ton humble point de vue? ton séant sur tes lunettes?Au moins cela ne ressemble pas à une logorrhée laxative de mon humble point de vue. En plus cela me fait beaucoup sourire.

Posté 04 juin 2008 - 21:03
ton humble point de vue? ton séant sur tes lunettes?Au moins cela ne ressemble pas à une logorrhée laxative de mon humble point de vue. En plus cela me fait beaucoup sourire.
Posté 04 juin 2008 - 21:37
Posté 04 juin 2008 - 21:44
excellent , je trouve ça justement bien écrit ! mais ça ne m'étonne pas qu'on diverge, chat noir...
.....et dix verge c'est beaucoup !
pardon
Posté 04 juin 2008 - 21:45
Moi je suis sûr que le chat noir aime beaucoup lui aussi.
Posté 05 juin 2008 - 06:48
Posté 05 juin 2008 - 09:25
Evidemment, il y a retour et retour. Retour de victoire et retour de défaite ne se ressemblent guère. Débordements orgiaques ou sobriété tristounette d’un voyage presque ordinaire, à vous de choisir…
Au rugby, gagner un match à l’extérieur relève bien souvent de l’exploit. Même si vos adversaires sont en théorie plus faibles, le match "à la maison" galvanise, transfigure ceux qu’on croyait sacrifiés d’avance en bêtes féroces prêts à tout pour défendre leur peau. Vertus guerrière venues du fond des âges qui ceignent le terrain de vos hôtes d’épais remparts, le jalonnent de solides donjons et vous promettent 80 minutes de délicates attentions. Dans ces conditions, la victoire, c’est la prise d’une forteresse. Les vaillants conquérants deviennent alors terribles soudards qui veulent piller la cité, violer les bergères et pendre les curés. Entre joie démesurée et sentiment d’être devenu intouchable, le rugbyman victorieux monte dans le car…
La loi barbare
Faut-il préciser qu’auparavant, la petite collation organisée par les bénévoles du club qui reçoit, s’est transformée en véritable orgie. Pâté-croûte et rillettes engloutis en cinq minutes chrono, litrons de blanc siphonnés à la vitesse de la lumière. Les joueurs adverses, humiliés, se tiennent silencieux dans leur coin, mâchonnant leur sandwich et laissant leurs vainqueurs triompher sans pudeur à l’intérieur de leurs murs. Les premiers refrains paillards ne tardent pas à fuser. Vous savez, ces sempiternelles ritournelles qui rythment la carrière d’un joueur, qui parlent de moines dotés de grosses bites, d’étudiants sodomites et autres Marie-salopes qui lèvent allègrement la cuisse. Bref, après deux heures d’un sage goûter arrosé de Banga, la bruyante équipée rejoint le car, non sans avoir déboulonné les deux ou trois pochards qui avaient pris racine près du zinc. Le chauffeur, toujours le même, désigné par sa compagnie comme convoyeur de rugbymen, n’est pas surpris. Il est blindé et sait qu’il dérogera à toutes les règles du métier, qu’il laissera faire, que le véhicule ne lui appartient plus, et qu’on lui demande juste d’arriver à bon port. Les interdictions formelles du genre : on ne fume pas, on ne boit pas sont balayées par la loi barbare.
Comme par magie, il y a toujours dans ces moments là un type qui remonte des soutes un énorme pack de bière à noyer un régiment de légionnaires.
Moment magique : le boulard
Alors ça chante, alors ça boit, et quand on s’arrête pas assez souvent, ça pisse dans des bouteilles d’eau minérale. Exercice délicat qui devient un jeu amusant : bien viser malgré les secousses, ne pas faire déborder la bouteille. Déferlante urinaire contenue vaille que vaille et inévitable festival de gerbe qui s’ensuit. Et la, pas question de trouver une bouteille, mais plutôt un sac plastique qui traîne sous un fauteuil, si possible non troué. Le gerbeur gerbe donc, sans commisération alentour et sans entamer sa bonne humeur puisqu’ après la purge, il se remet à boire et à chanter. Ou pire, à prendre le micro de façon intempestive pour raconter des conneries ou pour se répandre lamentablement en émotions d’ivrogne sur l’amour qu’il porte à cette équipe, à ce club formidable, etc… Et puis vient le moment unique, celui assez puissant qui capte l’attention d’une trentaine de compagnons imbibés : le visionnage du boulard. Quand on a plus rien à chanter, plus rien à boire, il y a toujours un énergumène qui déniche dans la petite vidéothèque du chauffeur un bon vieux porno. Alors au début, tout le monde se marre, on commente, on remet des scènes au ralenti. Et puis viennent ces minutes délectables, hors du temps, où on rigole un peu moins, où les commentaires se font plus sporadiques, et où finalement dans un silence absolu, tout le monde regarde vraiment le film. Les chapiteaux se dressent un par un sous les survêt’… atmosphère lubrique, trop peut-être jusqu à en devenir gênante. Et quand la gêne devient trop palpable, le chahut revient laissant derrière lui cette étrange pause libidineuse.
Posté 05 juin 2008 - 21:34
Ils débarquent à grands roulements de tambour, sont précédés par une réputation flatteuse et possèdent un CV de joueur long comme le bras… Ils sont les recrues de l'année, les trouvailles inespérées du mercato, ceux qui font jaser dans les chaumières. Mais à l'arrivée, ils sont toujours ceux qui déçoivent. Voyage au pays de la mythomanie…
Les recrues bidons sont de deux natures. Il y a les anciennes gloires, ces joueurs au passé prestigieux qui, usés par une carrière éprouvante, chassent le gros chèque dans un petit club aussi naïf qu'ambitieux. Puis il y a ces joueurs nomades, qui changent de clubs saison après saison parce que trop mauvais pour rester plus d'un an au même endroit pour ne pas se faire lyncher par les villageois. Des joueurs de la catégorie "imposteur", complètement mythomanes qui se vendent à merveille à ceux qui veulent entendre et s'inventent de prodigieuses carrières…
La recrue bidon du premier type, l'ancienne gloire, suscite généralement l'enthousiasme au sein du club. Les dirigeants se la pètent en croyant avoir déniché le sauveur, plastronnent avec leur blazer étriqué autour des terrains en prenant des airs importants. Mais en réalité, ils prennent le messie pour une lanterne… Celui-là, le messie, n'est en fait qu'un vieux prédicateur, un conteur fatigué qui essaient de faire rêver les jeunes de ses exploits anciens, du temps où il jouait au centre avec untel ou untel, du temps où il avait mis un tampon mémorable à celui-ci qui jouait en équipe de France, à celui-là qui venait d'être champion de France avec Toulouse. Et puis, sans fin, dans le car qui nous emmène au stade de Belleville-sur-quequ'chose, nous raconte, en embellissant, sa guerre de 14. Puis quand vient 14h dans les vestiaires et qu'on constate que le bougre est boudiné dans le maillot de son nouveau club, que sa brioche dépasse un peu, que ces gestes laborieux trahissent un corps qui tolère mal les avanies des joutes passées, alors on se dit, ou du moins souhaite, qu'il a au moins de l'expérience et du vice à revendre…
Bobards sous la douche
Certes, on avait déjà remarqué, à l'entraînement, qu'il n'avait pas la fougue d'un jeune loup affamé, mais on se disait que c'était la force tranquille, qu'il allait tout donner en match et que là, on allait se rendre compte de l'étendue de sa classe, de son rayonnement. Surtout qu'il jette de la poudre aux yeux, en sortant de son sac d'entraînement des maillots d'équipes prestigieuses, des chaussettes de la Section, un short du Stade, un slip du B.O… tout un tas d'oripeaux qui ont chacun des histoires incroyables. Une garde-robe à faire rêver ! Finalement, on se retrouve à 16h30 sous les douches, avec une bonne valise dans les gencives. Notre héros ne nous a même pas fait le coup de l'Empire des Cent jours, il n'a même pas brillé une dernière fois avant de disparaître. Jouant comme les autres, trop fatigué pour sonner la révolte, harcelée par des adversaires qui voulaient se farcir une ex-star, notre homme a baissé pavillon rapidement. Par contre dans les douches, il trouvera toujours, surtout si il joue devant, le moyen de sauver la face pathétiquement en racontant des bobards style : " le 4 je l'ai fait couiner, le 3 je l'ai plié dans un maul…".
Vers Castres…
La recrue bidon de deuxième catégorie est impressionnant par sa gouaille. Car pour se vendre à un club sans montrer sa valeur réelle sur le terrain, il faut en raconter des conneries, donc être un bon mythomane. Et là où il est très fort, c'est sur son label, son pedigree de joueur de haut-niveau fictif qu'il a appris à manier avec maestria. Par exemple, il dit qu'il a joué à Castres. Et puis en le voyant à l'œuvre, on se rend compte que c'était plutôt… vers Castres. Parfois, il affirme avoir joué par exemple à Grenoble, dans le vrai club cette fois, c'est-à-dire au FCG, d'ailleurs il a un maillot certifié conforme. Après une enquête rapide, on se rend compte qu'il a été licencié un an effectivement au FCG et qu'il a évolué en équipe 4 avant de se faire promouvoir, un dimanche d'épidémie, en équipe 2 pour un match amical où il a côtoyé un grand joueur qui se refaisait une cerise en réserve… Amplifier le détail insignifiant, omettre l'essentiel, c'est la recette du leurre. Pour corser le tout, notre imposteur, qui sait abuser de la crédulité de son nouvel environnement, nous sort toujours pour se rendre crédible son carnet d'adresse où figurent des noms de légende avec qui il a sympathisé, le portable de X ou Y, des vieux potes qui font la java avec lui de temps en temps. Au final, quand on découvre, très vite, la supercherie, le loustic a déjà un autre club en ligne de mire, en Belgique, en Islande ou en Corée où il est toujours plus facile de refiler sa camelote…
Posté 05 juin 2008 - 21:44
Les recrues bidons
Ils débarquent à grands roulements de tambour, sont précédés par une réputation flatteuse et possèdent un CV de joueur long comme le bras… Ils sont les recrues de l'année, les trouvailles inespérées du mercato, ceux qui font jaser dans les chaumières. Mais à l'arrivée, ils sont toujours ceux qui déçoivent. Voyage au pays de la mythomanie…
Les recrues bidons sont de deux natures. Il y a les anciennes gloires, ces joueurs au passé prestigieux qui, usés par une carrière éprouvante, chassent le gros chèque dans un petit club aussi naïf qu'ambitieux. Puis il y a ces joueurs nomades, qui changent de clubs saison après saison parce que trop mauvais pour rester plus d'un an au même endroit pour ne pas se faire lyncher par les villageois. Des joueurs de la catégorie "imposteur", complètement mythomanes qui se vendent à merveille à ceux qui veulent entendre et s'inventent de prodigieuses carrières…
La recrue bidon du premier type, l'ancienne gloire, suscite généralement l'enthousiasme au sein du club. Les dirigeants se la pètent en croyant avoir déniché le sauveur, plastronnent avec leur blazer étriqué autour des terrains en prenant des airs importants. Mais en réalité, ils prennent le messie pour une lanterne… Celui-là, le messie, n'est en fait qu'un vieux prédicateur, un conteur fatigué qui essaient de faire rêver les jeunes de ses exploits anciens, du temps où il jouait au centre avec untel ou untel, du temps où il avait mis un tampon mémorable à celui-ci qui jouait en équipe de France, à celui-là qui venait d'être champion de France avec Toulouse. Et puis, sans fin, dans le car qui nous emmène au stade de Belleville-sur-quequ'chose, nous raconte, en embellissant, sa guerre de 14. Puis quand vient 14h dans les vestiaires et qu'on constate que le bougre est boudiné dans le maillot de son nouveau club, que sa brioche dépasse un peu, que ces gestes laborieux trahissent un corps qui tolère mal les avanies des joutes passées, alors on se dit, ou du moins souhaite, qu'il a au moins de l'expérience et du vice à revendre…
Bobards sous la douche
Certes, on avait déjà remarqué, à l'entraînement, qu'il n'avait pas la fougue d'un jeune loup affamé, mais on se disait que c'était la force tranquille, qu'il allait tout donner en match et que là, on allait se rendre compte de l'étendue de sa classe, de son rayonnement. Surtout qu'il jette de la poudre aux yeux, en sortant de son sac d'entraînement des maillots d'équipes prestigieuses, des chaussettes de la Section, un short du Stade, un slip du B.O… tout un tas d'oripeaux qui ont chacun des histoires incroyables. Une garde-robe à faire rêver ! Finalement, on se retrouve à 16h30 sous les douches, avec une bonne valise dans les gencives. Notre héros ne nous a même pas fait le coup de l'Empire des Cent jours, il n'a même pas brillé une dernière fois avant de disparaître. Jouant comme les autres, trop fatigué pour sonner la révolte, harcelée par des adversaires qui voulaient se farcir une ex-star, notre homme a baissé pavillon rapidement. Par contre dans les douches, il trouvera toujours, surtout si il joue devant, le moyen de sauver la face pathétiquement en racontant des bobards style : " le 4 je l'ai fait couiner, le 3 je l'ai plié dans un maul…".
Vers Castres…
La recrue bidon de deuxième catégorie est impressionnant par sa gouaille. Car pour se vendre à un club sans montrer sa valeur réelle sur le terrain, il faut en raconter des conneries, donc être un bon mythomane. Et là où il est très fort, c'est sur son label, son pedigree de joueur de haut-niveau fictif qu'il a appris à manier avec maestria. Par exemple, il dit qu'il a joué à Castres. Et puis en le voyant à l'œuvre, on se rend compte que c'était plutôt… vers Castres. Parfois, il affirme avoir joué par exemple à Grenoble, dans le vrai club cette fois, c'est-à-dire au FCG, d'ailleurs il a un maillot certifié conforme. Après une enquête rapide, on se rend compte qu'il a été licencié un an effectivement au FCG et qu'il a évolué en équipe 4 avant de se faire promouvoir, un dimanche d'épidémie, en équipe 2 pour un match amical où il a côtoyé un grand joueur qui se refaisait une cerise en réserve… Amplifier le détail insignifiant, omettre l'essentiel, c'est la recette du leurre. Pour corser le tout, notre imposteur, qui sait abuser de la crédulité de son nouvel environnement, nous sort toujours pour se rendre crédible son carnet d'adresse où figurent des noms de légende avec qui il a sympathisé, le portable de X ou Y, des vieux potes qui font la java avec lui de temps en temps. Au final, quand on découvre, très vite, la supercherie, le loustic a déjà un autre club en ligne de mire, en Belgique, en Islande ou en Corée où il est toujours plus facile de refiler sa camelote…
Posté 05 juin 2008 - 21:50
Posté 05 juin 2008 - 21:52
Je ne sais pas en fait.
C'est le pseudo d'un mec Prince d'Euphore et ça a été repris un peu partout mais je ne connais pas l'origine.
Posté 09 juin 2008 - 21:10
Quel joueur de rugby n’a jamais eu envie de rentrer aux vestiaires persuadé d’avoir gagné ce précieux tee-shirt rouge ? Ce joli sport est parfois bien cruel avec la vanité et l’excès de confiance. Le ballon ovale a mille et une façons de vous donner des points dans le challenge du cagoulin…
Le rugby, ce n’est pas simple. Le ballon est ovale et rebondit n’importe où, les règles sont compliquées et changent toutes les saisons, vos adversaires n’ont en général qu’un seul but : vous broyer. Dans un tel contexte, il n’est pas toujours aisé de finir une rencontre avec dignité. Mais comme si le jeu et les autres joueurs ne suffisaient pas, certains rajoutent parfois un peu de leur propre maladresse ou de leur déveine. Alors là, les choses se compliquent vraiment.
La Cagoule de l’hélicoptère ou du tourniquet : mésaventure qui arrive souvent aux ailiers. Ceux-ci, en pleine tentative de débordement, se font reprendre in extremis par un troisième ligne qui traîne ou par leur vis à vis. Comme il vous accroche par le bout du maillot et ne peut vous délivrer un plaquage académique, il se sert de votre vitesse pour vous déséquilibrer en vous faisant tournoyer comme un lanceur de marteau dans sa cage. Vos appuis se dérobant, vous voltigez dans les airs sans pouvoir résister en terminant votre course lamentablement dans les panneaux publicitaires. Cette technique du tourniquet est parfois sanctionnée par les arbitres pour jeu dangereux et obtention trop facile de point pour le cagoulin.
La Cagoule du raffut dans la gueule : un grand classique du genre. Un type d’en face se fait une énorme valise et court tout seul au milieu du pré. Comme il n'a pas de cannes, vous revenez en diagonale de façon irrésistible et vous jubilez à l’idée du beau carton qu’il va prendre dans les côtelettes. Vous êtes donc lancé, vous vous rapprochez, il est à une petite longueur, vous armez vos épaules et commencez à vous baisser pour lui administrer le caramel sanction. Mais vous êtes encore trop haut, lui dans un ultime réflexe, tend son bras, paume grande ouverte… sur l’occiput. Vous voilà le cul par terre, à regarder votre lièvre planter entre les pagelles, au milieu de la clameur amusée du public, car généralement, ces choses là arrivent souvent devant les tribunes… d’honneur.
La Cagoule de la percu : quand on gagne des points pour le cagoulin suite à la percussion d’un gros cochon de l’équipe adverse, on a souvent un petit pré-sentiment juste avant la catastrophe. Quand le golgoth s’extrait de la nasse pour vous charger dessus en écumant de rage, vous avez comme un petit flageolement dans les jambes, une petite fébrilité. Bref on gamberge, comment je vais arrêter cette mule, un plaquage héroïque, c’est risqué, je vais y laisser mon épaule, un plaquage de judoka pour le déséquilibrer, mais il risque de me traîner sur 50 mètres avant de me piétiner. Alors on doute et au moment fatal, on est un peu sur ses appuis arrières, on prend un grosse percu dans le cornet. Désintégré, vous tombez les quatre fers en l'air dans un bruit sourd et douloureux avant de vous faire pourrir par vos coéquipiers : "tu t’es chié dessus, tu t’es échappé…", ce qui n’est pas complètement faux.
La Cagoule du coup de pied de vieille : affront courant fait à celui qui veut utiliser son pied soit pour se dégager, soit pour inscrire une pénalité ou un drop. Dans ce cas, pas besoin de l’adversaire pour marquer des points dans le championnat du cagoulin. Imaginez une passe de rêve de votre demi de mêlée, des adversaires surpris, ne montent pas, vous avez tout votre temps pour ajuster un drop splendide. Vous vous appliquez, mettez trois plombes à bien placer votre ballon et vous élancez votre jambe. Oui mais là, petite erreur technique, le pied mal positionné, les épaules mal orientées et voilà… le ballon, au lieu de s’élever dans les nuages, décapite une taupe pour finir sa course misérable quelques mètres plus loin. Un coup de pompe de criquet qui vous vaut tous les quolibets de la foule moqueuse ainsi que de nombreux point dans l’obtention du tee-shirt.