"En trois mois, l'écart peut être comblé"
Le père Noël existe ?
Posté 21 mars 2019 - 09:25
"En trois mois, l'écart peut être comblé"
Le père Noël existe ?
Posté 21 mars 2019 - 10:08
Bien sûr, comme les autres nations vont passées les trois mois de préparation à s'empinarder façon vendredi midi...Jason Chicandier... en France, comme on est meilleur que les autres, on va rattraper tout ça...
Pradel il est gentil, mais il a pas vu qu'après deux mois en commun, c'était pire qu'après le premier match joué...
Posté 21 mars 2019 - 12:04
Encore un qui rêve de conclure sur un malentendu. Mais même trente centimètres, c'est grand !Pradel : "En trois mois, l'écart peut être comblé"
je viens de trouver ça sur rugbyrama.
Pradel perso, je l'avais perdu de vu
Posté 22 mars 2019 - 17:18
en attendant Pradel le magicien de Paimpon "va le pompier",Galthier arrive afin lui ,
il fera l'unanimité:
dans la détestation des joueurs,
du rugby,
de l'edf,
il y a pas mieux,avec ce choix, Laporte par va finir se fâcher avec sont pote de Mohed,
et on perdra notre meilleur sponsor,
super stratégie..
Posté 22 mars 2019 - 19:37
en attendant Pradel le magicien de Paimpon "va le pompier",Galthier arrive afin lui ,
il fera l'unanimité:
dans la détestation des joueurs,
du rugby,
de l'edf,
il y a pas mieux,avec ce choix, Laporte par va finir se fâcher avec sont pote de Mohed,
et on perdra notre meilleur sponsor,
super stratégie..
Posté 23 mars 2019 - 08:29
en attendant Pradel le magicien de Paimpon "va le pompier",Galthier arrive afin lui ,
il fera l'unanimité:
dans la détestation des joueurs,
du rugby,
de l'edf,
il y a pas mieux,avec ce choix, Laporte par va finir se fâcher avec sont pote de Mohed,
et on perdra notre meilleur sponsor,
super stratégie..
Quand on arrive au bout des solutions………….
Posté 25 mars 2019 - 16:20
Posté 26 mars 2019 - 07:13
Quinze de France : Jacques Brunel résiste à Bernard Laporte et reste fidèle à son staff
La France a longtemps fait partie de ce petit cercle privé. Dorénavant, elle navigue entre la 8e et la 10e place du classement mondial. Elle se rend à Rome au sortir de l'hiver comme on monte à l'échafaud et, au bout d'un Tournoi encore raté, personne n'est venu rendre de comptes ou, à minima, livrer quelques explications. C'est que Bernard Laporte et son staff travaillent chacun de leur côté à des solutions différentes pour faire en sorte que le Mondial nippon ne ressemble pas au carnage redouté.
Retour au Stadio Olimpico il y a dix jours. Nous sommes quelques minutes après le succès poussif contre l'Italie (25-14) et Laporte passe le genre de savon dont il a le secret à l'encadrement tricolore. L'ire présidentielle se cristallise notamment sur la défense. Tout au bout de l'après-midi romain, les attaquants azzuri n'ont inscrit qu'un seul essai, mais ils sont entrés dans l'en-but français à cinq reprises, donnant à la victoire des Bleus des allures de miracle.
À l'issue du Six Nations, le patron du rugby français a cependant acquis la conviction qu'il faut à tout prix agir. Sa marge de manoeuvre reste pourtant étroite : d'abord parce que la FFR est toujours en procédure avec son ancien sélectionneur Guy Novès, licencié pour son faible bilan. Il peut donc difficilement désavouer son remplaçant et ses adjoints en dépit de résultats encore inférieurs. Enfin parce que dès le mois de novembre, et l'embarrassante défaite face aux Fidji (14-21), le patron du rugby français a affirmé que Brunel aurait seul la main sur l'arrivée d'éventuels renforts au sein de son staff.
La piste Galthié se serait refroidieCes déclarations n'ont pas empêché l'ex-sélectionneur au double mandat (2000-2003 ; 2003-2007) de sonder certains joueurs sur ses intentions et notamment celles de faire venir Fabien Galthié et Ronan O'Gara au chevet du quinze de France. Le premier serait alors en charge du mouvement général et le second de la défense, l'idée d'injecter un préparateur physique supplémentaire ayant également affleuré.
Laporte maintient néanmoins que la décision reposera sur le bon vouloir de Brunel. Celui-ci était en fin de semaine dernière à Toulouse avec ses hommes. Entre eux, et sans intervention de Laporte ou Simon, ils ont débriefé le Tournoi des Six Nations et avancé sur la préparation de la Coupe du monde. Le Gersois a promis d'avoir le cuir épais face aux éventuels desiderata présidentiels.
En filigrane, il a renforcé sa confiance envers ceux qu'il a choisis dès la première heure. Le staff a planché sur la suite en faisant abstraction du vacarme extérieur. La piste Galthié se serait même refroidie, l'actuel sélectionneur n'étant pas forcément favorable à sa venue, par fierté personnelle ou loyauté vis-à-vis de ses adjoints. C'est pourtant lui qui avait contacté l'ancien demi de mêlée international (64 sélections) lors de sa prise de fonction en décembre 2017 pour lui proposer de l'accompagner jusqu'à la Coupe du monde.
Reste que par ses dernières positions, Brunel a renvoyé des signes de combativité qui avaient disparu au fil de l'hiver. Alors qu'il voyait son équipe sombrer encore, il avait lui-même semblé s'isoler du reste de son encadrement. Il s'en est rapproché à Toulouse, et Laporte devra le convaincre s'il veut renforcer son staff. À moins qu'il ne finisse par l'imposer.
L'urgence, elle, est toujours là. Injecter de nouvelles compétences juste au moment du rassemblement pour le Japon n'aurait aucun sens. Si des techniciens comme Galthié ou O'Gara devaient s'engager, il leur faudrait un minimum de temps en amont pour poser un diagnostic précis de la situation et dessiner les contours de leur mission dans un staff déjà pléthorique. Parce qu'au final, seules les ambitions ont été revues à la baisse : le président de la Fédération déclarait d'ailleurs il y a peu qu'un passage en quarts de finale du Mondial 2019 suffirait à qualifier la campagne française de réussite. On est aujourd'hui bien loin des trois victoires en quatre matches exigées auprès de Guy Novès et ses hommes en novembre 2017. Ou encore de Serge Simon, vice-président de la FFR et manager des équipes de France, qui visait un succès dans le dernier Tournoi pour Jacques Brunel et sa bande. C'est ce que l'on appelle une gouvernance par la cohérence.
Pour l'instant, on est à l'heure des « si ». Si Jacques Brunel accepte l'intégration d'un entraîneur de la défense, et si Ronan O'Gara est nommé, se posera la question de la disponibilité de l'ancien ouvreur de l'équipe d'Irlande. Actuellement, « ROG » fait partie du staff des Crusaders, engagés dans le Super Rugby, compétition qui se terminera le 14 juin pour sa phase régulière, le 6 juillet pour ses phases finales.
Actuelle leader de sa conférence, la franchise néo-zélandaise est l'immense favorite à sa propre succession et pourrait donc pousser sa saison jusqu'à début juillet, moment où le groupe France aura commencé sa préparation pour la Coupe du monde. Sur le fond, le fait qu'un membre du staff rate cette période essentiellement consacrée à la préparation physique n'est pas un problème insurmontable. Il semble en revanche plus compliqué qu'O'Gara débarque en France sans avoir longuement dialogué et profondément planché sur un projet défensif avec Brunel et le reste du staff. Le calendrier du Super Rugby, sans trou d'ici le 6 juillet, ne lui laissera pas de temps pour traverser la planète, et peu pour travailler. À moins que lui ou la FFR n'obtienne qu'il soit libéré par les Crusaders. Encore des « si. »
Posté 26 mars 2019 - 07:45
Posté 26 mars 2019 - 08:14
Ça arrangerait LaBinocle que son ami de 30 ans démissionne, mais l'odeur de l'indemnité le retient.
Envoyé de mon SM-G361F en utilisant Tapatalk
Si c'est Brunel qui démissionne, ce n'est plus pareil, le cas est différent de celui de Novès...
Brunel s'en va de lui-même, c'est son choix, il n'a rien à réclamer !
Mais bon, peut-être que la FFR fera un PSE et là, les indemnités tomberont...
Posté 26 mars 2019 - 08:59
Ça arrangerait LaBinocle que son ami de 30 ans démissionne, mais l'odeur de l'indemnité le retient.
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C'est là tout le talent de ce crétin cupide de Laporte puisque l'avocat de la FFR est déjà monté au créneau après la dérouillée Irlandaise pour dire que s'il avait un peu de fierté, Brunel donnerait sa démission.
Ca n'a pas marché, maintenant c'est tentative de renforcer le staff, là encore, ça va foirer, je me marre.
Voyons le côté positif pour le top 14, l'UBB a fait une très très bonne affaire en se débarrassant de son clown.
Posté 26 mars 2019 - 09:52
ça peut arriver à tout le monde...
"ça" ne prévient pas. Tu as ta vie immuablement fixée depuis des années, pépère, tu te crois invincible, immortel.
Tu as tes potes avec qui tu partages tant de plaisirs simples, d'efforts joyeux, de succès imprévus, de défaites improbables. Tu es eux, ils sont toi. Tu donnes et tu reçois. Tu aides et tu es soutenu.
Tu suis le chef autant qu'il t'entraine, tu ne regardes que vers le haut. Et puis un jour, tout s'effondre.
.... Tu reçois ta convocation pour Marcoussis.
Posté 26 mars 2019 - 11:19
On se demande si la réussite de BRUNEL à PERPIGNAN découle exclusivement "du monde" qu'il avait autour de lui ( qualité staff et joueurs ) ?
Posté 26 mars 2019 - 12:09
Ça arrangerait LaBinocle que son ami de 30 ans démissionne, mais l'odeur de l'indemnité le retient.
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c'est comme rester à table avec le short plein. Le premier qui se pince le nez te doit deux millions. Brunel est vraiment le manager de l'année. Avec ses qualités "propres", il tient un grand résultat.
Posté 29 mars 2019 - 11:09
Pour rigoler, je me demandais quels joueurs on n'a pas vu durant le T6N, mais susceptibles d'intégrer l'EDF pour le Japon ?
Raka ? Vatakawa ? Thomas ?
En fait, combien d'inconnus réels dans l groupe.
Si je reprends le groupe de 2015, et sur la base de ce qu'on a vu au T6N et en novembre (en gras les quasi-certains) on a :
5 piliers : Priso, Atonio, Bamba, Poirot (mais quid de sa blessure ?), Falgoux, Aldegheri (mais blessé de longue durée, non ? ), Gomes Sa, Slimani
3 talons : Guirado, Chat, Marchand (blessé)
3 2ème lignes : Vaha, lambey, Willemse, Gabrillargues
6 3ème lignes : Picamoles, Iturria, Lauret, Camara, Alldritt, Babillot, Galletier
3 demi de mêlée : Serin, Dupont, Parra, Machenaud ?
2 ouvreurs : N'tmack, Lopez, Belleau
4 centres : Basta, Fickou, Fofana (suivant les blessures), Doumayrou, Vatakawa
5 ailiers/arrières : Penaud, Huget, Médard, Ramos, Thomas, Raka, Fall
En gros, il n'y a pas un choix énorme pour chacun des postes, d'autant plus avec les blessures en cours (et à venir). Je me demande comment se fera le choix dans les lignes arrières, avec pas mal de polyvalents (réels ou imposés) : Penaud, Fickou, N'Tamack.
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