79 réponses à ce sujet

[Obivannes]

je ne vois pas l'intérêt pour le club...... quant aux supporters...............

[dungannon92]

la chute en dit long sur la partialité de l'arbitre.
beau témoignage d'un homme de terrain.

Ca doit pas être facile de courir 80 mn avec le drapeau levé...

[Schtroumpfette83]

Tant qu'elles font la vaisselle quand elles rentrent.

[dungannon92]

Tant qu'elles font la vaisselle quand elles rentrent.

Et interdiction de rentrer bourrées. Direct à la maison dès la sortie du vestiaire.

[Schtroumpfette83]

Et interdiction de rentrer bourrées. Direct à la maison dès la sortie du vestiaire.

J'ose pas comprendre le terme " bourrées"

[L'Expatrié]

Et pour le toss, ça se passe dans les vestiaires ?? ...

Sinon par chez moi on dit : physiquement intelligente ...

Non. Crampons, discours aux premières lignes et toss, tout se fait sur le terrain si possible. On ne rentre pas dans les vestiaires sauf réelle nécessité.

[Gonzalo Naps]

Ne confondons pas machisme et esthétique, on ne remet pas en cause les capacités athlétiques de ces demoiselles mais la grâce et l'accoutrement.
J'adore ces débats d'idées.

Dans votre cas c'est surtout l'accoutrement qui prévaut ....

C'est vrai qu'elles sont plus douées que nous pour laver les équipements ! les chaussettes gardent leur élasticité et les shorts leurs couleurs !
et en plus, c'est repassé !

et encore je ne t'ai pas tout dit .

Tant qu'elles font la vaisselle quand elles rentrent.

Et interdiction de rentrer bourrées. Direct à la maison dès la sortie du vestiaire.

Vous êtes horribles ! Un peu de tenu quand même !
Vous pourriez montrer l'exemple les anciens !

[Burande]

Tant qu'elles font la vaisselle quand elles rentrent.

T'as raison ! mais on peut aussi imaginer le pire : leurs retours à la maison , bourrées, après deux-trois saisons de musculation !!!!!

[Gwenaëlle]

On va aller dans le défouloir...
Merci d'avoir détourné ce sujet pourtant intéressant à la base.

[le Sampaud]

oui dommage que ce sujet aille au défouloir mais vu la tournure qu'il prend, c'est bien là sa place!Je dois être trop con, mais certaines remarques "limite" misogynes, toujours dit, bien entendu, au 2nd degré, finissent par devenir méprisantes. Quelle triste image du forum

[dd la looz]

je prends le débat en route...

je ne pense pas qu'il soit judicieux d'ouvrir encore un autre club de féminines à Clermont même, il y en a déjà quelques uns, par contre faudrait voir à en créer dans un périmètre proche, car les déplacements à l'autre bout de la France c'est un peu pénible ! dans ma poule, on se tape Toulon, Montpellier, Narbonne, et j'en passe...

quant aux remarques à 2 balles sur le gracieux du sport... vous le trouvez gracieux Vosloo? pourquoi on attendrait des féminines d'être gracieuses quand elles jouent ? tant qu'elles le sont en dehors...

[brayaud's]

Mais on y est en plain dans le sujet : trente bougresses qui se vautrent dans la boue, se tirent les cheveux et s'arrache le soutien gorge en faisant "Yiiiiiii" !

c'est sur que ça doit te changer de 15 barbus vétus de rose qui ne veulent pas se salir ou se faire bobo en faisant "Yiiii" !

[l'exil]

Quand j'étais étudiant à Toulouse, j'avais monté une équipe féminine de rugby universitaire. Ca avait été une très bonne expérience et au final, l'équipe avait assez fière allure avec en face de moi, des filles très à l'écoute, désireuses d'apprendre, souvent plus humbles que certains joueurs mâles croyant déjà tout savoir du rugby et pour certaines d'une teignoussitude que l'on n'aurait pas devinée au quotidien. Par contre, il m'avait vite fallu demander le renfort d'un ami pour entraîner à 2 car je me faisais assez souvent mettre en boîte et j'avais dû apprendre à éviter des termes comme "échauffement", "étirement", "jouer à toucher" ou autre face à ces novices d'alors...

Pour quelques unes ça a même été une révélation vu qu'elles ont fini à Saint Orens, à l'époque en haut de l'affiche du désormais top 10.

En tout cas, même si ce n'est pas tout à fait le sujet du post, le rugby féminin n'est pas antinomique. Ca reste peu sensuel certes mais ce n'est pas ce qui était demandé et du reste, j'ai souvent vu les plus jolies filles être également les + furieuses sur le terrain, comme quoi (bon il y a aussi des lanceuses de poids à la Jaulhac de l'UBB mais il en faut dans les équipes de mecs comme de filles).

Sinon, point de vue "joli minois", oui il y a de très jolies rugbywomen, notamment, pour l'exemple Julie Pujol ex n°9 internationale passée par Saint Orens, Bordeaux, Bayonne, ... que je voyais parfois dans les soirées estudiantines toulousaines.

[F@b]

Les femmes au lancer de marteau, de poids ou de javelot ce n'est pas très gracieux non plus et pourtant cela existe...tout comme le patinage artistique pour les hommes.

cantonner les femmes dans des sports "gracieux" revient à maintenir une image stéréotypée de la femme et ainsi nuire à une réelle égalité dans le monde du sport, la vie professionnelle et quotidienne.

Il y a dix ans, on se moquait des femmes dans le foot avec les mêmes arguments. Aujourd'hui Lyon a une équipe championne d'Europe (ce qui a permis à l'OL d'avoir enfin un titre européen et des retombées commerciales supplémentaires) et des matches de football féminin commencent à être médiatisés.

J'imagine qu'il y a encore plus longtemps que ça, on devait chambrer les filles qui se mettaient au basket et au volley.

Si le rugby féminin vient à se développer, il serait dommage que l'ASM rate (encore) une occasion d'être dans le bon wagon

Rien à voir.
Je ne parle ni de grâce, ni de jolis minois comme lu ailleurs, ni d'égalité ou d'inégalité des sexes.
Je trouve que le rugby féminin ne m'est pas plaisant à regarder. Point barre.
Parce que le rugby moderne (mais c'était vrai auparavant mais dans d'autre mesure)
est un rugby de force, de brute (ce qui n'exclut pas les artistes, exceptions obligent),
et que les qualités sportives des femmes s'expriment mieux dans d'autres sports,
le nouveau foot féminin en est la preuve.

[brayaud's]

oui, je suis lourd; mais je ne pouvais pas laisser passer celle-là :

Quand j'étais étudiant à Toulouse, j'avais monté une équipe féminine de rugby universitaire.

quel prétentieux cet exil !