1084 réponses à ce sujet

[Sushi]

Retiere également vice champion du monde à ce poste

C'est vrai, pour 4 matchs, ça pourrait l'aérer un peu!

[kola15]

Il y a un pilier qui va être heureux en tout cas de ce départ 😌

[Kypi3333]

Cest normal.
Deja cette saison Zirack ne voulait plus continuer.
Il est trop pris par son business 
Cest lasm qui lui avait forcé la main.

Normal pour la saison prochaine ok mais là pourquoi à quatre matchs de la fin ?

Des tensions en interne ?

[ZACH]

Normal pour la saison prochaine ok mais là pourquoi à quatre matchs de la fin ?

Des tensions en interne ?

Pas à ma connaissance 

En revanche Zirack en avait vraiment ras le bol et depuis un bon moment.

De mon point de vue, manager des jeun’s devait lui casser les C ——-S

[Sushi]

Il y a un pilier qui va être heureux en tout cas de ce départ

Après des exigences sur la tenue en mêlée, d'autres entraîneurs en auront, à commencer par le big boss actuel, à moins que ça aille au delà du seul sportif!

[kennaugh]

J aimerais que Dato puisse cette fois avoir les adieux au Michelin quil mérite. Puisque le Covid lui a empêché d en avoir de vrais en tant que joueur

[Rugby1475]

Article de La Montagne : "Dato Zirakashvili, accaparé par ses affaires, met fin à ses fonctions avec l'ASM Clermont"

 

Lundi dernier, alors qu’il ne s’était pas déplacé avec l’équipe sur les deux matchs de Challenge Cup, Dato Zirakashvili est venu au centre d’entraînement de l’ASM pour officialiser avec les joueurs et l’encadrement l’arrêt de ses fonctions. A savoir une mission de consultant de la mêlée avec deux interventions hebdomadaires.

 

Après le départ de Xavier Sadourny, lui aussi volontaire, en tout début d’année, celui contraint de Jono Gibbes deux semaines plus tard, le club clermontois voit donc un troisième membre de son staff du début de saison quitter ses fonctions prématurément. "Mon départ n’a rien d’exceptionnel", relativise d’emblée l’ancien pilier droit qui a porté les couleurs de l’ASM durant 16 saisons. "J’avais simplement trop de boulot à côté du rugby. Voilà, j’ai pris la décision d’arrêter ma mission avec le club pour me consacrer pleinement à mes affaires." 

Alors que la saison rugbystique entre dans sa dernière ligne droite, le timing de la décision du technicien géorgien peut interroger. Pourquoi n’a-t-il pas, par exemple, suivi Jono Gibbes quand celui-ci a été écarté par le président Jean-Michel Guillon le 14 janvier dernier ? "Je me suis posé la question à ce moment-là, reconnaît Zirakashvili, mais je ne voulais pas laisser le club alors qu’un nouveau coach arrivait et devait prendre ses marques. Là, Christophe (Urios) a trouvé ses repères, je ne pense pas que mon départ affecte le club."

 

Il ne s’interdit pas, un jour, un retour dans le rugby A bientôt 40 ans (il les aura en octobre), le spécialiste de la mêlée s’efface donc au profit de l’entrepreneur qui, depuis la fin de sa carrière de joueur, ne plaint pas son temps dans ses activités professionnelles.

"Cela devenait compliqué de m’investir comme je le voulais dans ma mission avec le club. Par moments, j’étais dans mon job et je pensais au rugby, à d’autres moments j’étais sur le terrain avec les joueurs et mon esprit était préoccupé par mes affaires. Forcément, tu te dis où je suis ? A quoi je dois penser ? Suis-je vraiment utile ? Je ne voulais pas mal faire, et ne plus pouvoir m’impliquer à fond dans le rugby m’a conduit à prendre cette décision."

 

Zirakashvili aurait sans doute, quoi qu’il arrive arrêter sa mission à l’ASM à la fin de saison. Il tire sa révérence deux mois avant, mais ne s’interdit rien non plus. "Déjà, il faut bien dire que je ne pars pas fâché. Avec personne. L’ASM, c’est le club auquel je dois tout, au-delà de ma carrière de joueur. Le rugby reste ma passion, pourquoi pas un jour revenir sur le terrain et passer des diplomes d’entraîneur."

 

En attendant, Christophe Urios nous a soufflés, il y a quelques jours, que c’est lui qui assurerait les séances spécifiques de la mêlée sur les cinq semaines à venir, jusqu’à la fin de saison.

 

Christophe Buron

[Arverne03]

"Dato Zirakashvili, accaparé par ses affaires, met fin à ses fonctions avec l'ASM Clermont"

 

Je pense qu'il s'agit d'une façon élégante de mettre fin à son engagement de consultant; son sort étant scellé depuis quelque temps. Bonne chance à lui pour la suite.

[Sushi]

"Dato Zirakashvili, accaparé par ses affaires, met fin à ses fonctions avec l'ASM Clermont"

 

Je pense qu'il s'agit d'une façon élégante de mettre fin à son engagement de consultant; son sort étant scellé depuis quelque temps. Bonne chance à lui pour la suite.

"Déjà, il faut bien dire que je ne pars pas fâché. Avec personne. L’ASM, c’est le club auquel je dois tout, au-delà de ma carrière de joueur. Le rugby reste ma passion, pourquoi pas un jour revenir sur le terrain et passer des diplomes d’entraîneur."

[Buckaroo]

Grand homme.

[Patator]

J'espère que l'histoire d'amour n'est pas finie. A bientôt donc.

[gregouarrrr]

1 er dapart sous le covid il me semble 

2eme depart avant la fin de saison ..

 

on ne va pas l oublier pour la cérémonie de départ ...

[ELSAZOAM]

Dato Zirakashvili, accaparé par ses affaires, met fin à ses fonctions avec l'ASM Clermont

 

A deux mois de la fin de saison, en raison de ses fonctions professionnelles extrêmement chronophages, Dato Zirakashvili a préféré mettre un terme à son engagement avec l’ASM.

Lundi dernier, alors qu’il ne s’était pas déplacé avec l’équipe sur les deux matchs de Challenge Cup, Dato Zirakashvili est venu au centre d’entraînement de l’ASM pour officialiser avec les joueurs et l’encadrement l’arrêt de ses fonctions. A savoir une mission de consultant de la mêlée avec deux interventions hebdomadaires.

 

Après le départ de Xavier Sadourny, lui aussi volontaire, en tout début d’année, celui contraint de Jono Gibbes deux semaines plus tard, le club clermontois voit donc un troisième membre de son staff du début de saison quitter ses fonctions prématurément.

"Mon départ n’a rien d’exceptionnel", relativise d’emblée l’ancien pilier droit qui a porté les couleurs de l’ASM durant 16 saisons.

"J’avais simplement trop de boulot à côté du rugby. Voilà, j’ai pris la décision d’arrêter ma mission avec le club pour me consacrer pleinement à mes affaires."

Alors que la saison rugbystique entre dans sa dernière ligne droite, le timing de la décision du technicien géorgien peut interroger. Pourquoi n’a-t-il pas, par exemple, suivi Jono Gibbes quand celui-ci a été écarté par le président Jean-Michel Guillon le 14 janvier dernier ?

 

"Je me suis posé la question à ce moment-là, reconnaît Zirakashvili, mais je ne voulais pas laisser le club alors qu’un nouveau coach arrivait et devait prendre ses marques. Là, Christophe (Urios) a trouvé ses repères, je ne pense pas que mon départ affecte le club."

Il ne s’interdit pas, un jour, un retour dans le rugby

A bientôt 40 ans (il les aura en octobre), le spécialiste de la mêlée s’efface donc au profit de l’entrepreneur qui, depuis la fin de sa carrière de joueur, ne plaint pas son temps dans ses activités professionnelles.

"Cela devenait compliqué de m’investir comme je le voulais dans ma mission avec le club. Par moments, j’étais dans mon job et je pensais au rugby, à d’autres moments j’étais sur le terrain avec les joueurs et mon esprit était préoccupé par mes affaires. Forcément, tu te dis où je suis ? A quoi je dois penser ? Suis-je vraiment utile ? Je ne voulais pas mal faire, et ne plus pouvoir m’impliquer à fond dans le rugby m’a conduit à prendre cette décision."

Zirakashvili aurait sans doute, quoi qu’il arrive arrêter sa mission à l’ASM à la fin de saison. Il tire sa révérence deux mois avant, mais ne s’interdit rien non plus.

"Déjà, il faut bien dire que je ne pars pas fâché. Avec personne. L’ASM, c’est le club auquel je dois tout, au-delà de ma carrière de joueur. Le rugby reste ma passion, pourquoi pas un jour revenir sur le terrain et passer des diplomes d’entraîneur."

 

En attendant, Christophe Urios nous a soufflés, il y a quelques jours, que c’est lui qui assurerait les séances spécifiques de la mêlée sur les cinq semaines à venir, jusqu’à la fin de saison.

 

Christophe Buron (La Montagne - 16/04/2023)

[bazooka]

Il y a un pilier qui va être heureux en tout cas de ce départ

Bibi ?

[ELSAZOAM]

Bibi ?

Non !

Slimani...