Peu de circonstances atténuantes selon moi :
1. Le groupe est renouvelé à 90% par Urios
2. Le salary cap nous place autour de la 5eme place
3. Une 6eme place mais surtout combien de défaites depuis 2 ans? Coupe comprise?
4. Clermont n'a pas moins de soleil que Bordeaux ou La Rochelle
Clermont est considérée depuis des années comme une des villes les plus agréables
Je rajouterai Clermont a des structures sportives parmi les meilleures de la division
Bref on devrait être 5-6eme chaque année et pas avec autant de défaites
Oui
Il faut arrêter avec l’attractivité faible de l’asm.
Déjà le facteur premier de recrutement c’est le montant du CDD.
Les joueurs ont une 10 ains d’années pour gagner leur vie et donc, le critère principal est le salaire, soit 4 CDD dont 2 au meilleur de leur carrière.
Comment a t’on fait venir Kremer? Conservé Jauneau? Plumer?
Pourquoi Urios ne recrute pas de gros cv?
Parce qu’il considère que les vedettes c’est trop cher et qu’il vaut mieux recruter plus de mecs de ruisseau…
C’est son crédos …et on voit la limite…
Donc il éparpille son budget sur des joueurs moyens et il se trompe aussi et du coup se retrouve avec des peintres sur les bras.
De mon point de vue, avec les pépites du club entre 17 et 19 ans, il serait plus judicieux de mettre le budget pour encadrer ces jeunes en ayant dans l’effectif 5 ou 6 cadors…en sus de kremer ( dont je ne suis pas très fan) jauneau et plumer.
Peux être la saison prochaine ?
1. Certes mais pas toujours avec le possibilité de faire venir les joueurs qu'il souhaitait. L'excuse ne tient plus je suis d'accord.
2. Donc la saison passée nous finissons à notre place.
3. Le championnat est tellement dense que désormais hors Perpignan, Montauban et Toulouse la plupart des équipes comptent presque autant de victoires que de défaites.
4. Mais on a moins l'océan. L'image de la ville n'est pas toujours très bonne vu de l'extérieur. Les histoires de Dz mafia ne doivent pas aider. On parle d'image pas de la réalité. Pour avoir vécu 5 ans à Clermont je sais qu'il y a une belle qualité de vie.
Je donne un exemple : je trouve la qualité de vie infiniment supérieure à Metz qu'à Montpellier...Et pourtant je suis sûr que si on faisait un sondage sur le forum 80% des personnes préféreraient vivre à Montpellier.
On a tout de même des atouts : les structures sportives, la passion autour du club, une qualité de vie qui est bonne (les non jiff semblent moins réticents que les jiffs expérimentés), un centre de formation qui reste l'un des meilleurs.
La DZ mafia ![]()
Le Pepusque bouchonné…également ![]()
Il faut remettre les yeux en face des trous….pour notre plus grand malheur
Leadership, activité et seconde jeunesse... la masterclass de Benjamin Urdapilletta face à l'ASM Clermont Il était écrit que Benjamin Urdapilleta allait sortir un grand match face à l’ASM Clermont. Samedi, l’ouvreur argentin fut le guide qui a mis l’USAP sur la voie du succès.
Lorsque Benjamin Urdapilleta s’est échauffé avant le match, quelque chose planait dans l’air. À le voir saluer et chambrer ses anciens partenaires de l’ASM Clermont, tout en enchaînant les coups de pied entre les perches, on savait pertinemment que l’Argentin avait coché ce rendez-vous depuis longtemps. L’ouvreur catalan l’a avoué au micro du diffuseur : il avait d’ailleurs appelé son mentor de toujours, Christophe Urios, il y a déjà deux semaines.
En ce jour de 60e anniversaire pour le manager clermontois, on ne peut pas dire que son ancien joueur lui ait fait particulièrement de cadeaux… C’est bien simple, on a vu Benjamin Urdapilleta partout sur le terrain. De la première minute de la rencontre jusqu’à sa sortie, sous les hourras d’un public catalan qui a trouvé un nouveau chouchou. Ici, entre mer et montagne, on aime les personnes de caractère. Le mariage qui semblait au départ risqué semble finalement aller de soi.
« Je n’imagine pas si ce club gagne un jour le Top 14, ça serait de la pure folie, s’exclame le joueur. Chaque fois que je venais ici avec mes anciennes équipes, je sentais que ça poussait fort. Mais en tant que joueur de Perpignan, je dois bien avouer que cela donne des frissons. »
En l’espace de quelques semaines, l’ouvreur de 39 ans aura mis Aimé-Giral dans sa poche. De par sa capacité à embarquer ses partenaires avec lui, mais aussi et surtout au regard de ses prestations. Ce n’est pas faire injure à l’Argentin que de dire que cela faisait longtemps qu’il n’avait pas livré une telle partition. Sous le maillot de l’ASM Clermont, Benjamin Urdapilleta n’avait que très peu évolué à de telles sphères.
Avec un seul coup de pied manqué sur sept tentatives, l’ex-Clermontois a été, en quelque sorte, le bourreau de son ancienne équipe. Dans la conduite du jeu, il fut également au four et au moulin, en étant décisif sur les deux essais catalans.
« Je me sens bien physiquement »Sa diagonale au pied sur la réalisation d’Eneriko Buliruarua est un modèle du genre (48e). Défensivement, Benjamin Urdapilleta n’a jamais été du genre à s’enlever. Hier, c’est surtout son activité et ses courses qui ont été étonnantes. À l’image de cette couverture dans son en-but après un petit jeu au pied d’Harry Plummer (14e).
« Ce n’est pas facile. Mais chaque fois que je joue, j’essaie de me donner à fond. Je suis un compétiteur et je déteste perdre. Je me sens bien physiquement. Je n’ai pas la même vitesse qu’avant, ni la même force. Mais je possède mes petites choses qui peuvent aider l’équipe. »Samedi soir, tout le monde était assez convaincu par les petites choses apportées par Benjamin Urdapilleta en Catalogne.
Urda comme Urios, sont des mercenaires.
Ils s’engagent à fond, mais ce sont quand même des mercenaires ![]()








