Biohazard, pour rester dans le sain, le frais, le pétillant du moment.
Posté 05 mars 2020 - 11:25
Biohazard, pour rester dans le sain, le frais, le pétillant du moment.
Posté 06 mars 2020 - 10:43
OH LA LA...
Posté 06 mars 2020 - 13:22
Posté 06 mars 2020 - 13:47
Une époque où on faisait encore du rock "Made in France" !
Posté 07 mars 2020 - 11:31
Reveil zen, soleil, avant d'aller faire une ballade en baie de somme, un petit café et un peu de gym dans le salon
Tout y est, le costume, le mouvement des trompretistes, le déhanché des choristes, so kitch mais tellement bon
Posté 07 mars 2020 - 11:55
Reveil zen, soleil, avant d'aller faire une ballade en baie de somme, un petit café et un peu de gym dans le salon
Tout y est, le costume, le mouvement des trompretistes, le déhanché des choristes, so kitch mais tellement bon
Et en plus ils sourient, ils viennent de quelle planète?
Posté 07 mars 2020 - 15:04
Amour éternel
Posté 08 mars 2020 - 00:04
Amour éternel
on est dans le génie pur...bon il avait un beau pet'au casque le Bryan, mais c'est sublime, toujours dans mes toplistes
Posté 08 mars 2020 - 00:29
Posté 08 mars 2020 - 10:54
on est dans le génie pur...bon il avait un beau pet'au casque le Bryan, mais c'est sublime, toujours dans mes toplistes
Et encore davantage à cappella.
Posté 08 mars 2020 - 11:49
Et encore davantage à cappella.
Ca positionne mieux le talent.
ca m'a rappelé un docu arte sur la pop des années 70 passé récémment, ou il avait ce passage incroyable:
Pur talent
Posté 08 mars 2020 - 15:03
Posté 09 mars 2020 - 11:19
Reçu ce matin
En studio avec Serge Gainsbourg Vinyle orange translucide Edition Limitée
TOP
Passionnante de bout en bout, l’exploration des bandes multipistes contient son lot de surprises: ici une rime expurgée de «L’ami Caouette», là un édifiant «faut que ça soit désinvolte» émis par Gainsbourg en amorce de «S.S In Uruguay», comme pour souligner le second degré de Rock Around the Bunker. Quelques râles de plaisir coupés au montage de Brigitte Bardot sur le «Je t’aime moi non plus» original, millésime 67, sont aussi offerts aux oreilles averties… Les subtilités du mixage sont également au rendez-vous, qu’elles subliment les drones de sitar sur le traitement londonien de «Torrey Canyon» par Giorgio Gomelsky ou valident l’expertise disco-funk de Jean-Pierre Sabar et ses équipiers sur la bande-son du sulfureux Madame Claude
Posté 10 mars 2020 - 07:51
Spéciale dédicace à Sékito. Entre Brown et Gay, Field aurait certainement mérité un peu plus de place.
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