Classique avec l'Herbe Verte.
Son summum c'est Green Zone à mon avis, un film totalement illisible, mais avec une illsisibilité qui colle parfaitement bien à la confusion du protagoniste et le contexte politique décrit. C'est son style de traitement, quelque part un peu comme Faulkner qui écrit un mot sur quatre dans Le Bruit et la Fureur (oui je viens de comparer Greengrass et Faulkner
)
ah oui c'est son style mais par moment l’œil est même plus capable de suivre ce qu'il se passe et pour un film c'est quand même dommage.