608 réponses à ce sujet

[Milian]

J'ai l'impression d'etre retourné à la période Gibbes et Itturia capitaine avec des matchs à l'extérieur indigne à chaque fois.
Les matchs s'enchainent et j'attends plus rien, les discours des joueurs me gonflent (là c'est Urios), les attitudes des joueurs sur le terrain me gonfflent.
Completement désabusé par l'image du club depuis la treve en esperant qu'une équipe nous humiliera tellement qu'on va devoir reprendre tout le projet à 0 et tout changer.
Mais bon, là les humiliations on est déja sur 3 à la suite mais il se passe absolument rien.
C'est pire que la période Gibbes enfaite..

[samsara]

On aurait pu attendre une période de deuil avant douvrir le topic...

[Bad Zé]

On est vraiment sur un forum de sado-maso.

[Asm77]

Des internationaux seront en congés imposé ?

[ZACH]

Je suis le staff de l'UBB, j'envoie le grosse équipe pour gagner et envoyer l'ASM dans les cordes......L'occasion est trop belle  pour l'UBB pour prendre des points à l'extérieur...Une fenêtre de tir pour finir l'année en beauté.....Pour l'ASM, le millésime 2025 cher à URIOS, risque d'être un peu  aigre...

L’ubb a joué dimanche soir et comme tous les clubs congés jusqu’à jeudi….

Vendredi bus pour Clermont…

A mon sens, ils vont faire une équipe mixte 

On s'en fout on finira 11 ou 12e du top 14.

Faire reposer les cadres jusqu'à Glasgow.

Si on lâche 5 points contre Glasgow on sera là honte du rugby français, comme tous les lâcheurs jusqu'alors.

Moi cest le seul match qui compte aujourd'hui. On va savoir qui est un petit mec.

«  reposer les cadres «  ???

Mais ils se reposent durant chaque match 

[layathollah]

Hé bé mes cadets

[La Berthe]

Je ne sais pas si cela a une signification particulière mais les articles post-matches ne sont plus partagés sur les réseaux depuis celui des Sarries.

[jm12]

Bart a totalement raison.

Les supporters ont déserté le Michelin, il n'y a plus d'ambiance et c'est pas les lèches culs des Mordus qui changeront grand chose.

Après je suis pas sûr que siffler les joueurs soit très utile. Mais par contre ça serait bien qu'Urios sente qu'une partie du public en a ras le bol, je pense qu'il est aussi dans le déni sur ça.

Tu crois ?  Moi , pas du tout ; c 'est un vieux routard et avant la réception très délicate de l 'UBB c 'est pas le moment !

 

Le déni ? non mais vous  êtes sérieux ,il sait très bien mais je crois vraiment qu 'en ce moment il a d'autres chats à fouetter

 

Après selon le résultat de cette rencontre , peut-être que ...Siffler les joueurs ? c 'est quoi ce délire de footeux....le fan de l 'A SM même déçu et frustré doit rester derrière ses joueurs comme les aficionados de A Giral et pourtant leur position est autrement plus délicate de la nôtre mais ils portent leurs gars

 

Je dirais que quand ça ne convient plus on peut aussi ne pas dépenser ses sous et rester avec maman bien au chaud !

 

Faut aussi accepter le verdict sportif et quand tu n 'es pas au niveau même frustrés faut l'intégrer 

 

Avec l'UBB on ne "boxe " pas dans la même catégorie et sur notre niveau actuel à froid , il y a de fortes chances que nous soyons mis à terre au Michelin sauf match extra terrestre de nos avants avec un pilier droit unique.  ..et une défense héroïque de nos arrières , sinon il n 'y aura pas photo comme lors du premier match face au Stade....Mais faut y croire et s'envoyer , un match n 'est jamais joué d 'avance

 

Hier Mignoni disait:  "il nous manque de tout partout " voilà la réalité du moment ! On parle du RCT là...

 

Autre paramètre , quelqu'un connait la marotte et le dada de cet arbitre..ça peut avoir son importance sur les mêlées déjà et les rucks..?

[Babé03]

Expression collective, engagement, comportements... les signes d'un malaise évident à l'ASM Clermont On ne reconnaît plus l’ASM Clermont, qui a concédé un troisième revers de rang, ce samedi, sur la pelouse de la lanterne rouge du Top 14, Perpignan (26-20). Sur le plan du jeu ou dans les comportements, le visage affiché par l’équipe de Christophe Urios inquiète fortement. Les signes d’un malaise évident...

C’était il y a un peu moins d’un mois. Après la victoire obtenue à l’arraché face au Stade Français, nous écrivions dans ces mêmes colonnes que ce succès acquis de haute lutte pouvait être fondateur pour cette équipe de l’ASM Clermont. « C’est un match qui comptera », avait même prédit Christophe Urios, le manager auvergnat. Trois semaines plus tard, force est de constater que ce présage ne s’est pas réalisé. Bien au contraire…

Depuis cette communion avec un Michelin extatique, le club clermontois n’est que l’ombre de lui-même. Et plus que les trois défaites consécutives (Saracens, Sale et Perpignan), c’est clairement le contenu qui suscite doutes et interrogations. La joie du succès face au Stade Français s’est ainsi muée en colère chez un grand nombre de supporters.

Du côté de la Catalogne, les signaux renvoyés par les joueurs sur le terrain n’incitent guère à l’optimisme, notamment concernant la capacité de révolte d’une équipe incapable de renverser la lanterne rouge du championnat, pourtant réduite à 14 pendant plus d’une heure. Ce manque d’engagement s’est surtout illustré sur les phases de ruck, que les Catalans ont eu tout le loisir de contester.

« Ce sont des signaux, surtout au niveau du collectif et de l’engagement, qui sont assez parlants. Cela montre des choses, tout de même. Quand tes soutiens ne sont pas au bon moment, au bon endroit, ça veut dire que tu n’arrives pas à te retrouver collectivement », constatait amèrement Christophe Urios après la rencontre. Sans parler des trous d’air dans une défense qui se fait trop facilement « breaker ». Là aussi, il ne s’agit que d’une question d’engagement, comme l’a rappelé Bautista Delguy.

Une attaque sans imagination

Pour revenir à l’expression collective, on a également du mal à la retrouver dans les attaques auvergnates. À Montpellier, par exemple, les Clermontois avaient respecté à la lettre le plan de jeu proposé par le staff. Mais depuis la reprise, on peine à voir où cette équipe veut aller. Quel était le projet à Aimé-Giral ? On le répète, Perpignan a évolué à 14 pendant plus d’une heure, avec un ailier en moins (exclusion de Jefferson Joseph à la 18e minute). Pourquoi, dès lors, s’évertuer à utiliser le pied sans venir toucher les couloirs ? L’une des rares fois où l’ASM a envoyé au large, elle a inscrit un essai (Delguy, 72e). Les attaques clermontoises ont été si facilement lues par la défense catalane que cette dernière n’a jamais donné l’impression d’être en infériorité numérique. 

Reste enfin le « body language » renvoyé par les joueurs. S’il y a trois semaines, les coéquipiers de Baptiste Jauneau avaient refusé la défaite face aux Soldats roses, les attitudes clermontoises ont montré tout l’inverse à Perpignan. Entre des joueurs quittant la pelouse d’Aimé-Giral la tête basse, visiblement marqués par la prestation du soir, et d’autres semblant plutôt détachés, la différence interroge quant à l’unité du groupe. Impossible de ne pas remettre en exergue le commentaire posté par Fritz Lee sur les réseaux sociaux, évoquant « un problème à l’intérieur du vestiaire ».

Dès lors, les mots prononcés par Christophe Urios avant la trêve obligatoire de Noël ne peuvent que susciter certaines interrogations.

 

« On va avoir quelques jours de repos qui vont nous permettre de nous régénérer, de ne plus se voir, de couper un peu. »

En effet, joueurs et staff ne vont pas se retrouver avant vendredi. Une seule petite journée pour se remettre la tête à l’endroit avant d’accueillir l’UBB, cela peut paraître court. Mais l’ASM Clermont n’a guère le choix. 

La réception de Bordeaux, samedi prochain (21 heures), s’annonce déjà comme un rendez-vous à quitte ou double. Dans un contexte de forte pression, on en saura plus sur les ambitions futures de cette équipe, mais aussi et surtout sur sa volonté d’avancer ensemble. 

[ELSAZOAM]

Expression collective, engagement, comportements... les signes d'un malaise évident à l'ASM Clermont On ne reconnaît plus l’ASM Clermont, qui a concédé un troisième revers de rang, ce samedi, sur la pelouse de la lanterne rouge du Top 14, Perpignan (26-20). Sur le plan du jeu ou dans les comportements, le visage affiché par l’équipe de Christophe Urios inquiète fortement. Les signes d’un malaise évident...

C’était il y a un peu moins d’un mois. Après la victoire obtenue à l’arraché face au Stade Français, nous écrivions dans ces mêmes colonnes que ce succès acquis de haute lutte pouvait être fondateur pour cette équipe de l’ASM Clermont. « C’est un match qui comptera », avait même prédit Christophe Urios, le manager auvergnat. Trois semaines plus tard, force est de constater que ce présage ne s’est pas réalisé. Bien au contraire…

Depuis cette communion avec un Michelin extatique, le club clermontois n’est que l’ombre de lui-même. Et plus que les trois défaites consécutives (Saracens, Sale et Perpignan), c’est clairement le contenu qui suscite doutes et interrogations. La joie du succès face au Stade Français s’est ainsi muée en colère chez un grand nombre de supporters.

Du côté de la Catalogne, les signaux renvoyés par les joueurs sur le terrain n’incitent guère à l’optimisme, notamment concernant la capacité de révolte d’une équipe incapable de renverser la lanterne rouge du championnat, pourtant réduite à 14 pendant plus d’une heure. Ce manque d’engagement s’est surtout illustré sur les phases de ruck, que les Catalans ont eu tout le loisir de contester.

« Ce sont des signaux, surtout au niveau du collectif et de l’engagement, qui sont assez parlants. Cela montre des choses, tout de même. Quand tes soutiens ne sont pas au bon moment, au bon endroit, ça veut dire que tu n’arrives pas à te retrouver collectivement », constatait amèrement Christophe Urios après la rencontre. Sans parler des trous d’air dans une défense qui se fait trop facilement « breaker ». Là aussi, il ne s’agit que d’une question d’engagement, comme l’a rappelé Bautista Delguy.

Une attaque sans imagination

Pour revenir à l’expression collective, on a également du mal à la retrouver dans les attaques auvergnates. À Montpellier, par exemple, les Clermontois avaient respecté à la lettre le plan de jeu proposé par le staff. Mais depuis la reprise, on peine à voir où cette équipe veut aller. Quel était le projet à Aimé-Giral ? On le répète, Perpignan a évolué à 14 pendant plus d’une heure, avec un ailier en moins (exclusion de Jefferson Joseph à la 18e minute). Pourquoi, dès lors, s’évertuer à utiliser le pied sans venir toucher les couloirs ? L’une des rares fois où l’ASM a envoyé au large, elle a inscrit un essai (Delguy, 72e). Les attaques clermontoises ont été si facilement lues par la défense catalane que cette dernière n’a jamais donné l’impression d’être en infériorité numérique. 

Reste enfin le « body language » renvoyé par les joueurs. S’il y a trois semaines, les coéquipiers de Baptiste Jauneau avaient refusé la défaite face aux Soldats roses, les attitudes clermontoises ont montré tout l’inverse à Perpignan. Entre des joueurs quittant la pelouse d’Aimé-Giral la tête basse, visiblement marqués par la prestation du soir, et d’autres semblant plutôt détachés, la différence interroge quant à l’unité du groupe. Impossible de ne pas remettre en exergue le commentaire posté par Fritz Lee sur les réseaux sociaux, évoquant « un problème à l’intérieur du vestiaire ».

Dès lors, les mots prononcés par Christophe Urios avant la trêve obligatoire de Noël ne peuvent que susciter certaines interrogations.

 

« On va avoir quelques jours de repos qui vont nous permettre de nous régénérer, de ne plus se voir, de couper un peu. »

En effet, joueurs et staff ne vont pas se retrouver avant vendredi. Une seule petite journée pour se remettre la tête à l’endroit avant d’accueillir l’UBB, cela peut paraître court. Mais l’ASM Clermont n’a guère le choix. 

La réception de Bordeaux, samedi prochain (21 heures), s’annonce déjà comme un rendez-vous à quitte ou double. Dans un contexte de forte pression, on en saura plus sur les ambitions futures de cette équipe, mais aussi et surtout sur sa volonté d’avancer ensemble. 

 

Une seule journée pour préparer le match de samedi, ça va faire short...  

On est fin décembre, donc les joueurs connaissent bien les combinaisons et tout ça, donc pas la peine de les répéter inlassablement non plus et ils seront reposés, mais quand même, ça va faire léger.

Je ne sais pas à quoi m'attendre avec ce groupe qui peut se faire laminer et encaisser une nouvelle défaite, comme gagner en faisant un très bon match (ce qui serait quand même nouveau et bienvenu) !

[ELSAZOAM]

Ben avant le match à Perpi, j'me disais que vous pouviez viser mini top 8 même peut être top 6. Là, après cette débandade, je suis bien moins optimiste. 

La 6ème place détenue par le MHR (32 pts contre 27 pour nous) n'est qu'à une victoire bonifiée (5 pts), il reste 14 matchs à jouer, ça n'est donc pas inaccessible ; mais bon, vu notre rendement actuel, j'ai du mal à y croire !

[Vynce]

Des internationaux seront en congés imposé ?

Non

Une seule journée pour préparer le match de samedi, ça va faire short...  
On est fin décembre, donc les joueurs connaissent bien les combinaisons et tout ça, donc pas la peine de les répéter inlassablement non plus et ils seront reposés, mais quand même, ça va faire léger.
Je ne sais pas à quoi m'attendre avec ce groupe qui peut se faire laminer et encaisser une nouvelle défaite, comme gagner en faisant un très bon match (ce qui serait quand même nouveau et bienvenu) !

Quelles combinaisons ?

La 6ème place détenue par le MHR (32 pts contre 27 pour nous) n'est qu'à une victoire bonifiée (5 pts), il reste 14 matchs à jouer, ça n'est donc pas inaccessible ; mais bon, vu notre rendement actuel, j'ai du mal à y croire !

MHR que l'on a battu et qui a fait nul à Montauban.
Si on regarde le rendement de Bayonne ou Toulon à l'extérieur c'est guère mieux que nous. Championnat illisible où en dehors du tom 2 le calendrier, les impasses, les blessures font le classement (ce qui n'est pas étonnant car tous les clubs ont grosso modo la même masse salariale.)

[ELSAZOAM]

Ben quand j'étais jeune on aimait se retrouver et bringuer ensemble en dehors des matches. Cette idée de faire un break (heu pardon une pause) me pose aussi question.

Ne pas se voir durant quelques jours, c'est juste pour mieux se retrouver après...  

Ou alors... ou alors Urios sent de la tension entre les joueurs et il veut les séparer quelques jours pour faire retomber cette... tension ! 

Vendredi, ils reviendront tous reposés, bien dans leurs têtes et prêts à en découdre. 

[peewee]

Je trouve quil y a une UBB avec et sans Jalibert. Clairement.
Qui Bordeaux enverra comme équipe ? Je comprends les gens qui disent quil va envoyer la type.
Mais quand on analyse le tout :
Ils ont 6 jours de repos et non 7 pour un déplacement.
Ils reçoivent le Racing qui a failli taper le SF chez eux.
Puis ils enchaînent 2 matchs de Ccup (réception de Northampton juste après Racing)
(Il fera proche de 0, point météo)

Je ne détiens pas la vérité, mais je pense vraiment que Bordeaux mettra plusieurs cadres au repos pour préparer un gros bloc de 3 matchs, aussi important que le nôtre actuel.

Mais cela ne veut pas dire quils seront en touristes et quon gagnera.

[layathollah]

Une seule journée pour préparer le match de samedi, ça va faire short...  
On est fin décembre, donc les joueurs connaissent bien les combinaisons et tout ça, donc pas la peine de les répéter inlassablement non plus et ils seront reposés, mais quand même, ça va faire léger.
Je ne sais pas à quoi m'attendre avec ce groupe qui peut se faire laminer et encaisser une nouvelle défaite, comme gagner en faisant un très bon match (ce qui serait quand même nouveau et bienvenu) !

Pour les combinaisons un bon quart d'heure suffira je pense.

Je trouve quil y a une UBB avec et sans Jalibert. Clairement.
Qui Bordeaux enverra comme équipe ? Je comprends les gens qui disent quil va envoyer la type.
Mais quand on analyse le tout :
Ils ont 6 jours de repos et non 7 pour un déplacement.
Ils reçoivent le Racing qui a failli taper le SF chez eux.
Puis ils enchaînent 2 matchs de Ccup (réception de Northampton juste après Racing)
(Il fera proche de 0, point météo)

Je ne détiens pas la vérité, mais je pense vraiment que Bordeaux mettra plusieurs cadres au repos pour préparer un gros bloc de 3 matchs, aussi important que le nôtre actuel.

Mais cela ne veut pas dire quils seront en touristes et quon gagnera.

Ils ont quand même une marge suffisante pour venir nous taper sans leurs meilleurs joueurs. Dernier exemple Sale qui l'a fait sans ses 4 internationaux.