2453 réponses à ce sujet

[Stef]

Non, parce qu'il ne fait partie des plans de recrutement. Je n'en sais pas plus.

[usandisaga]

Et tu as pu avoir des fuites sur ceux qui font partie des ces plans (s'ils existent ) ?

[Erwan63]

Je te dirais bien "parce que", mais ça risque de ne pas te suffire comme explication. Et pourtant ....

j avais compris, c'était juste une tentative de tirage de ver du nez

tant pis.

[Dec85]

Je te dirais bien "parce que", mais ça risque de ne pas te suffire comme explication. Et pourtant ....

ouh, j'en connais un qui a réussi à déchiffré le tableau blanc dans le bureau de Vern


Des noms, des noms!!!!

[bazooka]

Bref, on sait toujours rien...

[layathollah]

Bref, on sait toujours rien...

Sources ?

[bazooka]

Sources ?

CYBERVULCANS

Le fonctionnaire (de La banque postale) fainéant et trop payé que je suis,
sera déjà muté d'office à la territoriale (pilote de chasse neige) de Dunkerque avant qu'on sache l'identité du loustic...

[dungannon92]

J'ai une piste... Mais il n'est libérable qu'en 2012.


Un détenu de la prison de Nancy, surnommé "l’incroyable Hulk", a réussi à atteindre la coursive du pénitencier, en faisant preuve d'une rare violence: arracher un lampadaire, brisé un volet métallique.

Surnommé « l’incroyable Hulk », un détenu de la prison de Nancy a réussi à atteindre la coursive du pénitencier.
Pour y parvenir, il a arraché un lampadaire de la cour de promenade, brisé un volet métallique puis défoncé une vitre à coups d’extincteur.
La peine de cet homme âgé de trente ans expire en 2012.
« L’individu s’est ensuite saisi d’un extincteur afin de briser la vitre d’un bureau dans lequel il a fini par s’asseoir, se rouler une cigarette et attendre qu’on vienne l’y cueillir », explique Bernard Cabon, secrétaire général adjoint de l’Union fédérale autonome pénitentiaire (UFAP) du grand Est.
Selon la même source, l’homme s’est livré à la violence pendant plus d’une heure, ensuite il a été « maîtrisé d’une manière professionnelle, menotté et remis dans sa cellule ».
Le 6 octobre dernier, il avait entièrement détruit sa cellule à la maison d’arrêt d’Epinal dans les Vosges.
« Il avait à l’époque arraché une fenêtre, une grille, descellé les barreaux et cassé une tablette en béton », rappelle Bernard Cabon. « On avait l’impression qu’un marteau-piqueur était passé par là », poursuit-il.
Le détenu est décrit comme « une masse impressionnante » de muscles par les personnels pénitentiaires qui ne peuvent mettre « qu’un seul cran lorsqu’on lui passe les menottes » en raison de la grosseur de ses poignets, explique Eric Gemmerlé, syndicaliste UFAP.
« Avant Epinal, il était à Strasbourg: tous les détenus de la cour de la prison s’étaient mis contre lui. Il en est ressorti avec quelques égratignures », poursuit-il.
Le syndicaliste a indiqué que le forcené a été pris en charge par les équipes régionales d’intervention et de sécurisation et l’ont transféré vers le centre pénitentiaire de Metz.

[Jesus Hans Hubert Vorme]

J'ai une piste... Mais il n'est libérable qu'en 2012.


Un détenu de la prison de Nancy, surnommé "l’incroyable Hulk", a réussi à atteindre la coursive du pénitencier, en faisant preuve d'une rare violence: arracher un lampadaire, brisé un volet métallique.

Surnommé « l’incroyable Hulk », un détenu de la prison de Nancy a réussi à atteindre la coursive du pénitencier.
Pour y parvenir, il a arraché un lampadaire de la cour de promenade, brisé un volet métallique puis défoncé une vitre à coups d’extincteur.
La peine de cet homme âgé de trente ans expire en 2012.
« L’individu s’est ensuite saisi d’un extincteur afin de briser la vitre d’un bureau dans lequel il a fini par s’asseoir, se rouler une cigarette et attendre qu’on vienne l’y cueillir », explique Bernard Cabon, secrétaire général adjoint de l’Union fédérale autonome pénitentiaire (UFAP) du grand Est.
Selon la même source, l’homme s’est livré à la violence pendant plus d’une heure, ensuite il a été « maîtrisé d’une manière professionnelle, menotté et remis dans sa cellule ».
Le 6 octobre dernier, il avait entièrement détruit sa cellule à la maison d’arrêt d’Epinal dans les Vosges.
« Il avait à l’époque arraché une fenêtre, une grille, descellé les barreaux et cassé une tablette en béton », rappelle Bernard Cabon. « On avait l’impression qu’un marteau-piqueur était passé par là », poursuit-il.
Le détenu est décrit comme « une masse impressionnante » de muscles par les personnels pénitentiaires qui ne peuvent mettre « qu’un seul cran lorsqu’on lui passe les menottes » en raison de la grosseur de ses poignets, explique Eric Gemmerlé, syndicaliste UFAP.
« Avant Epinal, il était à Strasbourg: tous les détenus de la cour de la prison s’étaient mis contre lui. Il en est ressorti avec quelques égratignures », poursuit-il.
Le syndicaliste a indiqué que le forcené a été pris en charge par les équipes régionales d’intervention et de sécurisation et l’ont transféré vers le centre pénitentiaire de Metz.

excellent. Se bat-il dans les bars?

[dungannon92]

excellent. Se bat-il dans les bars?

Si on veut lui piquer ses curly's, oui.

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Si on veut lui piquer ses curly's, oui.

ils nous le faut! S'il est capable d'exploser les tables en ciment à main nue, il doit pouvoir pousser son cri affreux en levant les bras juste avant de rentrer en mélée. Bon pour le derby!

[Dec85]

J'ai une piste... Mais il n'est libérable qu'en 2012.


Un détenu de la prison de Nancy, surnommé "l’incroyable Hulk", a réussi à atteindre la coursive du pénitencier, en faisant preuve d'une rare violence: arracher un lampadaire, brisé un volet métallique.

Surnommé « l’incroyable Hulk », un détenu de la prison de Nancy a réussi à atteindre la coursive du pénitencier.
Pour y parvenir, il a arraché un lampadaire de la cour de promenade, brisé un volet métallique puis défoncé une vitre à coups d’extincteur.
La peine de cet homme âgé de trente ans expire en 2012.
« L’individu s’est ensuite saisi d’un extincteur afin de briser la vitre d’un bureau dans lequel il a fini par s’asseoir, se rouler une cigarette et attendre qu’on vienne l’y cueillir », explique Bernard Cabon, secrétaire général adjoint de l’Union fédérale autonome pénitentiaire (UFAP) du grand Est.
Selon la même source, l’homme s’est livré à la violence pendant plus d’une heure, ensuite il a été « maîtrisé d’une manière professionnelle, menotté et remis dans sa cellule ».
Le 6 octobre dernier, il avait entièrement détruit sa cellule à la maison d’arrêt d’Epinal dans les Vosges.
« Il avait à l’époque arraché une fenêtre, une grille, descellé les barreaux et cassé une tablette en béton », rappelle Bernard Cabon. « On avait l’impression qu’un marteau-piqueur était passé par là », poursuit-il.
Le détenu est décrit comme « une masse impressionnante » de muscles par les personnels pénitentiaires qui ne peuvent mettre « qu’un seul cran lorsqu’on lui passe les menottes » en raison de la grosseur de ses poignets, explique Eric Gemmerlé, syndicaliste UFAP.
« Avant Epinal, il était à Strasbourg: tous les détenus de la cour de la prison s’étaient mis contre lui. Il en est ressorti avec quelques égratignures », poursuit-il.
Le syndicaliste a indiqué que le forcené a été pris en charge par les équipes régionales d’intervention et de sécurisation et l’ont transféré vers le centre pénitentiaire de Metz.

Il a trouvé la solution, encore un peu de muscu et les menottes seront trop petites!!
J'aimerais bien voir le bestiau en tout cas (en photo, pas en vrai, faut pas déconner ).

[scoubidou]

Pour en revenir au sujet, j'ai entendu parler qu'un joueur sous contrat au ST et qui se sent pas tres à son aise actuellement aurait son nom qui circulerait chez nous!!il s'agit du grand copain à Morgan je veux parler de Y.David!!
info à suivre mais se serait pas si mal que ça!!!!

[twiX]

ça y est, son nom circule chez nous, effectivement

[Dooley]

En tout cas, ce ne sera pas Cooper.

Moi, tant que Fontès n'aura rien annoncé d'officiel, de toutes façons, je ne croirai à rien!...