monde, Lucu peut bien continuer en EDF jusqu'à 40 ans.
Posted Yesterday, 18:23 PM
Posted Yesterday, 21:54 PM
Oui je crois que MJ avait pris cher pour être rentré en club.il n'est pas au mieux dans son rugby depuis meme 2 ans.
Son jeu est trop monolitique.
apres je suis completement d'accord avec toi, je l'aurais laissé à disposition de son club.
Concernant Jalibert, il me semble qu'on lui avait defoncé la gueule pour avoir demandé de rentrer en club ou bien ma memoire me fait defaut?
Posted Yesterday, 23:25 PM
C'est quand même curieux pour Alldritt
O'Gara avec son rugby basé uniquement sur le défi physique pendant les 3 saisons où La Rochelle a dominé le rugby hexagonal et européen (avec le Stade)
a flingué quasiment tous ses joueurs dont la plupart sont cramés aujourd'hui (seuls les plus jeunes Boudehent et Jégou surnagent aujourd'hui).
Aldritt a beaucoup trop joué pendant cette période et aujourd'hui il est détroné par Guillard, bien plus en forme ...
Une équipe de France qui manque de puissance d après moi. ... Mais peut-être une stratégie de possession et déplacement... Compliqué avec les gazelles Kolbe / Arendse... Bref... Faudra les faire galloper les gros Afrikaners.... Montagne touche enfin le sommet.... la cime du Rugby Mondial.. Content et Bon courage a lui
Notre 3ème ligne (Boudéhent-Guillard-Jégou) me semble très puissante et peu ... mobile, pourtant.
Posted Today, 00:00 AM
Posted Today, 06:54 AM
Il y a des défaites qui restent à jamais gravées dans la mémoire collective. On ne sait pas si ce quart de finale de Coupe du monde 2023 doit être rangé au Panthéon des revers du sport tricolore, aux côtés de Séville 82, mais dans l’univers du rugby, ce funeste 15 octobre 2023 restera longtemps comme un traumatisme.
Lancez un amateur de rugby sur le sujet, et celui-ci évoquera immédiatement le contre de Cheslin Kolbe sur la transformation de Thomas Ramos ou l’action d’Eben Etzebeth interceptant la passe sautée de Damian Penaud alors que la France pouvait prendre le large.
Un souvenir comme une pièce de plus dans la machine des polémiques arbitrales. Bref, tous les ingrédients d’un drame parfait. Il fallait être au Stade de France ce soir-là pour ressentir la détresse de tout ce peuple bleu quittant l’enceinte dyonisienne complètement hébété.
Il fallait voir Antoine Dupont, le visage entre les mains, en pleurs, au centre de la pelouse. Une image rare tant l’enfant de Castelnau-Magnoac a tout raflé sur son passage. Laurent Labit, alors entraîneur de l’attaque française, l’a avoué dernièrement dans les colonnes du Midi Olympique. Il n’avait jamais pu revoir les images du match depuis. Souvenir trop douloureux. Alors forcément, ces retrouvailles au Stade de France ont une saveur particulière.
« Ce quart de finale 2023 est un match qui est resté dans les mémoires de nos proches et de nos familles, avoue l’entraîneur des avants William Servat. Cela a créé des stigmates pour les participants. Quand vous croisez des personnes dans la rue et qu’elles vous racontent qu’elles ont passé une semaine terrible après, c’est que tout le monde a été marqué. »
La digestion fut lente dans les rangs tricolores. Elle a duré bien plus d’une semaine. Le groupe a semblé traîner sa peine durant le Tournoi 2024. Mais de l’eau a coulé sous les ponts de la Seine depuis. Aujourd’hui, les joueurs tricolores jurent être passés à autre chose.
« Il ne reste plus grand-chose »« On n’est plus du tout en mode revanche. On est concentrés sur notre objectif de 2027. Sur le coup, il y a eu beaucoup de frustration et de déception. Mais maintenant, ça fait deux ans. On est tous plus ou moins passés à autre chose. Pour ma part, il ne reste plus grand-chose de cette défaite », a concédé l’ailier Louis Bielle-Biarrey.
Les 80 .00 supporters français auront, eux, inévitablement dans un coin de leur tête des flashs de cette soirée d’octobre 2023. Même si ce test-match ne vaudra jamais une qualification en demi-finale de Coupe du monde, la symbolique demeure trop forte.
« Il serait difficile de nier qu’ils aient (les joueurs et le staff français) des regrets concernant ce match et qu’ils aimeraient y remédier », a souligné l’entraîneur adjoint des Springboks Felix Jones.
L’occasion rêvée de chasser définitivement les fantômes du Stade de France.
Et surtout de lancer idéalement la campagne vers le Mondial 2027, avec un succès face à la référence actuelle.
Posted Today, 07:08 AM
L'imminence de la revanche ce samedi au Stade de France (21h10), deux ans après un quart de sinistre mémoire (28-29) offre un bon prétexte pour se replonger dans le plus récent « cold case » du rugby français. Le 15 octobre 2023, peu avant minuit, le coupable semblait tout trouvé pour de nombreux supporters tricolores : l'arbitre néo-zélandais Ben O'Keeffe.
Antoine Dupont en personne avait partagé sa frustration en conférence de presse : « Je ne suis pas sûr que l'arbitrage ait été au niveau de l'enjeu. » Parmi les situations qui continuent de faire parler aujourd'hui, nous en avons sélectionné quatre cruciales afin de tenter d'apaiser le débat et d'ébranler le mythe du scandale.
Alors que les Bleus mettent le feu dans la défense sud-africaine et sont tout proches d'un deuxième essai, Eben Etzebeth bondit et tend son bras droit pour couper la passe de Damian Penaud. Le ballon tombe au sol. Vers l'avant ? Tandis que le Stade de France réclame une faute qui pourrait entraîner une pénalité (voir un essai de pénalité puisque Etzebeth est le dernier défenseur) et un carton jaune, O'Keeffe signale dans son micro que le deuxième-ligne sud-africain tente d'attraper le ballon et que celui-ci retombe vers l'arrière.
Les Boks récupèrent la possession et peuvent se dégager. En revoyant la séquence encore et encore, et loin du tumulte du direct, il demeure difficile d'estimer si le ballon retombe vers l'avant ou non. Dans cette situation 50-50, O'Keeffe suit sa première impression.
Dans les 22 mètres sud-africains, Jonathan Danty tente de gratter le ballon des mains de Frans Malherbe. Sa position est illicite et O'Keeffe le sanctionne d'une pénalité. Mais l'arbitre ne voit pas le déblayage tête la première de Pieter-Steph Du Toit sur le centre tricolore. Celui-ci reste au sol un long moment, sonné, comme un an auparavant quand ce même Du Toit avait heurté le visage du Français d'une manière similaire lors du test-match à Marseille (30-26).
Uini Atonio demande au Néo-Zélandais de vérifier l'action mais celui-ci réfute. Sur cette situation, le troisième-ligne sud-africain aurait dû être sanctionné. Mais la faute incombe moins à O'Keeffe qu'à son arbitre vidéo, Brendon Pickerill, qui passe à côté de la brutalité et n'alerte pas son collègue.
C'est l'action symbolique de ce quart de finale. Les Bleus viennent d'égaliser grâce à un essai de Peato Mauvaka et Thomas Ramos, en coin, voit sa tentative de transformation contrée. Une situation extrêmement rare, encore plus impressionnante vu la distance parcourue par Cheslin Kolbe (25 mètres).
Ce dernier expliquera dans le documentaire « Chasing The Sun 2 » qu'il connaissait parfaitement le rythme de buteur de son ancien partenaire à Toulouse, et qu'il avait pu déclencher sa montée au moment où Ramos amorce sa course d'élan.
Après le coup de sifflet final, TF1 a diffusé un plan large de la transformation pour jauger si Kolbe n'était pas parti avant que le buteur français « commence sa course ou amorce son coup de pied » comme le stipule le règlement. Là encore, très difficile de juger : entre le premier mouvement presque imperceptible de Ramos et le début de la course de Kolbe, cela se joue au dixième de seconde. En tous les cas, l'arbitre estimera que « la montée est bonne, le timing est bon », et aucun joueur français ne bronchera sur le terrain.
Il reste encore une douzaine de minutes à jouer mais, rétrospectivement, cette pénalité donnée aux Sud-Africains ressemble à celle du « game over ». Alors qu'ils ont un bon ballon à jouer dans le camp des Boks, les Bleus reculent et Cameron Woki subit la pression sur la ligne médiane. Kwagga Smith surgit et va au contest. O'Keeffe le récompense d'une pénalité lointaine que convertira Handré Pollard pour mettre la France à distance (+ 4).
Mais cette faute, O'Keeffe aurait dû la siffler contre l'Afrique du Sud. Car l'attitude de Smith est illicite : le troisième-ligne pose clairement son bras droit au sol pour conserver l'équilibre. L'action se déroule très rapidement et l'arbitre est de l'autre côté du ruck au moment de la faute, mais le ralenti diffusé dans les écrans du stade ou l'intervention de l'arbitre vidéo auraient pu retourner la pénalité.
« Après les matches de poule, pour les quarts de finale, il a été décidé de moins faire appel aux images, regrettait Fabien Galthié dans L'Équipe quelques semaines après le quart. Pour aller plus vite, avoir moins de discussion, il a été décidé de laisser l'arbitre de champ prendre un maximum de décisions. » Celle-ci a coûté cher aux Bleus. Mais elle ne peut masquer leur propre friabilité.
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