Et si on échangeait des insultes ? Le web est propice à l'exercice, dans la mesure où les risques de prendre un mauvais coup sont limités !
On ferait virtuellement comme un cyber-village gaulois quand le poisson d'Ordralfabétix n'est pas frais !
A quoi ça servirait ? A rien évidemment mais toutes les belles réformes que nous avons imaginées sont "quam pissarem ad violonum", ce qui est du latin intraduisible.
"Quam pissarem ad armarium..." aussi !