Le côté larmoyant.
Tu vois ça c'est pareil je ne comprends pas. Qu'Azema soit un bon voire un très bon coach (grand ? très grand ? un peu tôt pour se faire un avis) qui connaît 10000000000 fois mieux le rugby que nous c'est une évidence.
Mais en quoi ça nous empêche d'avoir un avis contraire ? Et même si on se trompe on a encore le droit d'avoir tort non ?
Puis franchement le côté "bah si t'es si fort bouge ton cul et va sur le terrain" c'est d'une démagogie et d'une facilité (et je me retiens sur les termes parce que je t'aime bien)... Donc on ne dit plus rien en bien non plus ? Parce que bon qui est-on pour dire du bien de ce qui se fait à l'ASM vu que de toute façon on y connait rien.
Oulàààààà... je connais rien en vins, et je classe donc les pinards en 2 catégories : ceux que j'aime, et ceux que j'aime pas. il est fort possible que ça ne coïncide pas parfaitement avec l'arbitrage des sommeliers. Mais c'est MON avis et je le partage.
Concernant Rado, je crois que deux ou trois maladresses à ses débuts l'ont classé dans la catégorie des souffre-douleurs. Comme ces maladresses sont bien réelles, ça devient difficile de le défendre quand il a une baisse de régime, car on te les ressasse et renvoi comme un boomerang. Il me semble que pour l'année 2016, il a eu suffisamment d'emmerdes pour avoir le droit à des circonstances atténuantes. Les entraineurs ont un avantage sur nous : ils cotoient le joueur ET l'homme, ils connaissent tous ses paramètres physiques car les joueurs d'aujourd'hui sont aussi scrutés qu'un moteur de formule 1 dans leurs salles de muscu. ils doivent aussi disposer des analyses de match avec les stats qui disent quelquefois des trucs que le "spectacle" masque aux yeux du spectateur.
Bref, Rado n'est pas bon parce que je le trouve bon, et vice versa avec mauvais, mais parce que Azema s'en sert en toute connaissance de cause.