Victoire 3-2 contre Troyes avec un triplé de Grbic!
Ce qui pourrait être inquiétant. Comment faire sans lui.
On l'a vu ces quelques derniers matchs !
Posté 11 janvier 2020 - 09:55
Victoire 3-2 contre Troyes avec un triplé de Grbic!
Ce qui pourrait être inquiétant. Comment faire sans lui.
On l'a vu ces quelques derniers matchs !
Posté 13 janvier 2020 - 09:30
Chaque saison le Clermont Foot te récupères un joueur qui te sort une saison de ouf... Capelle, Alessandrini, Diedhiou, Ajorque, Bernardoni, Da Silva, Dugimont, Pereira Lage, Ayé...
Cette saison c'est Grbic!
Ce club est un beau tremplin pour les joueurs.
ça reste toujours impressionnant ce qu'ils arrivent à faire sans avoir de moyens de dingue, ce qui serait cool, c'est qu'ils arrivent à terme à sortir plus de joueurs du crû du centre de formation.
Posté 13 janvier 2020 - 10:13
Chaque saison le Clermont Foot te récupères un joueur qui te sort une saison de ouf... Capelle, Alessandrini, Diedhiou, Ajorque, Bernardoni, Da Silva, Dugimont, Pereira Lage, Ayé...
Cette saison c'est Grbic!
Ce club est un beau tremplin pour les joueurs.
ça reste toujours impressionnant ce qu'ils arrivent à faire sans avoir de moyens de dingue, ce qui serait cool, c'est qu'ils arrivent à terme à sortir plus de joueurs du crû du centre de formation.
Pereira Lage est pas loin d'être un produit local non ?
Posté 13 janvier 2020 - 14:58
oui tu as raison, je crois que c'est le seul.
Après en Ligue 1, l'Equipe avait sortie une analyse qui démontrait je crois que 80 % des mecs étaient issus de l'Ile de France qui est un puit sans fond dans ce domaine.
Posté 13 janvier 2020 - 15:04
Chaque saison le Clermont Foot te récupères un joueur qui te sort une saison de ouf... Capelle, Alessandrini, Diedhiou, Ajorque, Bernardoni, Da Silva, Dugimont, Pereira Lage, Ayé...
Cette saison c'est Grbic!
Ce club est un beau tremplin pour les joueurs.
ça reste toujours impressionnant ce qu'ils arrivent à faire sans avoir de moyens de dingue, ce qui serait cool, c'est qu'ils arrivent à terme à sortir plus de joueurs du crû du centre de formation.
C'est certain.
Mais le plus important, serait que le Clermont Foot, soit capable de garder "ces joueurs de ouf ", qu'ils soient du centre de formation ou non.
Posté 13 janvier 2020 - 15:07
Avec un tel budget, tu peux pas lutter... tu te rends compte que Lens a 33/34 Millions d'euros et qu'ils étaient à 40 millions il y a peu, pendant que Clermont affiche tout juste 9 millions... et je parle pas de la ligue 1. Donc, c'est impossible de lutter ou de conserver ces mecs.
Déjà de faire les résultats qu'ils font depuis 10 ans, avec une affluence très limitée... c'est énorme !
Posté 13 janvier 2020 - 17:34
Clairement. D'ailleurs à Caen, on doit avoir au moins autant de Franciliens que de Normands en formation et on ne doit pas être le seul club d'une région voisine de l'IdF dans ce cas.oui tu as raison, je crois que c'est le seul.
Après en Ligue 1, l'Equipe avait sortie une analyse qui démontrait je crois que 80 % des mecs étaient issus de l'Ile de France qui est un puit sans fond dans ce domaine.
Posté 13 janvier 2020 - 19:03
Posté 13 janvier 2020 - 19:15
Comment ça fonctionne, Dim, un "petit" club de Ligue 2, au niveau du scouting ? Clermont Foot a son propre réseau de recruteurs en Europe ?
L'Allemand Ingo Winter arrivé en même temps que les nouveaux dirigeants, est le recruteur en chef. Clermont a créé un réseau international avec d'autres clubs dont le TP Mazembé en Afrique, mais également un club autrichien, en attendant d'autres.
Le but est d'avoir Clermont en club majeur, avec des participations dans d'autres clubs internationaux. Et créer avec eux des synergies sur les plans sportifs, infrastructures et financiers.
Posté 13 janvier 2020 - 20:05
Le budget de Lens c'est une mascarade.
Ils sont en déficit tout les ans vivement que la DNCG rétrograde tout ça.
Posté 13 janvier 2020 - 21:32
Posté 13 janvier 2020 - 22:09
Julien a répondu pour moi, merci à lui. Le côté exceptionnel de la chose vient effectivement de l'investisseur, les clubs de Ligue 2 ont, selon leur taille et leurs structures, entre 1 et 3-4 recruteurs maxi, sur des réseaux essentiellement locaux.Comment ça fonctionne, Dim, un "petit" club de Ligue 2, au niveau du scouting ? Clermont Foot a son propre réseau de recruteurs en Europe ?
Posté 14 janvier 2020 - 09:18
Concernant la formation, Messieurs les Footix, comment se fait-il qu'il y a tant de présence de joueurs franciliens en pro? alors que le foot français est super structuré, que chaque club pro à son centre de formation donc partout dans l'hexagone, mais qu'à la fin, peu de mecs du crû sortent de ces centres malgré qu'il y ait des gamins qui jouent au foot de partout... et que ça bosse bien à tous les étages (national, cfa etc...).
Je vois bien Lyon sortir des joueurs du crû régulièrement mais sinon...
C'est quand même étonnant, je sais que l’Île de France concentre une population plus importante, avec une prédominance de joueurs issus du continent Africain, joueurs ayant des gabarits et une maturité physique plus précoce, (ne voyez aucun relent de quoique ce soit), mais est-ce que cela suffit à expliquer ce décalage?
J'ai lu un article super il y a quelques temps sur cet aspect là, où les centres de formation (en Angleterre d'abord) qui analysait les joueurs de leur de centre de formation, sur leur maturité physique ( vis à vis de leur puberté) et plus uniquement sur leur âge, afin de mieux accompagner, développer, et former leurs joueurs pour éviter de les perdre en chemin du fait qu'à 13 ou 14 ans certains font déjà 1m85 et que celui qui fait que 1m50 il ne peut exister même s'il a des qualités techniques de haut niveau.... sauf que deux ans plus tard, le grand il a pas bougé, il n'a pas progressé car trop mur trop vite, et que le petit qui a bien grandi est sans doute prêt physiquement, mais il a déjà été éjecté du truc... bref les responsables de ces centres usent et abusent de sous et sur classement, plus analyse physiologique pour être sûr de moins louper et sacrifier des gamins...
Posté 14 janvier 2020 - 10:51
J'ai lu un article super il y a quelques temps sur cet aspect là, où les centres de formation (en Angleterre d'abord) qui analysait les joueurs de leur de centre de formation, sur leur maturité physique ( vis à vis de leur puberté) et plus uniquement sur leur âge, afin de mieux accompagner, développer, et former leurs joueurs pour éviter de les perdre en chemin du fait qu'à 13 ou 14 ans certains font déjà 1m85 et que celui qui fait que 1m50 il ne peut exister même s'il a des qualités techniques de haut niveau.... sauf que deux ans plus tard, le grand il a pas bougé, il n'a pas progressé car trop mur trop vite, et que le petit qui a bien grandi est sans doute prêt physiquement, mais il a déjà été éjecté du truc... bref les responsables de ces centres usent et abusent de sous et sur classement, plus analyse physiologique pour être sûr de moins loupé et sacrifié des gamins...
Le bio banding
Tu fais je pense allusion à cet excellent dossier de l'Equipe magazine paru mi octobre 2019, avec au passage une double page consacrée au travail de Freddy Maso à l'ASM. Petit extrait.
Le bio-banding est une technique d’évaluation, d’entraînement et de regroupement des jeunes sportifs en fonction de critères liés à la croissance et à la maturité plutôt que par catégories d’âge. L’universitaire britannique Sean Cumming en a notamment édicté les principes.
Le bio-banding distingue trois catégories : early maturers (EM), normal maturers (NM) et late maturers (LM), soit les enfants à maturité précoce, normale ou tardive. Celle-ci est calculée en fonction de l’âge moyen de la puberté : 12,8 ans pour les filles ; 13,8 pour les garçons. Ceux qui sont pubères un an en avance (ou plus) sont les early maturers, ceux dont la puberté arrive un an plus tard (ou plus) sont les late maturers et les autres sont les normal maturers.
Pour déterminer leur catégorie, tous les trois mois, les jeunes sportifs sont mesurés, en position debout et assise, pesés, et ces données sont entrées dans un logiciel avec leur âge et la taille de leurs parents. Le résultat est émis en pourcentage de la taille adulte définitive (avec une marge d’erreur estimée à moins de 2 %).
Pour les entraînements et les compétitions, ces catégories sont ensuite affinées et les jeunes sportifs sont regroupés en fonction de leur développement, exprimé en pourcentage de la taille adulte définitive estimée (par exemple moins de 75 %, de 75 à 80 %, de 80 à 85 %, de 85 à 95 % et au-delà de 95 %). - D.I.
Sur ces radios prises en 2013, la main gauche de deux joueurs de tennis anglais, les n°1 et 2 nationaux dans la catégorie U13. Le premier mesure 1,88 m. Sur le cliché, on remarque que ses os ont commencé à se souder, il est très mature et il ne lui reste qu’une ou deux années de croissance. Le second mesure 1,85 m et n’a pas encore commencé sa puberté. Il va mettre cinq ou six ans de plus à atteindre sa taille définitive. Aujourd’hui, six ans plus tard, le premier a disparu des radars et l’autre, qui mesure 2,03 m, a obtenu une bourse dans une université américaine. « Évaluer la maturité permet de voir dans le futur, explique Sean Cumming. Si ces deux garçons avaient joué au rugby, on les aurait automatiquement placés en deuxième ligne. Or, grâce à l’évaluation, on peut savoir que le premier ne va pas être assez grand pour rester à ce poste et l’orienter en troisième ligne ou au centre. On retrouve la même problématique pour les gardiens de but. On voit parfois des gamins très doués dans le but, mais on sait qu’ils ne vont pas dépasser 1,75 m. En Premier League, aujourd’hui, on ne peut pas être gardien à moins de 1,85 m. »
Ces trois courbes représentent trois populations de joueurs de tennis britanniques : les jeunes à maturité normale (vert), précoce (rouge), tardive (bleu). L’ordonnée indique le pourcentage de chaque couleur dans l’élite d’une classe d’âge. Constat : les early maturers finissent par plafonner. Les late maturers, découragés, ne percent presque jamais.
Posté 14 janvier 2020 - 14:05
merci Toorop c'est cela, au moins un qui suit
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