« En Nouvelle-Zélande, jouer était devenu un boulot. Les gens ne disaient pas forcément bonjour », explique-t-il. « Clermont, c’est une famille. Vous n’imaginez pas l’énergie que les gens ici vous transmettent. C’est comme si vous jouiez devant votre père, vos frères. Vous n’avez pas envie de les décevoir. Je suis toujours le même joueur qu’avant. Mais je suis heureux. » Voilà, il en a beaucoup dit. Non loin de là, Cotter regarde son ailier repartir vers le vestiaire, tête baissée. Heureux aussi.
putain, je bande !