- tu trouves toujours des circonstances atténuantes à Jamie - tu dis "cette année, c'est la bonne" - tu dis Ouin Ouin ou Guytou pour parler de Noves - tu te demandes, à tout bout de champ, si tel ou tel jaunard étranger, est sélectionnable en EDF - tu trouves la bière au Bibpark trop chère,, mais que tu continues à en boire - tu te demandes où se trouve castres - tu es fier quand des clermontois sont sélectionnés, mais ça te fait ch er pendant les doublons
Vous avez fini vos conneries : il y a de chouettes coins dans le Bourbonnais
Vous avez fini vos conneries : il y a de chouettes coins dans le Bourbonnais
vois-le l'autre; il y en a partout, pas que dans le Bourbonnais
Le prochain qui tape sur le bourbonnais je lui donne rendez-vous dans la fôret de Tronçais la nuit pour discuter...
m'en parles pas. J'ai vanné toute ma vie sur mes collègue du Bourbonais (qui me le rendait bien) et j'y vis depuis 1 moi et pour encore 10 mois. C'est dur mais je rentre très souvent à Clermont. Et quand je passe la foret de Tronçais, il pleut, fait gris
Snif! Snif!
Sinon, les gens sont super sympa et les 03 roulent mieux sur leur route que dans le 63 (véridique, ca m'a surpris, à croire qu'ils nous envoient que ceux qui s'arrêtent à tout les cédez le passage, ceux qui roule à 60 dans les virages et accèlère à 100 à la moindre ligne droit pour présence de bande pointillé)
Je pense que la majorité des ignares qui participent à ce topic devrait faire un tour au débredinoire de Saint Menoux!!!
j'y suis allé, et ben, je suis toujours aussi bredin (en fait, on disait plutôt berdin) il y a quelques années (les moins de 20 ans n'étaient pas encore nés), nous allions avec les potes dans la forêt de Tronçay, lors du brame du cerf j'en garde des souvenirs impérissables (quels cuites mes aïeux) et le soir, nous étions hébergés chez un copain à Valigny des javas à tout casser
j'y suis allé, et ben, je suis toujours aussi bredin (en fait, on disait plutôt berdin) il y a quelques années (les moins de 20 ans n'étaient pas encore nés), nous allions avec les potes dans la forêt de Tronçay, lors du brame du cerf j'en garde des souvenirs impérissables (quels cuites mes aïeux) et le soir, nous étions hébergés chez un copain à Valigny des javas à tout casser
- quand tu dis ; dans le temps, au bistro, les vieux payaient chacun leur verre, et s'asseyaient sur le même banc, face à la porte (je l'ai vécu, tout gamin, quand mon grand-père m'emmenait boire une petite grenadine à l'eau qui pique )
- quand tu dis : il fait très chaud l'été, à Clermont, parce que c'est dans une cuvette
- quand tu sais que le Bédat prend sa source à Sayat et la Tiretaine à Orcines
- quand il commence à neiger, et que tu dis : à mon avis, ça va pas passer à la Moreno