670 réponses à ce sujet

[marco43]

Disons que pour une CDM par exemple, il ne faudrait pas qu'on les croise sur notre chemin, ni en poules, ni en phase finale, il faudrait qu'ils soient éliminés avant (mais par qui ?) !

les croiser en poule, c'est la meilleure chose qui pourrait nous arriver, on jouerait la seconde place et ne les recroiser qu'en finale aprés avoir éliminé les blacks , les anglais, les australiens, les irlandais. ouille ça fait du monde

[grospaquet33]

Même avec un pack dominé, j'ai eu l'impression que les arrières avaient eu des opportunités qu'ils ont mal converties.

Je ne comprends pas comment Fickou peut être titulaire dans cette équipe.

Et LBB en deçà de son niveau habituel.

Pourtant Galthié est assez gentil pour nous l’expliquer à chaque fois!

 

pour LBB, comme Penaud d’ailleurs, ils sont plus efficaces dans notre système de jeu à l’UBB. Forcément en edf, quand tu es dans un système de non-jeu, ils ont plus de mal.

[Make ASM Great Again]

NTK ne devrait pas être le 10, fickou le 12 ou 13. Tao qui n’avance même pas en sortie de banc. Aldegheri pénalisé 2 fois en mêlée…

 

Ca fait des années qu'jy dit... NTK en 10 c'est bien, mais souvent juste assez bien, voir moyen. Il ne pèse pas vraiment sur un match (à part un exploit individuel de temps en temps qu'il ferait à n'importe quel poste de toutes façons). En centre c'est nettement plus crédible. Et ça laisse la place à un vrai grandisse.

[grospaquet33]

Ça fait 4 a la suite non ?

On a une équipe intéressante, mais hier c était le top niveau

On gagne une encyclopédie? 

 

Ca fait des années qu'jy dit... NTK en 10 c'est bien, mais souvent juste assez bien, voir moyen. Il ne pèse pas vraiment sur un match (à part un exploit individuel de temps en temps qu'il ferait à n'importe quel poste de toutes façons). En centre c'est nettement plus crédible. Et ça laisse la place à un vrai grandisse.

Meme si admettons tu mettais Jalibert, encore faut il que l’EDF joue dans ce qui ressemble à ce qu’on fait à l’UBB ou le ST. 
si c’est pour faire du non jeu et passer des plats, autant garder NTK ou Segonds ou qui tu veux. 

[Pilou]

Pourtant Galthié est assez gentil pour nous lexpliquer à chaque fois!
 
pour LBB, comme Penaud dailleurs, ils sont plus efficaces dans notre système de jeu à lUBB. Forcément en edf, quand tu es dans un système de non-jeu, ils ont plus de mal.

Au final, Galthié avec probablement le meilleur effectif de tous les temps en EDF, en tous cas des 30 dernières années, ses résultats ne sont pas dingues.

Car même en Europe, on est pas ultra dominant non plus.

Et dans le jeu, toujours le sentiment que ce qui est produit est bien en deçà du potentiel de cette équipe.

Des Penaud ou LBB, c'est quand même pas tous les ans que des talents comme ça sortent des centres de formation..

[InASMWeTrust]

Lucu, bof, ne faudrait il pas lancer Jauneau ?
Oui, je sais, il n' a pas été super bon en NZ.
Mais Lucu, 33 balais, toujours remplaçant n'incarne pas l'avenir.
Ca me fait penser au Tsar au talonage en son temps...

Le problème de Jauneau c'est qu'il incarne pas grand en chose en club, déjà... Sauf accident je pense que Lucu sera le numéro 3 en 2027. Expérimenté et acceptant ce rôle. Il reste donc une place a prendre, sauf si un joueur explose d'ici là.
J'ai regardé ce matin le match en accéléré (pas vu hier soir). Là où je rejoins d'autres commentaires sur Erasmus, c'est sur sa faculté a s'adapter. On voit le jeu Sudaf comme monolithique et basé sur le physique. C'est ce dont rêve FG, mais les Sudafs ne construisent pas du non-jeu. Ils ont un système qui permet de contrer l'impact mais surtout de transformer leur domination. L'évolution des lignes arrières, avec des mecs capables de créer de l'incertitude, va les rendre très difficile à prendre. C'est d'autant plus marquants quand on voit ce qu'on fait en EDF avec nos talents offensifs.

[Pilou]

Et c'est comme à l'ASM avec Urios, le sentiment qu'au bout de plusieurs années et avec des moyens supérieurs à ses prédécesseurs, Galthié ne fait pas vraiment progresser l'équipe.

[Gourine63]

Je suis quand même content que larbitre se soit souvenu du fait que les atomes ne peuvent pas vraiment entrer en contact les uns avec les autres, sans quoi il aurait été obligé de pénaliser Marx quand il pose les mains au sol avant de gratter.

[InASMWeTrust]

L'impression que les changements qu'on a vus chez les U20 sudAfs, tournés vers le jeu, sont en train de se transférer vers les A. Vous verrez qu'en 2027 les Sudafs vont nous donner des leçons de French Flair quand on jouera comme des sudAfs des années 2000 😂

[La Berthe]

Face à l'Afrique du Sud, une mêlée chahutée et un banc inefficace : « C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements. »

La mêlée française, peu expérimentée, a souffert la comparaison face à son homologue sud-africaine. Et le banc des remplaçants, vite mis à contribution, n'y a rien changé.

En alignant le pilier gauche Baptiste Erdocio et le pilier droit Régis Montagne, deux sélections chacun avant le coup d'envoi, Fabien Galthié savait que sa mêlée, malgré la présence de l'expérimenté talonneur Julien Marchand (46 sélections), allait être ciblée par l'Afrique du Sud. Si la première mêlée ordonnée, après seulement deux minutes et trente secondes de jeu, s'est déroulée sans encombre, la première ligne tricolore a pris une première fois la marée à la douzième minute. Pas qu'un peu. Elle a été enfoncée offrant trois points aux Sudafs.

Si les Bleus ont rendu la monnaie de leur pièce au pack des Boks (37e), la seconde pénalité concédée dans l'exercice de la mêlée fermée l'a été peu avant l'heure de jeu (57e). Sans aucun doute un premier tournant. Alors que les Bleus dominaient cette entame de seconde période, ils restaient stériles dans la zone de marque. Cette pénalité a anéanti le temps fort de l'équipe de France. Point de départ choisi par le rouleau compresseur sud-africain pour enfoncer le clou. La mêlée française a enfin été pénalisée une troisième fois (73e). Dans la foulée, les Springboks ont choisi la touche pour enclencher un nouveau maul dévastateur, comme celui de l'heure de jeu.

Des débutants en difficulté

Interrogé à deux jours du choc sur le manque d'expérience de son pack, le sélectionneur avait répondu : « Il ne faut pas remettre en question ces joueurs qui débutent, c'est un peu vexatoire. Ce sont les deux meilleurs piliers du moment. Ils ont hâte de montrer ce qu'ils peuvent faire face aux meilleurs. Ils ont performé en club et à l'entraînement avec nous. Le challenge est énorme, mais pour l'ensemble du pack et des remplaçants. » On a vu. Régis Montagne et Baptiste Erdocio ont souffert. Mais leurs deux suppléants, Jean-Baptiste Gros et Dorian Aldegheri (pénalisé à deux reprises), entrés en jeu très tôt (47e), ont connu les mêmes difficultés, voire pire.

« En mêlée, tu es à 50 % sur la première mi-temps, et tu charges encore plus sur la seconde avec les anciens que sont Gros et Aldegheri, pose Sébastien Calvet, ancien sélectionneur des moins de 20 ans, champion du monde en 2023. C'est le casse-tête du rugby français et l'unique chantier du quinze de France de succession au poste. Comme on l'entend souvent : "no scrum, no win". C'est capital de trouver des tauliers et des mecs capables d'être dominants sur la mêlée, sinon on ne gagnera pas la Coupe du monde en 2027. »

L'ombre du pilier droit Uini Atonio (68 sélections), blessé, a lourdement pesé. Sans oublier les absences du pilier gauche Cyril Baille (56 sélections) et du talonneur Peato Mauvaka (42 sélections). Avec un effet domino : contrairement aux habitudes, le banc des remplaçants n'a pas pesé. On l'a déjà dit, Gros et Aldegheri ont souffert. Mais Guillaume Cramont, qui fêtait sa première sélection, et même l'expérimenté Romain Taofifenua (58 sélections) n'ont pas eu l'efficacité espérée. Seul le troisième-ligne Oscar Jegou (1 pénalité gagnée) a surnagé.

« C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements, c'est là où ça interroge grimace l'ex-troisième Olivier Magne (89 sélections). Est-ce que ces changements étaient vraiment utiles à un moment où l'équipe de France se débrouillait plutôt mal avec son quinze de départ ? »
Interrogé sur le choix d'un banc en « 6-2 », Fabien Galthié avait simplement déclaré : « C'est par rapport à notre stratégie, à ce qu'on va mettre en oeuvre samedi. » Force est de constater que le plan a foiré...

Publié le dimanche 09 novembre 2025 à
06:51

[InASMWeTrust]

Je suis quand même content que larbitre se soit souvenu du fait que les atomes ne peuvent pas vraiment entrer en contact les uns avec les autres, sans quoi il aurait été obligé de pénaliser Marx quand il pose les mains au sol avant de gratter.

Clairement, sans ça on aurait pas pris un 19-0 en 12 mn 🤔

[cocotte 63]

On a peu près le même sentiment quapres la cdm. Ils ont une dimension physique qui nous use encore et encore et que nous ne sommes toujours pas pret pour tenir face à eux 80 minutes à 23 joueurs.

Encore du travail, beaucoup de travail notamment physique pour nos 5 de devant

Je trouve une fois de plus que lon se separe trop vite du ballon sur quelques coups et que Fickou reste un tres bon joueur mais je prefere les petits jeunes qui arrivent, ils nempêchent quils auront encore beaucoup de travail à faire physiquement pour rivaliser face à Kriel et De Allende !

Montagne est monte crescendo dans son match, et c pas si mal vu ladversité bien mieux quAldegheri par exemple, à revoir, mais il a du bien comprendre lutilité de sa salle de muscu qui est dans son garage hier soir.

Et bravo à Damian, qui dépasse la légende Blanco !

[grospaquet33]

Face à l'Afrique du Sud, une mêlée chahutée et un banc inefficace : « C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements. »

La mêlée française, peu expérimentée, a souffert la comparaison face à son homologue sud-africaine. Et le banc des remplaçants, vite mis à contribution, n'y a rien changé.

En alignant le pilier gauche Baptiste Erdocio et le pilier droit Régis Montagne, deux sélections chacun avant le coup d'envoi, Fabien Galthié savait que sa mêlée, malgré la présence de l'expérimenté talonneur Julien Marchand (46 sélections), allait être ciblée par l'Afrique du Sud. Si la première mêlée ordonnée, après seulement deux minutes et trente secondes de jeu, s'est déroulée sans encombre, la première ligne tricolore a pris une première fois la marée à la douzième minute. Pas qu'un peu. Elle a été enfoncée offrant trois points aux Sudafs.

Si les Bleus ont rendu la monnaie de leur pièce au pack des Boks (37e), la seconde pénalité concédée dans l'exercice de la mêlée fermée l'a été peu avant l'heure de jeu (57e). Sans aucun doute un premier tournant. Alors que les Bleus dominaient cette entame de seconde période, ils restaient stériles dans la zone de marque. Cette pénalité a anéanti le temps fort de l'équipe de France. Point de départ choisi par le rouleau compresseur sud-africain pour enfoncer le clou. La mêlée française a enfin été pénalisée une troisième fois (73e). Dans la foulée, les Springboks ont choisi la touche pour enclencher un nouveau maul dévastateur, comme celui de l'heure de jeu.

Des débutants en difficulté

Interrogé à deux jours du choc sur le manque d'expérience de son pack, le sélectionneur avait répondu : « Il ne faut pas remettre en question ces joueurs qui débutent, c'est un peu vexatoire. Ce sont les deux meilleurs piliers du moment. Ils ont hâte de montrer ce qu'ils peuvent faire face aux meilleurs. Ils ont performé en club et à l'entraînement avec nous. Le challenge est énorme, mais pour l'ensemble du pack et des remplaçants. » On a vu. Régis Montagne et Baptiste Erdocio ont souffert. Mais leurs deux suppléants, Jean-Baptiste Gros et Dorian Aldegheri (pénalisé à deux reprises), entrés en jeu très tôt (47e), ont connu les mêmes difficultés, voire pire.

« En mêlée, tu es à 50 % sur la première mi-temps, et tu charges encore plus sur la seconde avec les anciens que sont Gros et Aldegheri, pose Sébastien Calvet, ancien sélectionneur des moins de 20 ans, champion du monde en 2023. C'est le casse-tête du rugby français et l'unique chantier du quinze de France de succession au poste. Comme on l'entend souvent : "no scrum, no win". C'est capital de trouver des tauliers et des mecs capables d'être dominants sur la mêlée, sinon on ne gagnera pas la Coupe du monde en 2027. »

L'ombre du pilier droit Uini Atonio (68 sélections), blessé, a lourdement pesé. Sans oublier les absences du pilier gauche Cyril Baille (56 sélections) et du talonneur Peato Mauvaka (42 sélections). Avec un effet domino : contrairement aux habitudes, le banc des remplaçants n'a pas pesé. On l'a déjà dit, Gros et Aldegheri ont souffert. Mais Guillaume Cramont, qui fêtait sa première sélection, et même l'expérimenté Romain Taofifenua (58 sélections) n'ont pas eu l'efficacité espérée. Seul le troisième-ligne Oscar Jegou (1 pénalité gagnée) a surnagé.

« C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements, c'est là où ça interroge grimace l'ex-troisième Olivier Magne (89 sélections). Est-ce que ces changements étaient vraiment utiles à un moment où l'équipe de France se débrouillait plutôt mal avec son quinze de départ ? »
Interrogé sur le choix d'un banc en « 6-2 », Fabien Galthié avait simplement déclaré : « C'est par rapport à notre stratégie, à ce qu'on va mettre en oeuvre samedi. » Force est de constater que le plan a foiré...

Publié le dimanche 09 novembre 2025 à
06:51

On tape sur la mêlée alors qu’on voit qu’on a à peu près tenu jusqu’aux changements. Montagne a souvent tenu sur un fil, pénalisé une fois et Erdocio a tenu. 
tout ça pour dire qu’on a eu plus de possession qu’on le dit, surtout en première mi-temps, mais qu’on ne sait pas utiliser le ballon au final.

[el landeno]

Face à l'Afrique du Sud, une mêlée chahutée et un banc inefficace : « C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements »

La mêlée française, peu expérimentée, a souffert la comparaison face à son homologue sud-africaine. Et le banc des remplaçants, vite mis à contribution, n'y a rien changé.

En alignant le pilier gauche Baptiste Erdocio et le pilier droit Régis Montagne, deux sélections chacun avant le coup d'envoi, Fabien Galthié savait que sa mêlée, malgré la présence de l'expérimenté talonneur Julien Marchand (46 sélections), allait être ciblée par l'Afrique du Sud. Si la première mêlée ordonnée, après seulement deux minutes et trente secondes de jeu, s'est déroulée sans encombre, la première ligne tricolore a pris une première fois la marée à la douzième minute. Pas qu'un peu. Elle a été enfoncée offrant trois points aux Sudafs.

 

 

Si les Bleus ont rendu la monnaie de leur pièce au pack des Boks (37e), la seconde pénalité concédée dans l'exercice de la mêlée fermée l'a été peu avant l'heure de jeu (57e). Sans aucun doute un premier tournant. Alors que les Bleus dominaient cette entame de seconde période, ils restaient stériles dans la zone de marque. Cette pénalité a anéanti le temps fort de l'équipe de France. Point de départ choisi par le rouleau compresseur sud-africain pour enfoncer le clou. La mêlée française a enfin été pénalisée une troisième fois (73e). Dans la foulée, les Springboks ont choisi la touche pour enclencher un nouveau maul dévastateur, comme celui de l'heure de jeu.

Des débutants en difficulté

Interrogé à deux jours du choc sur le manque d'expérience de son pack, le sélectionneur avait répondu : « Il ne faut pas remettre en question ces joueurs qui débutent, c'est un peu vexatoire. Ce sont les deux meilleurs piliers du moment. Ils ont hâte de montrer ce qu'ils peuvent faire face aux meilleurs. Ils ont performé en club et à l'entraînement avec nous. Le challenge est énorme, mais pour l'ensemble du pack et des remplaçants. » On a vu. Régis Montagne et Baptiste Erdocio ont souffert. Mais leurs deux suppléants, Jean-Baptiste Gros et Dorian Aldegheri (pénalisé à deux reprises), entrés en jeu très tôt (47e), ont connu les mêmes difficultés, voire pire.

« En mêlée, tu es à 50 % sur la première mi-temps, et tu charges encore plus sur la seconde avec les anciens que sont Gros et Aldegheri, pose Sébastien Calvet, ancien sélectionneur des moins de 20 ans, champion du monde en 2023. C'est le casse-tête du rugby français et l'unique chantier du quinze de France de succession au poste. Comme on l'entend souvent : "no scrum, no win". C'est capital de trouver des tauliers et des mecs capables d'être dominants sur la mêlée, sinon on ne gagnera pas la Coupe du monde en 2027. »

« C'est devenu encore plus difficile lorsqu'il y a eu des changements, c'est là où ça interroge grimace l'ex-troisième Olivier Magne (89 sélections). Est-ce que ces changements étaient vraiment utiles à un moment où l'équipe de France se débrouillait plutôt mal avec son quinze de départ ? » Interrogé sur le choix d'un banc en « 6-2 », Fabien Galthié avait simplement déclaré : « C'est par rapport à notre stratégie, à ce qu'on va mettre en oeuvre samedi. » Force est de constater que le plan a foiré...

[Maury]

Pour une foi que l’arbitrage était très favorable : carton rouge sans circonstances atténuantes alors que Ramos est entrain de tomber , essai de pénalité pas accordé sur le jaune de LBB .

Que dire de la performance de Marx qui fait tout le match

Le 10 des bocks face à N’Tamack : y a pas photo